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T'es vraiment une fille géniale,
Anne,
cria Mal à l'intention de nos voisins. Je
t'aime beaucoup.
- T'es sérieux ? C'est comme ça que tu parles pendant l'amour ?
- T'es sérieux ? C'est comme ça que tu parles pendant l'amour ?
Anne
a de gros problèmes d'argent, mais se faire payer pour jouer la
petite amie parfaite n'était pas une bonne idée, peu importe que
Mal soit le batteur des Stage Dive. Maintenant qu'elle n'est plus
libre, son meilleur ami Reece lui déclare sa flamme. Si seulement
l'attraction entre Mal et Anne n'était pas si forte, au-delà du
simple arrangement...
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J'ai
adoré !
J'avais
bien aimé le 1er tome Rock mais il avait
goût de déjà vu. Tous les ingrédients qui composaient la romance
avaient déjà utilisés de nombreuses fois. Ici,
j'ai trouvé la romance très novatrice.
En
quoi ?
Premièrement,
on est à la frontière entre la romance New Adult et la chick-lit.
Je ne m'attendais pas à une plume aussi malicieuse, marrante et
cocasse. C'est ce qui me marquera le plus . J'ai franchement ri à
certains passages.
Ce qui
m'amène à ma deuxième raison. Le
personnage masculin de Malcolm est inclassable.
Rien que pour ça, il faut faire la connaissance de cet homme beau
comme un dieu et marrant comme...Je ne sais pas,
il est le premier dans son genre.
Je
n'ai pas le souvenir en romance d'avoir eu des héros « marrants ».
Le mot est peut-être mal choisi. On a du mal à imaginer un homme
sexy...et marrant. C'est peut-être triste mais c'est ainsi. Ici
préparez-vous à voir cette association. Alors bien sûre, Mal ne
passe pas son temps à faire des blagues mais il a une façon de
prendre les choses que j'ai trouvé craquante.
Il
faut dire et c'est ma troisième raison
que l'auteure est franchement très inspirée. Elle s'amuse à chaque
réplique, chaque situation et nous avec. L'épisode du « lit
cassé » est tordante....
C'est
une romance légère qui ne se prend pas la tête mais c'est
drôlement bien fait. Elle réussit à vous faire passer un bon
moment, c'est certain.
Comme
j'avais aimé mais sans être chaviré le premier tome, je ne m'étais
pas jetée sur la suite mais là honnêtement, je
suis intriguée de connaître un peu mieux le travail de cette
auteure...
Le
tome 3 qui sort à la rentrée porte sur le chanteur Jimmy qui a
l'air moins détendu que Mal. N'empêche, ce
second tome m'a fait craqué sur les quatre membres du groupe.
Bref
Si
vous cherchez une lecture sexy, marrante, cocasse et tendre
(tout
ça dans le désordre...et plus),
ne
passez pas à côté de cette romance !
"-Salut
clitoris d'Anne. C'est moi Mal, ton maître
et seigneur. - Oh mon dieu (je couvris mon visage de mes mains) je
t'en prie pas ça.
- Chut ! Il s'agit d'une conversation privée.
(il déposa des baisers fiévreux le long de mes lèvres. Mon estomac
se noua si serré que c'en était douloureux.) Regarde toi toute
belle et excitée. Ne t'inquiète pas je vais m'occuper de toi.
- Si tu n'arrêtes de parler à mon vagin, je te tue.
(...)
- Si tu n'arrêtes de parler à mon vagin, je te tue.
(...)
- Tu es magnifique, la chatte d'Anne. Juste magnifique. Et moi je ne suis pas méchant comme elle. Je suis de ton côté et je t'aime beaucoup, parce que j'adore te sentir autour de ma bite.
- Je
ne plaisante pas Mal. Tu es en train de me gâcher les cunnis à vie.
Arrête.
- Tu
mens. Tu es trempée. on n'arrivera jamais à nettoyer ce drap.
