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mardi 24 mars 2020

Until the end de Laura S. Wild



 
Un soir d’octobre, alors que Mila rentre chez elle, sa vie bascule. Quelqu’un l’attend en bas de son immeuble. Une main se plaque sur sa bouche, et un 4X4 l’emporte... Mila vient d’être enlevée.
Lorsqu’elle revient à elle, la jeune femme s’aperçoit qu’elle est séquestrée et coupée de tout, sans comprendre pourquoi elle a été prise pour cible. Qui est son ravisseur ? Que lui veut-il ?
Retenue dans un endroit isolé, elle va devoir apprendre à vivre avec Carter, l’homme chargé de la surveiller, qui la trouble autant qu’il la terrifie.
Pour Carter, Mila n’est qu’un contrat de plus à honorer. Sa mission est simple : l’enlever, la maintenir prisonnière puis la relâcher une fois la rançon payée. Mais il commet une erreur qui va tout bouleverser : quelque chose chez sa captive lui fait baisser la garde. Et il laisse malgré lui un lien se créer entre eux...
Tandis que leur cohabitation forcée se prolonge, Carter et Mila en découvrent chaque jour davantage l’un sur l’autre et la jeune femme réalise que malgré les apparences, son ravisseur porte un lourd fardeau et qu’il est peut-être prisonnier autant qu’elle.
Et si l’amour pouvait les libérer ?



Laura S. Wild est une écrivaine française, auteure de new romance. My Escort Love, son premier roman, est paru en 2016 et a reçu le prix du Meilleur Roman Français du festival New Romance.



Une romance particulière...Cela est dû aux personnages atypiques. Personnellement, je ne suis pas rentrée dedans. J'ai même fait une forme de rejet car j'ai trouvé cela malsain. Je ne peux clairement pas vous dire pourquoi la romance est malsaine sans vous révélez les ficelles du roman mais elle est de celle qui dérange...et qui ne fait pas du tout rêver.
Je ne sais pas si ce livre trouvera son public mais je n'en fais pas partie.




Je t’aime, Mila. Ne t’enfuis pas comme ça, je suis terrifié à l’idée de te perdre.
J’avais juste besoin d’air.
Autrement dit, elle avait besoin de respirer loin de moi pendant un instant. Mais moi, j’aurais aimé être son air, son évasion, son havre de paix. J’aurais aimé être son tout.




Carter est tout en contradictions. Tantôt doux et à l'écoute, tantôt destructeur et blessant. Chaque matin, c'est comme tirer à pile ou face : je ne sais jamais laquelle de ces facettes va prendre le dessus, mais à cet instant je m'en fiche.