Lady
Phoebe Batten est jolie, vive et rêve d'avoir une vie mondaine digne
de celle d'une sœur de Duc.
Lady
Phoebe Batten est jolie, vive et rêve d'avoir une vie mondaine digne
de celle d'une sœur de Duc. Mais parce qu'elle est pratiquement
aveugle, son frère qui la surprotège insiste pour qu'elle ait un
garde armé à ses côtés à chaque instant... Le très énervant
Capitaine Trevillion.
Le Capitaine est fier, maussade et handicapé depuis sa blessure au service de Sa Majesté dans le corps des Dragons. Mais il est toujours capable de tirer et chevaucher comme personne. Garder un œil sur la distrayante Lady Phoebe devrait être une tâche aisée... Jusqu'à ce que des brigands essaient de l'enlever.
Pris dans un engrenage infernal, James doit risquer sa vie pour sauver sa protégée des mécréants qui veulent la forcer à un mariage sans amour.
Mais alors que sa sécurité les oblige à vivre confinés, Phoebe aperçoit sous la carapace du soldat l'homme tendre qu'il est en réalité... ainsi que la possibilité d'une vie heureuse qu'elle n'aurait jamais pu imaginer.
Le Capitaine est fier, maussade et handicapé depuis sa blessure au service de Sa Majesté dans le corps des Dragons. Mais il est toujours capable de tirer et chevaucher comme personne. Garder un œil sur la distrayante Lady Phoebe devrait être une tâche aisée... Jusqu'à ce que des brigands essaient de l'enlever.
Pris dans un engrenage infernal, James doit risquer sa vie pour sauver sa protégée des mécréants qui veulent la forcer à un mariage sans amour.
Mais alors que sa sécurité les oblige à vivre confinés, Phoebe aperçoit sous la carapace du soldat l'homme tendre qu'il est en réalité... ainsi que la possibilité d'une vie heureuse qu'elle n'aurait jamais pu imaginer.
source booknode.com
Elle
étudie l'anthropologie à l'Université du Wisconsin où elle a
rencontré son mari, archéologue. Elle est l'auteur de la série Les
trois princes, qui a été très remarquée par des milliers de
lectrices dans le monde, et de La légende des quatre soldats.
Cliquez
sur la couverture
pour
lire les autres chroniques de la série.
-
Lecture finie -
Je
suis une fan d'Elizabeth Hoyt.
La
plupart de ses romances historiques ont été de très bons moments
de lecture sinon des coups de cœur.
Dès
le début, j'ai été happé par l'histoire de la jeune Phoebe. Une
aristocrate surprotégée en grande partie à cause de sa cécité et
de son frère qui veille férocement sur elle. Elle bénéficie de
la surveillance de James Tréveillon ancien militaire, rendu infirme
suite à un accident. Enfin, il boîte ce qui le rend cependant apte
pour être le garde du corps de la jeune femme. Et
oui c'est bien lui le garde du cœur.
Ces
deux-là ont une relation qui dérape très vite du cadre
professionnel mais ils appartiennent à des univers très différents.
On a là une des vieilles ficelles de la romance historique (mais que
j'aime beaucoup) : deux êtres qui viennent de deux univers
différents. La condition sociale de Phoebe et James rend toute
histoire impossible...ou du moins interdite !
La
première étincelle commence par les mots. J'ai beaucoup aimé les
joutes verbales entre James et Phoebe. La répartie est toujours
bonne et fait mouche.
La
jeune aveugle est en danger. On cherche à l'enlever. James est en
alerte tout comme le frère de la jeune femme Maximus. L'intrigue
tend à lever ce mystère. Qui
et pourquoi veut-on l'enlever ?Alors c'est très bien
mené mais la fin (dont je ne divulguerai rien!) est très décevante.
Elle manque vraiment
d'envergure. Tout retombe au moment ou au contraire on
devrait avoir une apothéose. C'est
un peu le gros bémol de ce livre qui commence vite, fort et
intensément et qui retombe dans le dernier tiers de l'histoire.
Bref
Tous
les ingrédient d'un bon Elizabeth Hoyt sont là.
Les
fans apprécieront même s'il ne s'agit pas du meilleur de l'auteure.
Trevillion
observait Phoebe dans la mer. Les vagues allaient et venaient autour
de ses chevilles. Elle riait, les jupes remontées jusqu’aux
genoux, le visage éclatant dans le soleil. Il aurait aimé pouvoir
peindre la scène. La garder à jamais dans sa mémoire.
À
un moment donné, un moment qu’il ne parvenait pas à situer, il
avait franchi un pont, et le pont s’était écroulé derrière lui.
Rebrousser chemin était impossible. Il tenait à lady Phoebe Batten
plus qu’à n’importe quoi dans sa vie. Plus qu’à sa
famille. Plus qu’à son honneur.
Plus
qu’à sa liberté.
Lui
apporter de la joie était plus précieux que tout l’argent du
monde. Il savait, sans aucun doute ni crainte, qu’il tuerait pour
elle.
Qu’il
mourrait pour elle.
Cette
prise de conscience fut un grand soulagement. Il pouvait
intellectuellement essayer de lutter contre cette évidence en se
servant des vieux arguments usés, comme « je suis trop âgé,
elle est trop jeune », « nous appartenons à des classes
sociales trop différentes ». Mais rien de tout cela ne
comptait. Son cœur avait réalisé un rapt sur son esprit et il n’y
avait aucune échappatoire possible.
Il
aimait lady Phoebe Batten, et l’aimerait toujours.
Phoebe
se tourna vers lui comme si elle l’avait entendu penser ou s’il
avait parlé à haute voix.