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dimanche 29 décembre 2019

Les Brumes de Cendrelune, Tome 1 : Le Jardin des âmes de Georgia Caldera


Dans le royaume de Cendrelune, les dieux épient les pensées des hommes, et leur Exécuteur, l’Ombre, veille à condamner tous ceux qui nourriraient des envies de rébellion.
Or, il semble que certaines failles existent. À l’âge de 17 ans, Céphise ne vit en effet que pour se venger. Depuis qu’on l’a amputée d’une partie d’elle-même et privée de sa famille, elle ne rêve plus que d’une chose : s’affranchir de la tyrannie du tout-puissant Orion, Dieu parmi les dieux. Et contre toute attente, il se pourrait qu’elle ne soit pas seule...


 



Georgia Caldera est née en 1982, dans cette magnifique région qu’est la Touraine. Depuis son plus jeune âge, elle dévore quantité de livres en tous genres, avec néanmoins une affection toute particulière pour la littérature gothique, et n’hésite pas à dégainer régulièrement la plume.
Avec pour auteurs de prédilection Edgar Allan Poe, Bram Stoker, Sheridan Le Fanu ou encore Anne Rice, c’est dans les univers sombres et fantastiques qu’elle trouvera son propre style. Un style qu’elle explore à la fois avec les mots, mais également à travers l’image, étant illustratrice de formation. Ainsi, c’est après plusieurs années d’études en art qu’elle décide de se tourner plus concrètement vers l’écriture, accompagnant toujours ses productions de supports visuels ayant pour but de donner aux lecteurs un aperçu de ses personnages et de leurs tourments.
Source : http://www.editionsduchatnoir.fr/caldera-georgia/


Lecture finie
Moi qui apprécie beaucoup Georgia Caldera, je dois avouer que je ne suis jamais rentrée dans ma lecture. Principalement parce que je ne me suis pas attachée aux personnages. Malgré tous les drames qui jalonnent la vie des uns et des autres, je n'ai pas pris plaisir à lire leurs aventures. Et pour moi, c'est l'une des choses que je cherche avant tout : une rencontre amicale (littéralement parlant)...

Le talent de Mme Caldera est toujours là et le livre trouvera certainement son public mais je n'en ferai pas partie...





J’avais tellement envie de la voir en cet instant si pénible.
C’était complètement idiot et je le savais pertinemment. Son regard haineux et le fiel de ses mots ne me seraient d’aucun réconfort, bien au contraire. Pourtant, j’éprouvais le vif et très singulier besoin d’être auprès d’elle.



Je détestais peut-être les humains, mais certainement pas autant que je me détestais moi-même.
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