Après avoir passé des siècles à refuser son rôle, Kolher, fils de Kolher a enfin fini par accepter de succéder à son père sur le trône, avec le soutien de sa compagne bien-aimée. Mais la couronne lui est un lourd fardeau...
Longue
vie au Roi...
Après
avoir passé des siècles à refuser son rôle, Kolher, fils de
Kolher a enfin fini par accepter de succéder à son père sur le
trône, avec le soutien de sa compagne bien-aimée. Mais la couronne
lui est un lourd fardeau. Alors que la guerre avec la Lessening
society fait rage, la menace de la Bande des Bâtards n'arrange rien
et les choix que Kolher est obligé de faire font courir des risques
à ceux auxquels il a promis sa protection.
Beth
Randall avait cru comprendre ce à quoi elle s'engageait en acceptant
de s'unir au dernier vampire pur sang de la planète, mais la vie n'a
rien d'un long fleuve tranquille pour le couple royal. Lorsqu'elle
décide d'avoir un enfant, la réponse négative de Kolher la
surprend beaucoup, et plus encore la distance que son vœu provoque
entre eux deux.
La
vraie question est qui sera le plus fort :
l'amour ou le devoir ?
l'amour ou le devoir ?
Lecture
finie
Moi sachant la date de sortie d'un nouveau J.R. Ward |
Moi allant enfin acheter le nouveau J.R. Ward
Moi à la fin de ma lecture
J'adore
J.R.
Ward . C'est une auteure qui m'aura marqué et qui je pense aura
marqué la romance. Elle dédicace, le douzième tome de sa série :
À
la mémoire de Jonah, alias le Boo, alias le meilleur des
Writerdog.
Repose en paix, nous nous reverrons au bout de ma route. Bisous.
Repose en paix, nous nous reverrons au bout de ma route. Bisous.
Et
à W. Gillette Bird Jr.
Je
me suis toujours demandée qui était cette mystérieuse personne
avec qui elle travaillait. Un groupe de relecture, de fans... Cet
hommage me laisse penser qu'ici, le livre a été écrit seule.
J'émets cet supposition car j'ai trouvé du changement dans le
style, la trame narrative voir même le style. Pour
le style, peut-être est-ce un problème de traduction ?
Enfin bref, les ingrédients sont les mêmes mais la mayonnaise n'est
pas la même.
Si
c'était le premier livre que je lisais de cette auteure,
je le jugerais bon...mais après avoir lu une bonne vingtaine de
livres de J.R. Ward, je dirai qu'il est loin derrière.
Le
livre tourne autour de Kolher
et de Beth.
Celle-ci a un désir très fort d'enfant tandis que son mari a
développé un sentiment inverse. On se doute dès lors que le couple
va traverser une crise. Alors certains moments sont très bons. Le
milieu du livre à peu près.
Mais l'histoire a du mal à commencer et tombe un peu plat après le
dénouement de la crise conjugale.
Il
s'agit de l'histoire principale qui n'est pas forcément mise plus en
valeur que cela. Quatre autres couples ont aussi leur histoire. J'ai
lu ici et là que cette multiplication de personnages (et de leur
romance) desservait le livre. Oui
et non
pour ma part. Oui
je sais, j'adore mes réponse de Normande.
Non
parce qu'ils permettent de fidéliser le lecteur sur la série et pas
uniquement sur un livre. Xcor
et Layla
sont un couple hautement addictif. Tout comme Assault
et Sola.
J'ai moins accroché avec
Trez/ Selena et
Kolher/Anha.
Donc
oui
aussi
ça le dessert car il y a des passages qui m'ont fortement ennuyée
et toutes les romances ne se valent pas.
Revenons
aux autres couples.
Xcor
et Layla.
Je
les adore.
On a une belle version de la Belle et la Bête et J.R. Ward montre à
quelle point l’Élue est la faiblesse du guerrier. Les moments
qu'ils partagent ensemble sont très bons mais trop rares. Deux ou
trois tout au plus... Quand on sait que le prochain tome ne se basera
pas sur leur romance, l'attente commence à devenir (trop) longue....
