Liliana Scuderi est amoureuse de Romero depuis le moment où elle l’a vu pour la première fois. Après le mariage de ses sœurs pour des raisons tactiques, elle espère qu’elle pourra choisir un mari pour elle-même, mais lorsque son père la promet à un homme de plus de deux fois son âge, cet espoir est anéanti. Aucune mendicité ne peut le faire changer d’avis.
Romero a toujours ignoré le flirt de
Lily. Son âge et son statut la rendaient interdite, mais même quelqu’un d’aussi consciencieux que lui n’a que peu de contrôle. La vouloir alors qu’elle est censée épouser un autre homme pourrait signifier la guerre entre New York et l’Outfit de Chicago, et Romero a toujours mis la Cosa Nostra en premier.
Lily soupçonne ses sœurs et Romero de tout risquer pour elle, mais son bonheur en vaut-il autant la peine
? L’amour vaut-il une guerre entre la Cosa Nostra et l’Outfit ?
J’attendais impatiemment l’histoire de la petite sœur Scuderi et je dois dire que même si elle est bonne, elle n’a pas le brio que j’attendais. La faute à Romero qui n’est pas à la hauteur face à Liliana.
Cette jeune fille est tombée amoureuse très jeune d’un homme plus âgé qui est d’une condition inférieure. Elle est interdite à plus d’un titre. D’ailleurs Romero ne remarque pas pendant très longtemps la jeune femme qu’il prend pour une enfant.
Cela change de manière assez brusque. Un peu trop peut-être car j’ai tendance à nommer ces romances : les interrupteurs. Je ne t’aime pas…et puis hop, on a appuyé sur le bon bouton … « je ne suis fou amoureux de toi de manière immédiate ».
Ok …si toutes les romances relevaient de circuits électriques.
J’aurais aimé que la psychologie du héros soit un peu plus développée cela aurait nourrit la romance qui devient un peu trop artificielle.
D’ailleurs, j’ai eu du mal dans l’ensemble à comprendre et adhérer au comportement de Romero.
Cela étant, j’adore l’univers de cette série et la plume de cette auteure mais … il y avait un aspect trop survolé qui ne m’en fera pas une lecture coup de cœur.
Je m'en fiche. Je risquerais n'importe quelle guerre pour toi.
Vous, les femmes Scuderi, vous savez y faire avec les hommes.