Evie, femme de la cour, ne peut plus reculer : elle va se transformer en guerrière redoutable pour vaincre sa cousine meurtrière, venger sa famille et sauver son royaume.
Dans un monde où le pouvoir magique d’un individu détermine sa valeur, l’absence notoire de capacité de Dame Everleigh la relègue dans l’ombre de la cour de Bellona, un royaume imprégné des traditions des gladiateurs.
Pourtant, des forces obscures rôdent au sein du palais. Lorsque sa cousine Vasilia, la future héritière de la couronne, assassine sa mère et s’empare du trône de force, Evie est prise en chasse avec le reste de la famille royale. Heureusement pour elle, son immunité secrète à la magie lui permet d’échapper au massacre.
Forcée de se cacher pour survivre, elle rejoint une compagnie de gladiateurs. Bien qu’ils utilisent leurs talents pour divertir et amuser les foules, les gladiateurs sont avant tout de véritables guerriers qui manient avec finesse l’art de la guerre, particulièrement Lucas Sullivan, un mage puissant aux mystérieux secrets. Face à son avenir incertain, Evie démarre un entraînement aux côtés de la troupe.
Alors que Vasilia exerce son emprise sanguinaire sur Bellona, poussant le royaume au bord d’une terrible guerre, le destin d’Evie se précise. Elle doit devenir une redoutable gladiatrice... afin de tuer la reine.
Jennifer a aussi travaillé comme écrivain et concepteur de pages pour un journal lauréat du prix Pulitzer, et a plus de 10 d'expérience du journalisme.
Elle est membre de la Romance Writers of Ameria, de la Science Fiction and Fantasy Writers of America, et d'autres groupes d'écriture.
Je ne suis absolument pas rentrée dans ma lecture. Il me semble essentiellement que je n'ai pas réussi à être captivé par l'héroïne. C'est comme lire l'histoire d'une personnage qui ne vous intéresse pas plus que ça.
Je me suis ennuyée...beaucoup. J'arrête là cette série qui comporte trois tomes.
Dès lors, des rumeurs s’étaient mises à circuler, disant qu’ils couchaient ensemble, malgré le fait que Nox flirtait avec toutes les femmes qu’il croisait, même moi de temps en temps.
Au palais, le sexe était une arme tout aussi tranchante qu’une épée dans une arène de gladiateurs. Certains le considéraient même comme leur arme de prédilection, qu’ils maniaient avec une fourberie insensible. Plus d’un ingénu, homme ou femme, avait quitté le palais quelques semaines après son arrivée, appauvri, en disgrâce et le cœur brisé après avoir été baisé, littéralement et physiquement, par un seigneur ou une dame plus expérimenté.
Je n’appréciais pas Nox. Non pas parce qu’il était mortien, comme Isobel l’aurait suggéré, mais plutôt parce qu’il savait précisément à quel point il était séduisant et s’en servait à son avantage. Il éblouissait constamment les domestiques avec des sourires en coin ou de belles paroles afin d’obtenir ce qu’il désirait, qu’il s’agisse du meilleur morceau de viande au dîner, d’une bouteille de vin particulièrement chère à la cave ou de beaux draps de soie pour son lit. Son sourire était toujours un peu trop cordial pour être honnête. Il me rappelait un serpent tapi dans un nid d’herbes, attendant[…]