Tome 11 :
Sara est contrainte de travailler à la conception d'automates dans le sous-marin de Larcan, le machiavélique membre du Club des automates. Elle ne peut voir son fiancé, James, que lors d'une partie d'échecs vespérale où Larcan le ridiculise systématiquement. Confinés dans un huis clos insupportable, les deux amoureux n'ont que peu de temps pour s'échapper, car la blessure de James semble empirer chaque jour...
Tome 12 :
Sara vit dans la clandestinité à New York. Il lui est difficile d'accepter ce qui est arrivé à James et elle survit tant bien que mal dans le bidonville de Five Points. Mais l'étau se resserre et la fuite n'est pas une solution durable. Bientôt, Sara doit se retourner et faire face à ses accusateurs. Elle qui a déjà tout perdu risque bien de devoir miser la dernière chose qui lui reste... Sa vie.
Tome 13 :
Sara est ruinée, mais ne veut plus entendre parler d'ingénierie. La voici embarquée comme bibliothécaire à bord de l'Université Volante, en compagnie de sa rivale de toujours : Lavinia. La célèbre Université va chercher des financements à Deauville, là où les grandes fortunes d'Europe se réunissent. Sauf que l'Université est en réalité un haut lieu d'espionnage pour la couronne britannique... Lavinia, elle, joue avec les émotions de Sara, mais à ce petit jeu, elles pourraient bien être deux à se laisser prendre...
Une bonne suite même si j'avoue avoir du mal à comprendre où tout ça va nous amener. Arrivée au tome 11, je ne veux pas vous spolier mais franchement, l'évolution de certains personnages est complètement mais complètement invraisemblable. J'en viens même à me demander qu'elle est l'intérêt de poursuivre une série si les personnages sont complètement...
Bref, c'est une suite où je trouve que seule les fidèles la série (dont je suis) trouveront leur compte. Je suis très attachée à cette série, à cette auteure et à l’univers qu'elle a créé mais franchement, on sent une forme de suite convenue qui montre un manque d'inspiration et surtout un manque d'audace. J'attends de trouver Nora Moretti sur d'autres sentiers que sur cette « franchise » qui ne me surprend plus ou alors dans le mauvais sens du terme.