Éditeur : Pygmalion
Sortie :
29
mars 2017
|
Une rencontre qui pourrait bien tout bouleverser…
Dans
les Bas-fonds de Néo-Londonia, Léopoldine se bat depuis des années
pour survivre. Lorsque le groupe auquel elle appartient maltraite un
enfant, elle décide de se rebeller, quitte à affronter la colère
de la Guilde des Voleurs. Dorénavant, elle ne laissera plus rien ni
personne lui barrer la route.
Augustin, lui, a toujours mené une existence fastueuse et insouciante, résigné à subir en parallèle l’écrasante emprise de sa mère, la Reine Victoria au règne sans fin. Mais il tombe de haut quand, pour la première fois, il refuse de se conformer à ses plans aussi tortueux que mystérieux. Car, s’il est un prince dont la fonction n’est que titre, c’est lui. Le jeune homme devra résister et fuir pour s’affranchir du joug de la souveraine et embrasser sa destinée.
Une rencontre qui pourrait bien tout bouleverser… mais la liberté ne s’obtient jamais sans sacrifice.
Augustin, lui, a toujours mené une existence fastueuse et insouciante, résigné à subir en parallèle l’écrasante emprise de sa mère, la Reine Victoria au règne sans fin. Mais il tombe de haut quand, pour la première fois, il refuse de se conformer à ses plans aussi tortueux que mystérieux. Car, s’il est un prince dont la fonction n’est que titre, c’est lui. Le jeune homme devra résister et fuir pour s’affranchir du joug de la souveraine et embrasser sa destinée.
Une rencontre qui pourrait bien tout bouleverser… mais la liberté ne s’obtient jamais sans sacrifice.
Georgia
Caldera est née en 1982, dans cette magnifique région qu’est la
Touraine. Depuis son plus jeune âge, elle dévore quantité de
livres en tous genres, avec néanmoins une affection toute
particulière pour la littérature gothique, et n’hésite pas à
dégainer régulièrement la plume.
Avec pour auteurs de prédilection Edgar Allan Poe, Bram Stoker, Sheridan Le Fanu ou encore Anne Rice, c’est dans les univers sombres et fantastiques qu’elle trouvera son propre style. Un style qu’elle explore à la fois avec les mots, mais également à travers l’image, étant illustratrice de formation. Ainsi, c’est après plusieurs années d’études en art qu’elle décide de se tourner plus concrètement vers l’écriture, accompagnant toujours ses productions de supports visuels ayant pour but de donner aux lecteurs un aperçu de ses personnages et de leurs tourments.
Source : http://www.editionsduchatnoir.fr/caldera-georgia/
Avec pour auteurs de prédilection Edgar Allan Poe, Bram Stoker, Sheridan Le Fanu ou encore Anne Rice, c’est dans les univers sombres et fantastiques qu’elle trouvera son propre style. Un style qu’elle explore à la fois avec les mots, mais également à travers l’image, étant illustratrice de formation. Ainsi, c’est après plusieurs années d’études en art qu’elle décide de se tourner plus concrètement vers l’écriture, accompagnant toujours ses productions de supports visuels ayant pour but de donner aux lecteurs un aperçu de ses personnages et de leurs tourments.
Source : http://www.editionsduchatnoir.fr/caldera-georgia/
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Lecture
finie
Une
chose est sûre :
je
suis une fan de Georgia Caldera.
Elle
a vraiment un style qui lui est propre et ses romances sont vraiment
marquantes. Mon p'tit cœur en ressort à chaque fois tourneboulé.
J'avais
eu un énorme coup de cœur pour le premier tome de la série
Victorian Fantasy ; Dentelle et Nécromancie. J'étais vraiment
tombée sous le charme de ce couple aux opposés l'un de l'autre.
Thadeus et Andraste. J'ai
attendu avec beaucoup de fébrilité la suite...
Il
fallait de la patience parce que cette dernière s'est faite attendre
trois ans.
Comme
dirait l'autre : « le plaisir est dans l'attente ».
Oui mais ce qui embêtant dans l'attente, outre la frustration, c'est
l'oubli.
Bien
sûre, on se remet le pieds à l'étrier mais c'est moins agréable.
Il faut dire aussi que j'avais adoré Andraste et Thadeus. Je pensais
les retrouver et que leurs aventures allaient se poursuivre.
Georgia
Caldera a préféré mettre en avant Augustin, le fils de la cruelle
reine Victoria. J'en gardais un mauvais souvenir, j'ai donc été un
peu déçu. Un peu parce que le talent de l'auteur me l'a vite rendu
très attachant. Il faut dire qu'on aura pas épargné grand chose à
ce pauvre homme. Un peu de sadisme Mme Caldera ? Je dis cela
parce qu'il y a des scènes assez violentes où il ne vaut mieux ne
pas grignoter en même temps, la digestion risque d'être mal aisé.
Bref,
Augustin, personnage antipathique du premier tome est remis à
l'honneur ici. Il partage le devant de la scène avec Léopoldine,
une jeune femme des bas-fonds qui est loin d'être uniquement ce
qu'elle paraît-être.
Ils
n'arrêtent pas de se sauver la mise l'un l'autre comme si le destin
s'acharnait à les attacher et à les rendre indispensable. Pourtant,
ils viennent de milieux diamétralement différents ou
alors...l'intrigue n'a pas
fini de vous surprendre ?
Est-ce
que je vous parle plus de l'histoire.
Que
nenni !
Vous
m'en voudriez...
Sachez
que le récit vous fera voyager au grès des nombreuses aventures qui
attendent nos deux héros. L'action et la romance sont les maîtres
mots de ce livre.
Est-ce
que j'ai aimé ?
Oui.
C'est franchement une très belle histoire mais je l'ai trouvé moins
addictive que le premier tome. Pourtant tout est là. L'écriture est
magnifique. L'intrigue vous tiendra en haleine jusqu'à la fin. La
romance fera frémir votre p'tit cœur...oui mais tout cela m'a
semblé moins fluide que pour Thadeus et Andraste. Pour eux, il n'y
avait à enlever. Dans de velours et d'acier, j'ai trouvé certains
passages trop bavards. Cela ralentissaient l'intrigue d'où mon léger
bémol.
Hormis
cela, j'ai vraiment adoré et je dois dire que j'attends la suite...
Il faut dire que j'ai beaucoup apprécié les personnages secondaires
comme celui d'Endel, le frère de Léopoldine. Si la série devait se
poursuivre , je me réjouirais de lire les aventures de ce héros
torturé dans sa propre cher.
Bref
une excellente suite même si je l'ai trouvé moins captivante que le
premier tome. Il reste une magnifique romance
steampunk que je vous conseille vivement.
- Je
t’aimais comme jamais de ma vie je n’avais aimé, insista-t-il,
s’acharnant à remuer le couteau dans la plaie à ses propres
dépens. Passionnément. Ardemment. Avec l’intensité et la
puissance de quelqu’un qui ignorait tout de ce qu’étaient les
sentiments avant que, dans une tempête presque insoutenable
ravageant absolument tout sur son passage, de mes certitudes comme de
mes plus obstinées résolutions, on le lui fasse découvrir.