Sortie :
25 août 2017
Éditeur :
Milady
Collection :
Bit-lit
Nombre
de pages : 576 pages
Les stagiaires du centre de formation d la Confrérie de la dague noire continuent de se préparer à la guerre contre la Société Lessening. Pourtant le combat est la dernière chose à l'esprit d' Axe. Le jeune vampire solitaire se sent toujours responsable de la mort de son père. Il doit aussi composer avec l' attirance irrépressible qu'il ressent pour la cousine de Peyton, Elise. Elle appartient à la glymera. Elle aussi ressent la même attraction mais elle ne lui fait pas confiance. Pourtant elle devra faire un choix si elle veut lever les mystères qui entourent la mort de sa sœur.
Pendant ce temps, Marie et Rhage acceuille Bitty, un jeune prétran orphelin dans l'espoir de l'adopter ... Ils devront cependant affronter un jeune homme prétendant être l'oncle de Bitty qui menace de détruire cette tout nouvelle famille.
Traduction: La Chronique des Passions
Née
dans le Massachusetts, Jessica Rowley Pell Bird tenait un journal
intime et écrivait quantité des nouvelles pendant son enfance.
L'été avant son entrée à l'université, elle écrivit son premier
roman, une histoire d'amour. Diplômé d'histoire de l'art et
d'histoire avec une spécialisation sur le Moyen Age, elle suit
ensuite un cursus de droit et travaille dans la santé : elle passe
ainsi plusieurs années à la tête du personnel d'un des premiers
centres universitaires médicaux du pays.
Pendant longtemps,
elle écrivit seulement pour son plaisir mais a toujours consideré
qu'une journée idéale serait celle passée en face de son
ordinateur en compagnie de son chien et avec une tasse de café. Un
jour, son mari réussit à la convaincre de trouver un agent et
Leaping Hearts est publié. Elle écrit sous deux nom. Elle a signé
plusieurs romans "isolés" sous le nom de Jessica Bird
qu'elle utilise aussi pour la série The Moorehouse Legacy. Sous son
nom de plume J.R. Ward, elle a imaginé un cycle autour d'une
confrérie mystérieuse : La Confrérie de la dague noire. Auteur de
nombreux best-sellers, J.R. Ward a rédéfini les régles de la
romance érotique.
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Lecture
finie
Yes !!!!!
Une de mes auteures préférées est de retour !
Je
suis vraiment fan de J.R. Ward qui distille dans ses romances tout ce
que j'adore mais … force est de constater que la qualité des ses
romances déclinait avec la même régularité que son succès
augmentait.
Depuis
quelques romans je ne sentais plus la même qualité dans l'écriture
et les histoires. J.R. Ward a connu un fort succès avec les frères
de la Confrérie de la Dague noire mais je trouve que ses personnages
s'essoufflent. On a l'impression d'ersatz...
Ici,
on en a un exemple flagrant. Le roman suit 2 histoires en parallèle.
Il y a celle des nouvelles recrues avec Axe, le bad boy qui tombe
sous le charme d'Elise. Ils appartiennent à des univers très
différents du fait de leur statut social oui mais...
Pour
la 2ème histoire, on retrouve Rhage qui était déjà mis en avant
dans le tome 14 de la série originelle. Je trouvais que ce tome
l'avait desservi et je n'avais par retrouvé le charisme qui m'avait
fait tombé sous son charme lors de ma lecture du 2ème tome de la
série qui lui était consacré.
Je
vois bien que c'est un personnage qui plaît aux fans et J.R. Ward
nous montre les difficultés qu'ils rencontrent avec Mary dans leur
nouveau rôle de parent.
Alors
mon Yes !!!!
par lequel j'ai commencé ma chronique est une satisfaction par
rapport à l'histoire d'Axe et Elise. J'ai retrouvé le piquant et la
touche de J.R. Ward. Je les adoré ! C'est un amour impossible
et des personnages torturés...comme l'auteure sait bien les faire !
