En
parallèle de son travail à la confiserie familiale, Rosie
appartient à une équipe de chasseurs de fantômes. Autant dire
qu'au cœur du Bayou de Louisiane, les histoires de revenants se
lisent sur de nombreuses lèvres... Quand Rosie a écho d'une étrange
histoire liée à la maison voisine de Lucian De Vincent, elle se
demande comment parvenir à y pénétrer. Lors d'un bal masqué, elle
tombe sous le charme de Devlin De Vincent, le frère de Lucian,
surnommé "le diable". Si le ténébreux Devlin accepte de
l'aider, Rosie pourrait entrer dans la demeure hantée et mener à
bien sa mission. Or, bien que profondément troublé par elle, Devlin
se méfie...


Jeune
auteure américaine qui vit à Martinsburg, Virginie-Occidentale.
Quand elle n'écrit pas, elle regarde des zombies ou bien passe la
plupart de son temps avec son mari !
Ses rêves de devenir auteur ont commencé en classe d'algèbre, où elle écrivait déjà des histoires courtes.
Elle écrit dans le genre de la science-fiction, le fantastique, la romance contemporaine ou encore des romans pour jeunes adultes.
Elle a écrit beaucoup de romans pour jeunes adulte sous le nom de J. Lynn.
Ses rêves de devenir auteur ont commencé en classe d'algèbre, où elle écrivait déjà des histoires courtes.
Elle écrit dans le genre de la science-fiction, le fantastique, la romance contemporaine ou encore des romans pour jeunes adultes.
Elle a écrit beaucoup de romans pour jeunes adulte sous le nom de J. Lynn.

J'ai
adoré ce troisième tome qui est largement au-dessus des deux
premiers. J'ai eu du mal à le lâcher. Rosie et Devlin sont un
couple explosif qui proposent une très belle romance. Le seul bémol
se trouve dans le dénouement qui est vraimentgt bon en terme de
vitesse mais qui comporte énormément d'éléments
abracadabrantesques !
Ça
n'a pas gâché mon plaisir !
Bref,
un troisième tome que je vous conseille vivement.
— Je
te ferai entrer dans cette maison.
— Quoi ?
(La surprise colorait sa voix.) Tu es sérieux ?
Un
léger sourire étira les lèvres de Dev.
— À
une condition.
— Laquelle ?
Il
se redressa et se pencha vers elle, suffisamment près pour qu’il
l’entende inspirer. Le parfum de noix de coco lui chatouilla encore
une fois le nez.
— C’est
une grosse condition.
— OK ?
Qui est ?
Ce
qu’il s’apprêtait à dire n’avait pas été prévu. Il n’avait
pas calculé ses actions comme il avait l’habitude de le faire. La
condition qu’il lui imposait était simplement dictée par… son
désir.
— Embrasse-moi,
murmura-t-il. C’est ma condition. Un baiser.

Rosie
était certaine d’avoir mal entendu.
— Il
va falloir que tu me le redises.
Quand
il baissa les yeux, ses cils épais dissimulèrent ses iris.
— Ma
condition est un baiser.
OK.
Elle
l’avait bien entendu.
— Tu
as envie de m’embrasser ? demanda-t-elle.
Elle
se sentait stupide de lui poser cette question et encore plus de
ressentir des papillons dans le ventre.
Un
sourire moqueur apparut sur le visage de Dev.
— Oui.
(Il marqua une pause.) Plus que tout.
Les
papillons remontèrent dans sa poitrine. On aurait dit qu’ils
battaient des ailes pour tenter de s’en échapper.

on
sang. Il était séduisant, c’était vrai, mais son comportement
avait été exécrable. Un connard avec une belle gueule, voilà ce
qu’il était.
Un
connard intraitable et antipathique sans la moindre once d’empathie.
Il était aussi chaleureux et amical qu’une maison hantée.
Mais
il était… très très bien foutu. Seigneur. Il ne fallait pas
qu’elle pense à ça. Il ne fallait pas qu’elle pense à lui,
tout court, mais que ça lui plaise ou non, il ne semblait pas
vouloir quitter son esprit.