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lundi 17 avril 2023

Évanescence, Tome 3 : La Rivalité de Penelope Douglas

 

 

 

Fallon est de retour.

Pendant deux ans, elle était au pensionnat et n’a pas donné de nouvelles. À l’époque où on habitait dans la même maison, elle m’exaspérait le jour, puis le soir, elle laissait la porte ouverte pour que j’aille la voir.J’étais con, à l’époque, mais maintenant, je suis prêt à la battre à son propre jeu.

Je suis de retour

Deux ans plus tard, je vois que Madoc a encore envie de moi, même s’il se donne des airs supérieurs.Mais il ne me fera pas peur. Il ne m’éloignera pas. Il ne me rabaissera pas. Je vais le mettre au pied du mur et riposter. C’est ce qu’il veut, non? Pourvu que je reste vigilante, il ne saura jamais l’effet qu’il me fait...


 
Après avoir passé son adolescence à essayer de faire plaisir à tout le monde, Penelope Douglas a un jour décidé de faire ce qu'elle voulait, elle. Elle a traversé le Japon en train, sauté du haut d une cascade et commencé à écrire des romances intenses et passionnées, à son image. Comme elle, ses héros brisent les règles, affrontent leurs peurs et leur part d'ombre. Et c'est sous le soleil de Las Vegas, entourée de son mari et de sa fille, qu'elle travaille tous les jours à trouver l'équilibre parfait entre émotion et drame, sexe et danger, amour et haine. Une révélation new adult. 
 
 

J'en suis au tome 3 et je dois dire que celui-ci même s'il est bon ne l'est pas autant que les premiers. J'ai aimé. Je vous le conseille mais avec Penelope Douglas, on a vraiment des romances avec des histoires très peu crédibles. Je dis souvent que malgré ça, je suis à fond dans ma lecture. L'auteure est une vraie magicienne des sentiments qui nous fait des romans sous forme de grand huit.

C'est le cas ici.

Une excellente suite et une excellente série qu'il vous fait découvrir si ce n'est déjà fait.

-Je vois tout ce que je veux, aussi longtemps que je peux, a-t-il continué. Je vois une femme qui porte la plus jolie mine renfrognée, comme si elle avait deux ans et qu'elle venait de se faire dire qu'elle n'aurais pas de bonbon. Je vois un gars qui est allée se faire faire un perçage à travers le gland, parce qu'il voulait vivre encore un peu de temps dans son monde à elle.

[...]

- Je vois une femme magnifique avec un corps de déesse et le gars qu'elle rend fou de désir pour elle.

[...]

- Je vois mille nuits sur des comptoirs de cuisine, dans des douches ou des piscines et sur des canapés, où il va la baiser jusqu'à ce qu'elle crie.

- Je vois ses yeux à elle et ce dont ils ont l'air quand elle jouit.