Elle
le croyait mort depuis sept ans… Il réapparaît sur le pas de sa
porte.
Beth a fait le
deuil d’Oliver, son amour de jeunesse, disparu brutalement alors
qu’ils étaient adolescents. Lorsqu’il réapparaît sur le pas de
sa porte, sept ans plus tard, toutes ses certitudes s’écroulent.
La dernière fois qu’elle l’a vu, il était son meilleur ami…
Elle se retrouve face à un étranger.
La stupéfaction
se mêle à la colère et les questions l’assaillent : qui est
vraiment cet homme au regard sombre, couvert de cicatrices et de
tatouages, qui n’a plus rien à voir avec le garçon qu’elle a
connu ? Qu’a-t-il vécu pour être devenu si farouche ? Et pourquoi
est-il revenu ?
La réalité
dépasse l’entendement, et Beth est-elle prête à écouter les
réponses ? Osera-t-elle soulever l’armure de plomb d’Oliver, au
risque d’y découvrir une vérité qui pourrait les éloigner à
jamais ?
Lecture
finie
J'ai
lu les trois tomes de cette série presque dans la foulée. Peut-être
n'aurais-je pas du. J'ai énormément aimé le postulat de départ et
la lecture du premier opus m'a vraiment captivée. Cela en grande
partie à cause de la qualité de des deux personnages principaux.
Beth et Oliver sont très bien construits et le livre est une lecture
à double voix qui nous permet de comprendre les deux protagonistes
de façon très touchante. C'est souvent le cas dans la romance New
Adult. Oui, mais ici c'est très bien fait et cela donne une vraie
profondeur à leur histoire !
Sauf
qu'il n'y a pas matière à faire trois tomes et je trouve que le
récit s'enfonce de tome en tome dans des rebondissements mal amenés
et qui plombent le rythme de l'ensemble.
Bref,
j'ai pris plaisir à découvrir cette auteure qui a su créer de très
beaux et très attachants personnages mais l'histoire en elle-même
manquait de consistance en tous cas pour faire trois tomes.
Sept
ans, c’est long… Je dois m’être assombrie et ça n’a pas dû
lui échapper, car Oli se penche vers moi et, d’une main, relève
mon visage en poussant délicatement mon menton vers le haut. Ce
contact, telle une décharge électrique, parcourt toutes les fibres
de mon corps. Je prends une grande inspiration avant de regarder ses
traits, maintenant à quelques centimètres. Ses yeux ont arrêté de
rire, eux aussi. Mais leur éclat vert semble danser devant moi.
Mon
Dieu, comme j’ai aimé ces yeux !