Après une série de mauvais choix, Eva se retrouve seule et enceinte. Mais quand tout paraît noir, de l’aide peut venir de là où on ne l’attend pas ; en l’occurrence, d’un bad boy tatoué persuadé qu’Eva et lui partagent un lien spécial.
Il était une fois une fille riche et choyée très imbue de sa personne. Elle ne s’inquiétait que de son apparence et souhaitait cacher ses secrets sombres et infâmes en jouant la snob aux idées arrêtées. Mais Eva Mercer est ensuite tombée enceinte, s’est fait tirer dessus par un psychopathe et a été mise à la porte de la seule maison qu’elle connaissait. Elle est désormais fauchée, au chômage, et doit recommencer de zéro avec un nouveau-né à élever. Mais comment faire ?
À l’autre bout de la ville, Patrick Ryan, un orphelin tatoué et sexy, n’a pas de chance. Il est en libération conditionnelle après avoir défendu une demoiselle en détresse tout en essayant de l’aider à s’occuper de son enfant, mais tout ce qu’il souhaite, c’est trouver l’amour de sa vie. Il connaît cette femme grâce à son odeur, son sourire et son rire, mais ne l’a jamais rencontrée en personne. Il ignore même son nom. Il sait simplement qu’elle est la clé pour tout arranger.
Certains héros vous sauvent des blessures physiques. D’autres vous sauvent d’un autre genre de destin tragique. Pour réaliser leurs rêves, Eva et Pick peuvent se sauver l’un l’autre. Mais ils doivent d’abord ouvrir leur cœur et apprendre à faire confiance.
J'ai adoré le 1er et le 2ème tomemais là, je décroche....
Pourquoi ?
Disons que le premier tome et le deuxième (même si un peu moins) proposaient des héros et des romances atypiques. Ici, j'ai trouvé que la romance faisait artificielle. Le personnage d'Eva malgrè tous les tourments qu'elle vit n'est pas très attachant. Pick est également amoureux avant de la connaître. Ce qui pouvait apparaître comme un eromance moderne m'a semblé illusoire, factice et beaucoup trop rapide. J'étais plus intéressée par les anciens héros qui sont toujours présents que par eux.
Bref un raté qui ne m'empêchera pas de lire le quatrième opus.
« — Clochette…, soufflai-je.
Ma voix me choqua ; elle était plus grave et plus adulte que jamais. Je n’avais plus quatorze ans.
Elle sourit et poussa un soupir, me regardant comme si elle…
— Je t’aime, me susurra-t-elle, prononçant les mots que j’avais besoin d’entendre.
C’était la première fois que quelqu’un m’adressait ces mots. »