C'est du très bon J.R. Ward !
...Alors
oui c'est un très gros YESSSS !
...Par
contre, l'histoire de Rhage et Mary m'a laissée de marbre. Je ne
suis pas rentrée dedans et j'ai même regretté que l'auteure
utilise jusqu'à la corde ce couple dont je gardais un excellent
souvenir ! Tout leur brio commence à se ternir à force …
Bref,
j'ai adoré rencontré Axe qui est un personnage des Z. en
leur temps. Cependant je trouve que les histoires des autres frères
(les premiers) devraient s'arrêter car à chaque fois que je les
retrouve maintenant,leur éclat diminue toujours un peu plus !
Elise
sourit.
-
Eh bien, si tu n’étais pas aussi agréable à regarder, je ne
materais pas autant. Quoi qu’il en soit, je dois d’abord passer
chez Peyton pour récupérer mon portable.
Axe
fronça les sourcils.
-
Je vais y aller avec toi.
-
Tu n’es pas obligé.
-
Tu crains d’être vue avec moi ?
Elle
tressaillit et leva les yeux vers lui.
-
Non, pas du tout. Pourquoi dis-tu une chose pareille ?
-
Parce que je suis jaloux.
OK,
c’était sexy. Mais ensuite elle résolut l’équation.
-
Attends, de Peyton ?
Axe
rinça son rasoir sous l’eau, le tapota deux fois contre le bord du
lavabo pour l’égoutter, puis entreprit de raser l’autre moitié
de son visage.
-
Oui.
Elle
leva les deux mains en l’air.
-
Laisse-moi te le dire tout de suite : tu n’as aucune raison de
t’inquiéter. Pour commencer je l’ai vu torse nu hier soir…
Axe
tourna la tête si vite qu’il se coupa.
-
Quoi…
-
… et il ne t’arrive pas à la cheville. Vraiment pas.
Il
plissa les yeux.
-
Est-ce qu’il t’a fait des avances ?
-
Non, et il ne fera jamais une chose pareille. (Elle se leva, alla se
coller contre Axe et, tirant la langue, lécha le sang brillant de la
petite coupure, ce qui déclencha une réaction physique immédiate
chez son mâle.) Il sait bien qu’il n’a pas intérêt à le
faire.
Avant
qu’Axe puisse ajouter un mot, elle s’agenouilla à ses pieds,
ouvrit la bouche et fit glisser son sexe en érection profondément
dans sa gorge tout en refermant la main sur ses testicules.
-
Oh ! putain… (Un claquement mat retentit quand Axe se laissa aller
en arrière contre le mur.) Oh, merde…
Sortant
son pénis de sa bouche, elle fit courir sa langue sur le dessous,
avant de décrire un cercle autour de son gland.
-
Toujours jaloux de lui ?
-
Evkaeeio kjo eo faiofkal flla.
Ou
quelque chose dans ce goût-là.
- Quoi, ? Tu veux que je continue à faire ton procès parce que tu m'as causé du tort ? Tu le fais déjà clairement toute seule... et, vu que je suis capable de beaucoup d'autoflagellation moi-même, nous serons toujours plus durs envers non-même qu'envers l'autre. Et, allons, je me suis lié à toi. Donc tu pourrais aussi bien me rouler dessus avec une voiture, m'incendier et me balancer du haut d'un pont que je te reprendrais quand même. Non que je recommande cette approche pour se réconcilier...
N'est-ce
pas merveilleux de ne pas devoir être parfait pour être aimé?
...,
quand on avait été forcé d'endurer la cruauté d'autrui pendant
des années, il existait toujours une séparation entre soi et le
monde, peu importe le temps écoulé ou le nombre de choses agréables
qui vous arrivaient ensuite.
Lorsqu'elle
se pencha en avant pour se serrer contre lui, poussa un soupir de
gratitude.
Parfois,
on n'avait pas besoin de paroles réconfortantes.
Mais
seulement que la bonne personne soit présente pour nous.