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samedi 22 février 2020

Redemption de L.A. Casey




Il était mon meilleur ami, mon meilleur "presque" grand frère, et mon plus grand protecteur. Il était tout simplement le meilleur. Et il était à moi.
C'était difficile pour Lane de revenir à la maison. D'une part parce que son oncle adoré, Harry, était décédé soudainement, mais aussi à cause de lui. Kale.
Kale Hunt était son meilleur ami d'enfance, mais ce n'était pas aussi simple que ça. C'est à cause de lui que Lane a quitté sa maison et est partie à New York. Le voir avec quelqu'un d'autre, le voir amoureux d'une autre personne, n'aurait pas dû la blesser autant. Mais ce fut le cas. Cela l'a vraiment, vraiment blessée. Au point de plier bagages pour commencer une nouvelle vie ailleurs et se couper de son passé.
Mais elle est désormais de retour et ses sentiments sont toujours présents, comme si elle n'était jamais partie.
Les émotions sont intenses pour tout le monde, et les tragédies ont une drôle de façon de rassembler les gens. Mais est-ce que Lane interprète les signes correctement ? Sont-ils toujours seulement des amis, ou y a-t-il quelque chose de plus ? 

 



Un très bon moment de lecture même si je dois dire que le thème abordé est vraiment trop récurrent en ce moment dans la littérature romantique.
Je m'explique : les meilleurs amis d'enfance qui ont une relation « ambiguëe ». Ils voient la dite relation se finir de manière tragique...Des années s'écoulent et les amis se retrouvent et là...BADABOUM !

J'ai l'air un peu moqueuse mais franchement L.A. Casey se prête avec beaucoup de brio à l'exercice. Disons que le scénario est un peu toujours le même....
Dans tous les cas, c'est une très belle plume qui offre de belles romances. Je connaissais déjà l'histoire avant de l'avoir lu mais je n'ai pas boudé mon plaisir.

Bref, c'est un belle histoire pas très originale mais qui vous fera passer un excellent moment !


— Seigneur, Lay, est-ce que quelqu’un t’a offert un abonnement à la salle de sport ? demandai-je, abasourdie.
Mon père éclata de rire derrière moi, tandis que ma mère et ma grand-mère se couvraient la bouche pour essayer d’étouffer leur rire. Mon frère me fit juste un petit sourire en coin, mais ses yeux bleus comme la mer brillèrent vivement.
— Je ne pouvais pas rester éternellement le jumeau enrobé, n’est-ce pas ? demanda-t-il en plaisantant.
Je souris malicieusement.
— Je suppose que non. Tu es très beau.
Layton me fit un clin d’œil.
— Toi aussi, petite sœur.
Mes lèvres s’étirèrent un instant puis je me tournai pour regarder mon père. Son joli visage n’avait pas changé, il était juste plus poilu et plus rond. Tout son corps était plus rond.
— Pendant que Layton faisait du sport, tu traînais au bar et à la friterie, pas vrai ?