Assault
et Sola. Assault
part à la recherche de sa belle au début du livre . Il la retrouve
mais vraiment tard. Leur histoire est toujours entrecoupé d'autres
épisodes qui n'ont rien à voir avec la leur . Tant et si bien que
l'on lit deux histoires qui n'ont aucun lien l'une avec l'autre et ça
jusqu'à la fin du livre. C'est assez surprenant, on en lit deux en
parallèles sans aucun lien....Donc les autres épisodes qui
alternent l'histoire Assault/Sola n'apporte rien à la leur. Je
comprends que cela est déplu au lectorat de Mme Ward. Pour ma part,
j'aime ces multiples petites romances mais il faut quand même un
lien entre elles, sinon
la construction du livre semble artificielle.
Trez
et Selena
sont un couple qui ne m'a par particulièrement touché. Trez est un
personnage trop longtemps resté secondaire et sa mise en avant m'a
semblé ratée. Il manque de charisme. Il est décrit comme un
queutard repentant qui tombe amoureux d'une Élue . Il y a un très
beau passage entre eux sinon,
je n'ai pas été captivé par ce personnage et encore plus par son
frère jumeau iAm qui gère
son stress en cuisinant...Moi qui leur trouvait déjà peu de
charisme.
Bref
Un
récit construit autour d'une mosaïque de couples qui donne au final
un récit inégal. Tout ça dit, c'est quand même J.R. Ward donc non
ce n'est pas le meilleur livre qu'elle est écrit (et
de loin) mais oui je le conseille car il y a toujours certains
passages qui sont chargés
d'une
grande puissance .
À
l’instant où il glissa enfin son gland à l’entrée de son sexe,
il sut qu’il serait perdu à jamais s’il allait jusqu’au bout.
Ou peut-être était-ce un mensonge. Peut-être était-il déjà
perdu depuis la première nuit où il l’avait rencontrée sur la
neige.
Alors
qu’il la pénétrait lentement, la sentait se cambrer contre son
torse et regardait ses yeux se révulser, il se mit à souhaiter ne
l’avoir jamais vue. Si agréable cela soit-il, il n’avait pas
besoin d’une telle faiblesse dans sa vie. Mais, comme une plaie
emplie de sel, il l’avait définitivement dans la peau.
Se
secouant, il était tombé à genoux, l’avait cherchée à tâtons
en se dirigeant au son de sa voix et aux convulsions de son corps sur
le sol de marbre. Elle était incohérente, tordue de douleur, perdue
dans les affres des chaleurs.
—
Donne-moi
cette putain de drogue !
Il
lui fallut un moment pour assimiler son exigence, et il comprit alors
qu’il se trouvait à un moment de sa vie où le chemin qui
s’ouvrait devant lui n’avait que deux directions, et, dans son
esprit, ni l’une ni l’autre n’était la bonne.
— Kolher…,
grogna-t-elle. Kolher… drogue-moi et c’est tout.
Il
songea à la trousse qu’il avait laissée sur le plan de toilette.
Il n’avait qu’à l’ouvrir, remplir la seringue et lui injecter
la morphine. Alors, ses souffrances seraient apaisées…
Seulement
en partie, souligna une petite voix au fond de lui-même…
Le
corps de Beth fut terrassé par une nouvelle attaque de désir, qui
transforma son halètement en cri, et la fit convulser au point que
ses membres vinrent buter dans Kolher.
Il
ne sut pas précisément quand il prit sa décision. Mais d’un seul
coup il oublia la morphine et ses mains se posèrent sur la braguette
de son pantalon en cuir.
— Tiens
bon, leelane,
gronda-t-il en sortant son pénis en érection. Tiens bon, je viens…
Et
ce choix lui semblait parfaitement juste.
Sauf
que, quand il chercha ses jambes et entreprit de lui ôter son jean,
cela lui prit une éternité car son corps luttait contre lui, ses
cuisses se refermant pendant qu’elle se tortillait sur le sol,
mais, lorsqu’il finit par lui retirer cette saloperie, il ne perdit
pas de temps. Il la força à s’immobiliser en enfonçant les
doigts dans ses hanches, puis…
Beth
hurla son nom à l’instant où il la pénétra, lui griffant le dos
de ses ongles, écrasant ses seins contre son torse. Il jouit
immédiatement, ses couilles se contractant avant de se relâcher,
mais il ne s’attendait pas à la réaction de sashellane.
