Il
se tourna enfin pour me faire face, les yeux pleins de larmes. Des
putains de larmes. Pour moi. Pour nous.
Je me levai et courus jusqu’à lui. Il m’enveloppa dans ses bras et me serra si fort que j’avais du mal à respirer, mais je m’en moquais.
Je me levai et courus jusqu’à lui. Il m’enveloppa dans ses bras et me serra si fort que j’avais du mal à respirer, mais je m’en moquais.
Le résumé :

-Mais merde! explosai-je. Même si c'est ce que ressent ma louve, elle n'est pas la seule à avoir son mot à dire. Et la vampire en moi te veut toi, et pas lui.
Il se tourna enfin pour me faire face, les yeux pleins de larmes. Des putains de larmes. Pour moi. Pour nous.
Je me levais et courus jusqu'à lui. Il m'enveloppa dans ses bras et me serra si fort que j'avais du mal à respirer, mais je m'en moquais.
C'était ce que je voulais. C'était lui que je voulais. Nous.
-Nous devons affronter ça ensemble, Quinn. Je ne veux pas continuer sans toi. Vraiment pas.
J'écartais ma tête de son épaule pour plonger dans les profondeurs troublées de ses yeux sombres et murmurait:
- s'il te plaît, dis moi que tu vas essayer.
-J'ai dû lutter longtemps pour te faire mienne, Riley. Et je ne serai pas capable d'abandonner maintenant, même si nos chances sont infimes.
L'extrait :
-
Il n'y a rien à vérifier Kye. Oublie ça et va-t-en.
- Je ne peux pas.
Il semblait aussi misérable que moi.
Lui non plus ne voulait pas de ça.
Il s'arrêta devant moi et m'offrit sa main. Je ne la saisis pas et continuai à le dévisager. Ce que je lus dans ses yeux, et je ne parle pas seulement de l'attirance, ou du désir, ni même de la peur, mais de quelque chose de plus fort, plus profond et infiniment plus effrayant, fit bégayer mon coeur et rugir min sang.
Car, derrière ces profondeurs ambrées, c'était le destin qui me regardait.
Et soudain, tout comme lui, j'éprouvais le besoin de savoir.
Je mis la main dans la sienne. Il m'aida à me redresser et je me retrouvai dans ses bras. J'eus à peine le temps de prendre une inspiration pour me remettre de la bouffée de chaleur provoquée par le contact de son corps qu'il m'embrassait.
- Je ne peux pas.
Il semblait aussi misérable que moi.
Lui non plus ne voulait pas de ça.
Il s'arrêta devant moi et m'offrit sa main. Je ne la saisis pas et continuai à le dévisager. Ce que je lus dans ses yeux, et je ne parle pas seulement de l'attirance, ou du désir, ni même de la peur, mais de quelque chose de plus fort, plus profond et infiniment plus effrayant, fit bégayer mon coeur et rugir min sang.
Car, derrière ces profondeurs ambrées, c'était le destin qui me regardait.
Et soudain, tout comme lui, j'éprouvais le besoin de savoir.
Je mis la main dans la sienne. Il m'aida à me redresser et je me retrouvai dans ses bras. J'eus à peine le temps de prendre une inspiration pour me remettre de la bouffée de chaleur provoquée par le contact de son corps qu'il m'embrassait.