menu 2

gfMes dernières chroniques


jeudi 9 septembre 2021

La Confrérie de la dague noire, Tome 18 : L'Amant repenti de J.R. Ward

 



 

Une guerre fait rage à l'insu des humains.

Syn a réussi à cacher son activité de mercenaire à la Confrérie, jusqu'au jour où une mission l'amène à faire face à leur nouvel ennemi. Son chemin croise alors celui d'une sang-mêlé en pleine transition. Jo ignore tout de sa véritable nature, et elle hésite à faire confiance à ce mystérieux inconnu surgi des ténèbres, malgré l'attirance électrique qu'elle ressent pour lui. Mais le temps presse, et Jo et Syn doivent bientôt joindre leurs forces à celles de la Confrérie pour vaincre les éradiqueurs. Alors que les mensonges de Syn menacent de détruire ses liens avec ses frères, l'amour de Jo lui donnera-t-il le courage d'affronter la vérité ?




 https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhnNgCZD4G3VsHxWrmsqtS1nYZZFW2DD31czbKDVrqihysGg3r98EFdt61oTvxgwiyy-20HseuG_XBPuDFqpPoEeNDIsA8pdmoD6TGJd0aBj7ACxGQ2oHZTiub6i7MbF5mQZhyphenhyphenRQPutR91N/s200/ward.jpg


Née dans le Massachusetts, Jessica Rowley Pell Bird tenait un journal intime et écrivait quantité des nouvelles pendant son enfance. L'été avant son entrée à l'université, elle écrivit son premier roman, une histoire d'amour. Diplômé d'histoire de l'art et d'histoire avec une spécialisation sur le Moyen Age, elle suit ensuite un cursus de droit et travaille dans la santé : elle passe ainsi plusieurs années à la tête du personnel d'un des premiers centres universitaires médicaux du pays. Pendant longtemps, elle écrivit seulement pour son plaisir mais a toujours consideré qu'une journée idéale serait celle passée en face de son ordinateur en compagnie de son chien et avec une tasse de café. Un jour, son mari réussit à la convaincre de trouver un agent et Leaping Hearts est publié. Elle écrit sous deux nom. Elle a signé plusieurs romans "isolés" sous le nom de Jessica Bird qu'elle utilise aussi pour la série The Moorehouse Legacy. Sous son nom de plume J.R. Ward, elle a imaginé un cycle autour d'une confrérie mystérieuse : La Confrérie de la dague noire. Auteur de nombreux best-sellers, J.R. Ward a rédéfini les régles de la romance érotique.
 
 

Née dans le Massachusetts, Jessica Rowley Pell Bird tenait un journal intime et écrivait quantité des nouvelles pendant son enfance. L'été avant son entrée à l'université, elle écrivit son premier roman, une histoire d'amour. Diplômé d'histoire de l'art et d'histoire avec une spécialisation sur le Moyen Age, elle suit ensuite un cursus de droit et travaille dans la santé : elle passe ainsi plusieurs années à la tête du personnel d'un des premiers centres universitaires médicaux du pays.

Pendant longtemps, elle écrivit seulement pour son plaisir mais a toujours considéré qu'une journée idéale serait celle passée en face de son ordinateur en compagnie de son chien et avec une tasse de café. Un jour, son mari réussit à la convaincre de trouver un agent et Leaping Hearts est publié. Elle écrit sous deux nom. Elle a signé plusieurs romans "isolés" sous le nom de Jessica Bird qu'elle utilise aussi pour la série The Moorehouse Legacy. Sous son nom de plume J.R. Ward, elle a imaginé un cycle autour d'une confrérie mystérieuse : La Confrérie de la dague noire. 





Je suis la série et je lis globalement tous les livres de cette auteure comme un bon labrador fidèle mais je n'ai plus les mêmes sensations qu'au tout début. Cette série est usée jusqu'à la corde et pourtant....

J'avais tellement eu une révélation au tout début et cela sur de nombreux tomes que j'attends encore...J'attends encore !


Après, je ne suis pas masochiste. Ce roman de J.R. Ward est bon. J'ai passé une bon moment mais les livres sont tellement formatés avec des trames tellement similaires entre elles que je ne suis plus surprise. Je sais d'avance le déroulé et le rythme de ses romans.



Celui-ci ne déroge pas à la règle.

Bref, c'est une bonne lecture mais j'espère vraiment découvrir J.R. Ward dans un autre registre !





La bande de salopards comptait un sale grincheux dans ses rangs.

— Eh bien, eh bien, eh bien, commenta Butch. Voilà la bonne humeur incarnée.

— Qu’est-ce que tu veux ?

— Là tout de suite ? Des Ray-Ban pour me protéger de l’éclat de ta joie.



Il n’aimait pas la façon dont elle le dévisageait, comme si elle avait soulevé le rideau de son apparente quiétude et découvert le tas d’ordures qu’il dissimulait.

— Tu ne dors pas et tes yeux ne se concentrent sur rien.

— Faux. (Il esquissa un petit sourire.) Je n’ai pas réussi à les détacher de toi depuis que tu es entrée, et je n’ai pas envie de regarder ailleurs.