J'ai
désespérément besoin d'elle.
Si elle s'en allait, j'aurais l'impression de perdre une part de moi-même.
Si elle s'en allait, j'aurais l'impression de perdre une part de moi-même.
J'ai
désespérément besoin d'elle.
Si elle s'en allait, j'aurais l'impression de perdre une part de moi-même. Je crois que je suis amoureux d'elle, malheureusement j'ai le don de faire du mal à ceux que j'aime. Je ne peux pas lui infliger ça, mais je ne peux pas non plus la laisser s'en aller.
Incapable de faire le deuil de son frère, Jen décide de couper les ponts avec sa famille et de devenir strip-teaseuse pour assurer sa subsistance. C'est alors que Colin, le meilleur ami de son frère, refait surface. Cet homme providentiel l'aide à se tirer d'affaire et lui propose un poste de serveuse dans son prestigieux restaurant. Elle se sent terriblement attirée par son protecteur, mais ce dernier lui cache de sombres secrets qui le réveillent chaque nuit. S'il refuse de lui révéler ce qui le hante, toute relation entre eux est impossible. S'il l'aime vraiment, il sait ce qui lui reste à faire.
Si elle s'en allait, j'aurais l'impression de perdre une part de moi-même. Je crois que je suis amoureux d'elle, malheureusement j'ai le don de faire du mal à ceux que j'aime. Je ne peux pas lui infliger ça, mais je ne peux pas non plus la laisser s'en aller.
Incapable de faire le deuil de son frère, Jen décide de couper les ponts avec sa famille et de devenir strip-teaseuse pour assurer sa subsistance. C'est alors que Colin, le meilleur ami de son frère, refait surface. Cet homme providentiel l'aide à se tirer d'affaire et lui propose un poste de serveuse dans son prestigieux restaurant. Elle se sent terriblement attirée par son protecteur, mais ce dernier lui cache de sombres secrets qui le réveillent chaque nuit. S'il refuse de lui révéler ce qui le hante, toute relation entre eux est impossible. S'il l'aime vraiment, il sait ce qui lui reste à faire.
Lecture
finie
Il
y a tout ce que j'attendais, après avoir lu la quatrième de
couverture et connaissant le style de l'auteure.
Pas
de mauvaises surprises...
mais
pas de bonnes non plus.
Les
points forts.
La
romance.
J'en
avais assez de Drew et Fable.
En tous cas pour moi, le deuxième tome : la suite des
aventures de Drew et Fable était très faible. Il manquait vraiment
une histoire. D'ailleurs c'est le point faible de l'auteure qui
manque d'originalité dans les intrigues. Cependant j'ai apprécié
Colin et Jen qui avait pour eux l'avantage de la nouveauté dans la
série. J'aime aussi beaucoup leur lien avant leur histoire d'amour.
Ils ont une
histoire, un passé commun qui donne une profondeur à leurs
sentiments enracinés dans le temps.
Les
scènes de sexe sont vraiment bien réussies.
On sent vraiment l'alchimie entre eux. On est pas de le trash (qui
est un peu le passage obligé en ce moment dans la romance) mais on
est pas dans le fleur bleu. Cet équilibre m'a plu.
Les
points faibles
C'est
ce que je disais un peu plus haut. Je trouve que l'histoire n'est pas
très profonde. Il y a un postulat de départ : Jen veut partir
pour s'émanciper... Voilà on a 80%
de la trame narrative. Colin est amoureux d'elle mais ne veut/ne peut
pas lui dire. Ici c'est les 20%
qui manquent. Il n'y a pas grands choses d'autres. Dommage car
j'aime bien ces personnages et tout ça mériterait d'être un peu
plus étoffé.
Bref
Une
lecture plaisante mais loin du coup de cœur.
JE
N’AI PAS ENVIE DE LA LAISSER PARTIR.
Je
ne supporte pas l’idée qu’elle s’apprête à me quitter. Je me
suis laissé guider par la vie, partant du principe qu’elle serait
toujours à mes côtés : à travailler, à vivre, à discuter,
à rire et, parfois, dans ces rares moments dont on ne parle jamais,
quand on se retrouve seuls, très tard dans la nuit, à pleurer avec
moi.
Allongée
dans mon lit, son corps enroulé autour du mien comme une vigne
autour d’une treille, alors que je sens ses mains dans mes cheveux
et son souffle dans mon cou, elle me fait me sentir tellement vivant
que j’ai envie de lui avouer ce que je ressens, ce qu’elle me
fait ressentir.
Mais
je n’ai jamais eu le courage de le faire.
Et,
à présent, elle va s’en aller. Elle dit qu’elle veut que je lui
rende sa liberté, comme si je la retenais, comme si je la freinais.
Je ne peux pas m’empêcher d’être vexé, même si je sais que je
ne le devrais pas. Cela n’a rien à voir avec de l’ingratitude :
elle m’est reconnaissante de tout ce que j’ai fait pour elle. Et
j’en ai fait beaucoup. Trop, probablement…
Je
suis rongé par la culpabilité. Je l’ai d’abord aidée parce que
je me sentais coupable. En réalité, c’est ma faute si elle a
abandonné sa famille, si elle s’est retrouvée toute seule, sans
ressources, luttant pour s’en sortir, acceptant de subir ce
qu’aucune femme ne devrait vivre. Et ce, jusqu’à ce que je
réapparaisse dans sa vie, tel un prince charmant sur son cheval
blanc, pour la sauver d’une situation merdique.
À
mesure que le temps a passé, la culpabilité s’est estompée pour
se muer en quelque chose d’autre.
Quelque
chose de vrai.
Il
faut que je sois franc, que je lui dise ce que je ressens. J’ai
désespérément besoin d’elle. Si elle s’en allait, j’aurais
l’impression de perdre une part de moi-même. Je ne peux pas
prendre ce risque. Je crois – ou plutôt je suis presque
certain – que je suis amoureux d’elle.
Mais
je suis la dernière personne avec qui elle devrait être. J’ai un
don pour faire du mal à ceux dont je suis proche. Je ne pourrais pas
lui faire ça, il n’en est pas question.
Mais
je ne peux pas non plus la laisser s’en aller.
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