menu 2

gfMes dernières chroniques


mardi 19 mai 2020

Un palais de cendres et de ruines de Sarah J. Maas


https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhj86ZbTQl6Az40u9CiDTA4W2-PomLIDweaWX2XhlKhyphenhyphenT2RrbGuhJWynIO26yaicOHZKAUelnEoQqsCOlR2PZ03S7fro0eLNXxc2ffGjjbz8A7sbYvHokPQu_m5QaQWpHEpmreTdHvDyMw/s320/le+r%25C3%25A9sum%25C3%25A9.jpg

 
Feyre est retourné à la Cour de printemps, déterminé à recueillir des informations sur les manœuvres de Tamlin et le roi envahisseur menaçant de mettre Prythien à genoux. Mais pour ce faire, elle doit jouer à un jeu mortel de tromperie - et un seul dérapage peut être fatal à Feyre, mais aussi à son monde.
Alors que la guerre les frappe tous, Feyre doit décider à qui faire confiance parmi les Hauts Seigneurs éblouissants et meurtriers - et rechercher des alliés dans des endroits inattendus.



 


Sarah Maas est diplômée de l'Université d'Hamilton. Son premier roman, Keleana, a d'abord été publié en ligne alors qu'elle n'avait que 16 ans. Il a très vite fédéré une communauté de plusieurs milliers de fans sur Internet.
Sarah Maas vit aujourd'hui en Californie du Sud.



 



Ce livre est au-delà d'un coup de cœur.

Cette série, cette trilogie sont juste géniales, parfaites.
L’accélération qui va à la vitesse d'un final de feux d’artifice jusqu'à l’ultime explosion est délectable.

Pour moi, ce livre est un bijoux.




- Sauvez-vous ! Aboya-t-il.
- Je ne peux pas, murmura t-elle d'une voix qui se brisait.
Il poussa un grognement de douleur, leva ses mains maculées de sang et les posa sur ses tempes à elle.
- Je ne regrette qu'une chose : le temps que je n'ai pas du passer avec vous.
Elle ne le repoussa pas quand il se redressa pour l'embrasser doucement.
  • Je vois retrouverai dans l'autre monde... dans une autre vie, où nous aurons le temps je vous le promets, reprit-il en essuyant une larme sur son visage.


- C’est peut-être… une très mauvaise idée, avouai-je en serrant plus fort sa main.
- Et comment, fit-il avec un mince sourire alors que nous poursuivions notre descente dans le silence compact, obscur et palpitant de vie. Que voulez-vous, en temps de guerre on ne peut pas s’offrir le luxe de bonnes idées, mais seulement choisir la moins mauvaise.