Tandis qu’elle jouissait à l’unisson, son sexe l’enserrait,
tirait sur son pénis, l’attirait plus profondément…
Il
eut un nouvel orgasme. Si violent qu’il se mordit la langue.
Allant
et venant en elle, contre elle, il prit son pied de façon
spectaculaire et violente, jusqu’à ce que son corps fasse une
courte pause pour se remettre. Ce fut alors qu’il sentit le
changement qu’il avait opéré en elle ; elle aussi se reposait
brièvement, la tension de son corps se relâchant comme si toutes
ses molécules prenaient une grande inspiration.
Mais
avant qu’il puisse se féliciter il sentit autre chose. Le chagrin
imprégnait désormais l’air. Cette odeur de tristesse épicée
l’arrêta et lui fit baisser la tête vers elle, comme s’il
pouvait la regarder dans les yeux.
— Ne
pleure pas, dit-il d’une voix enrouée. Leelane,
ne…
— Pourquoi
fais-tu cela ? gémit-elle. Pourquoi… ?
Il
n’existait qu’une seule réponse. Pour ce soir, et à jamais :
— Parce
que je t’aime plus que tout au monde.
Plus
que lui-même. Plus que n’importe quel éventuel enfant.
— Il
y aura de nouveau la guerre. À cause de toi.
— Alors
déteste-moi. Cela vaudra mieux pour nous deux.
Elle
le dévisagea pendant une éternité.
— Je
crains que ce ne soit impossible.
Xcor
fit de son mieux pour ignorer la façon dont son cœur bondit dans sa
poitrine.
— Je
vais prendre congé.
— Comment
as-tu trouvé cet endroit ?
— Je
t’ai suivie il n’y a pas longtemps. Tu étais dans une voiture,
tu rentrais de la clinique. Je m’inquiétais à ton sujet.
— Et
pourquoi es-tu venu ce soir ?
— Je
dois y aller.
— Non.
Pendant
un moment, il entretint le rêve qu’elle avait dit cela à son
unique intention. Et pas seulement dans l’espoir de le persuader
encore d’adopter son point de vue.
Cette
folie ne dura pas. Surtout lorsqu’il se revit en train de
terroriser cet humain blessé dans le restaurant désert, uniquement
parce qu’il en était capable… avant de se rappeler qu’il avait
arraché la colonne vertébrale de ces éradiqueurs pour les livrer à
il ne savait plus quel membre de l’aristocratie, comme si le
destinataire avait la moindre importance. Après quoi il se souvint
d’avoir décapité ces tueurs. Les avoir éventrés. Leur avoir
brisé les membres…
Il
y avait tant d’actes de violence dans son passé.
Sans
compter la dépravation qui avait cours dans le camp du Saigneur.
Et
pour couronner le tout, il y avait son visage défiguré.
Il
avait l’intention d’entamer la descente. Contrairement à elle,
il ne pouvait pas se dématérialiser : il avait essayé à de
multiples reprises pour accélérer l’ascension, sans succès dans
ce brouillard.
Oui,
il avait l’intention de la laisser. Pour toutes les raisons qu’il
lui avait expliquées, mais aussi pour celles qu’il taisait.
Au
lieu de quoi, il s’entendit lui dire :
—
Retrouve-moi
sous l’érable. Demain, à minuit.
— Dans
quel…
Elle
resserra sa parka comme s’il allait la dévorer toute crue.
— …dessein
?
— Pas
ce qui t’inquiète.
Cette
fois-ci, il tourna les talons et se mit en route, jusqu’à ce que
ses pensées s’éclaircissent assez pour qu’il s’arrête.
Regardant par-dessus son épaule, il demanda : — Élue, connais-tu
le chemin du retour ?
— Oh
! oui… bien sûr…
Sauf
que, quand elle jeta un coup d’œil autour d’elle, elle parut
désorientée.
— Oui,
c’est juste…
Elle
ne s’arrêta pas pour lui dissimuler la vérité. Elle ne semblait
honnêtement pas savoir où elle se trouvait.
