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gfMes dernières chroniques


vendredi 9 août 2019

Promets-moi d' Anne Cantore


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Quand deux destins opposés se rencontrent.
Louise et Marco viennent de deux univers totalement différents. Louise est responsable de projet au prestigieux MIT de Boston, Marco est le fils de Max Gardani, chef du plus puissant clan mafieux de la Côte d'Azur.
Ils n'auraient jamais dû se rencontrer, et pourtant...

Quand Max meurt, dans des circonstances plus que suspectes, Louise se retrouve en tête sur la liste des accusés.
Quel lien mystérieux relie Marco à la jeune femme ? Que détient-elle qui la rend si dangereuse aux yeux du fils du Parrain ?

La relation entre Louise et Marco prend une tournure inextricable quand l'attirance qui les pousse l'un vers l'autre se fait insoutenable. Quand la machine est lancée, rien ne peut plus l'arrêter...




Stéphanoise d’origine, j'ai découvert à 5 ans les joies de la lecture en compagnie de ma grand-mère. À 12 ans, je commence mes premiers écrits.
Depuis je ne me suis jamais arrêtée. Mes études scientifiques me conduisent de Clermont-Ferrand aux grandes plaines de l’Oklahoma. Après une brève incartade parisienne, je m’installe dans le Var avec mon époux et nos deux enfants.
Je découvre sur le tard la romance « épicée ». La théorie de Hegel, est mon premier roman érotique.
A la fois rêveuse, passionnée, control-freak et humaniste, je suis un paradoxe assumé...





Lecture finie

Une romance qui m'a permis de découvrir la plume d'Ana Cantore. J'ai passé un très bon moment auprès de ce couple que tout oppose mais ...c'est tout.
Le style est bon, les personnages sont bien construits et la romance tient la route. Disons simplement que la sauce n'a pas pris malgrè tous ces bons ingrédients. Certainement que je n'ai pas été assez touché.




Il y a des gens beaux comme le jour.
L’homme en face de moi est beau comme la nuit.
Il a un côté sombre et dangereux que je sens affleurer sous le costume de grand couturier, les mocassins de luxe, la coupe de cheveux négligemment décoiffée et la montre à trente mille euros. En même temps, et sans que je puisse expliquer rationnellement pourquoi, je sais que je ne risque rien. Du moins, pour le moment. Je fixe son visage. Il a le teint mat des Méditerranéens. Ses traits sont durs et virils, mais ses yeux lapis-lazuli adoucissent l’ensemble. Grand et bien bâti, le front haut, le nez droit, des lèvres sensuelles, il incarne à la perfection le prototype de la beauté masculine parfaitement assumée.