- Mon
dieu..."
J’eus un nouveau fou rire qui, cette fois, paralysa mes abdos. Pourtant, je continuai de sauter. C’était tellement bizarre de rire, de sauter et d’être excitée tout à la fois. Quand on était petites, des amis de Lizzy avaient un trampoline. Mais ça n’avait jamais été aussi marrant.
Mal
sauta alors un peu trop haut et sa tête heurta le plafond. Il
retomba sur son joli petit cul en se frottant le sommet du crâne.
—
Aïe.
Putain !
—
Ça
va ?
Le lit
s’effondra tout à coup. Un des côtés du cadre en bois s’écrasa
sur le sol, produisant un vacarme impressionnant. Tout aussi
impressionnant, le silence soudain dans l’appartement voisin. Je
trébuchai, glissai et me retrouvai à moitié affalée sur ses
genoux. Un bras providentiel m’entoura, m’empêchant de chuter
plus bas. Nous restâmes là, poitrine contre poitrine, une de mes
jambes au-dessus des siennes.
—
On
a cassé mon lit, dis-je, énonçant l’évidence.
—
Toute
bataille nécessite des sacrifices, ma puce.
—
Ça
va, ta tête ? Tu veux de la glace ? demandai-je en dégageant ses
cheveux blonds emmêlés.
Peut-être
avait-il besoin d’une infirmière pour le réconforter ? Si oui,
j’étais dans les starting-blocks. J’étais à deux doigts de le
lui suggérer. Rien de tel qu’un taux d’alcoolémie élevé pour
se jeter à l’eau.
—
Ça
va, assura-t-il, et son sourire se dessina lentement.
Quelqu’un
tapa sur le mur du côté de Lauren et Nate.
—
Ça
va, vous deux ?
—
Très
bien, merci ! criai-je en retour. Continuez !
J’entendis
des rires étouffés. Mon visage était chaud. Voire brûlant. On
aurait probablement pu y faire cuire un steak. Merde, tout le monde
allait être au courant. Et j’entends par là tout le
monde. Jamais on ne réussirait à faire oublier un truc pareil.
—
Ils
se foutent de notre gueule, dis-je.
—
Tu
rigoles ? On vient de casser le lit en baisant. Ils rêveraient
d’être à notre place. L’ordre naturel de la hiérarchie
sexuelle vient d’être rétabli.
Nous
éclatâmes de rire. La situation était ridicule.
Mais
nos rires se turent et nous nous dévisageâmes. Le visage de Mal
était plongé dans la pénombre, impossible à déchiffrer. Sa bite
durcissante, en revanche, manifesta clairement sa présence sur ma
cuisse. J’aurais tout donné pour savoir ce qu’il pensait. Toute
mon attention se focalisa entre mes jambes et, merde, qu’est-ce que
c’était bon ! J’espérais qu’il allait agir parce que je
n’étais pas sûre de pouvoir entreprendre quoi que ce soit.
J’avais un effet sur lui, mais qu’est-ce que ça signifiait ? Les
pénis faisaient des trucs. Des trucs bizarres comme devenir durs
sans aucune raison. Le sexe ne faisait pas partie de notre accord,
Mal avait été très clair sur ce point. Mais après tous les
baisers et les taquineries de ce soir…
Je
n’avais jamais été à ce point perdue de toute ma vie. Perdue et
excitée.
À
côté, les bruits recommencèrent. De toute évidence, Lauren et
Nate avaient décidé de suivre mon conseil et avaient repris là où
ils s’étaient arrêtés.
—
Je
suis à peu près sûre qu’ils ne pensent pas du tout à nous,
dis-je.
—
Juste
par curiosité, à quel point es-tu bourrée ?
—
Ça
tourne un peu. Pourquoi ?
—
Pour
rien. On ferait mieux de bouger, dit-il d’une voix gutturale.