Fermant
les yeux, il poussa un juron. Il n’aurait jamais dû venir ici,
jamais.
Que
se passerait-il s’il la laissait seule ici et qu’elle ne
dénichait pas d’abri avant le lever du soleil ? Et s’ils se
trouvaient en réalité assez loin de l’endroit où elle résidait
?
Posant
les mains sur ses hanches, il inclina la tête en arrière et scruta
les cieux, en se disant qu’ils lui offriraient peut-être un peu de
bon sens, car il avait visiblement perdu le sien.
De
toutes les façons de mourir, songea-t-il…
Il
n’avait jamais envisagé que ce serait à cause d’une femelle.
Il
ne lui dit pas un mot.
Ni
quand il lui écarta les jambes pour la monter, ni quand son pénis
s’insinua en elle et qu’il commença à aller et venir, ni même
lorsqu’il prit appui au-dessus d’elle et la regarda droit dans
les yeux comme s’il la mettait au défi de quitter tout ce qu’il
pouvait lui donner.
Le
large dos d’Ahssaut s’interposait entre elle et le jet d’eau,
ce qui lui permettait de conserver une vision claire. Elle voyait
donc tout de son amant, depuis son expression farouche jusqu’aux
muscles bandés de ses épaules, sans oublier les ombres projetées
par ses pectoraux. Ses cheveux ruisselants ondulaient en rythme,
tandis que des gouttes d’eau tombaient de leurs pointes comme des
larmes et, de temps à autre, il retroussait la lèvre…
Quelque
chose lui parut soudain vaguement déplacé, comme un drapeau rouge
agité dans un coin reculé de son cerveau. Mais il fut trop facile
de l’ignorer quand un nouvel orgasme prit le contrôle, rejetant
toute pensée au profit des sensations qu’Ahssaut lui procurait.
Alors
que le sexe de Sola se contractait autour son pénis en érection, il
jouit à son tour, rejetant son corps en arrière…
Pas
de préservatif. Merde !
Cette
pensée lui traversa l’esprit mais disparut immédiatement lorsque
son orgasme redoubla, au point que, au lieu de le repousser, elle
tendit les mains et lui enfonça les ongles dans les hanches.
Ce
fut juste au moment où son plaisir refluait que les choses devinrent
un peu étranges.
Comme
Sola s’immobilisait pour reprendre des forces, elle sentit qu’il
s’enfonçait profondément en elle pour achever ce qu’il avait
commencé.
Sauf
qu’il n’en avait pas fini avec elle.
Une
fois qu’il eut éjaculé, son bassin collé contre le sien, il se
retira presque immédiatement. Et alors qu’elle s’attendait à ce
qu’il s’allonge avec elle sur le marbre, ou peut-être qu’il la
prenne dans ses bras pour la sécher et l’emmener au lit, ou
peut-être encore qu’il fasse remarquer que, bon sang ! ils
n’avaient pas pris la moindre précaution.
Ou
encore qu’il lui dise ce qu’il venait de lui montrer : qu’il ne
voulait pas qu’elle parte…
Au
lieu de cela, il prit appui sur une main et saisit son pénis luisant
de l’autre. Se caressant, il grogna comme s’il était prêt à
jouir une fois de plus.
Le
second orgasme explosa de son corps et il prit pour cible de sa
jouissance le sexe de Sola, et ne s’arrêta pas là. Après avoir
recouvert son intimité de sa semence, il changea de position afin de
décharger sur le ventre de son amante, puis sur sa cage thoracique,
ses seins, son cou, et finalement son visage. Il semblait avoir des
réserves inépuisables de sperme et, à mesure que les jets brûlants
touchaient sa peau ultrasensible, elle se surprit à jouir en même
temps que lui, étalant elle-même le fluide chaud sur ses seins et
tout le reste de son corps.
Dans
un coin reculé de son cerveau, elle savait qu’il y avait une
raison à tout cela.
Mais
de même qu’avec l’absence de préservatif elle était trop
absorbée par le moment pour s’en soucier.
C’était
comme s’il…la marquait… d’une certaine façon.
Et
cela lui convenait
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