Tu
n’es qu’une gamine pourrie gâtée.
Dès
qu’une chose te fait envie, tu t’en empares, sans te soucier du
reste. En fait, tu t’es
dit que ce serait amusant de coucher avec le mec de ta meilleure
amie…
Saison
1
Amy
Whitaker, 24 ans, a tout pour être heureuse : fille d'un riche
industriel, elle exerce un métier intéressant et mène une vie
agréable dans un quartier huppé de New-York.
Pourtant, lorsqu'elle retourne dans sa Virginie natale pour aider sa meilleure amie à préparer son mariage, sa vie bascule...
Caleb, le futur marié, est un homme arrogant, désagréable et hautain, qui déplaît à Amy... autant qu'il la fascine.
Et si cette hostilité dissimulait en réalité d'autres sentiments ?
Entre les feux brûlants de la passion et les eaux paisibles de l'amitié, Amy va devoir faire un choix...
Pourtant, lorsqu'elle retourne dans sa Virginie natale pour aider sa meilleure amie à préparer son mariage, sa vie bascule...
Caleb, le futur marié, est un homme arrogant, désagréable et hautain, qui déplaît à Amy... autant qu'il la fascine.
Et si cette hostilité dissimulait en réalité d'autres sentiments ?
Entre les feux brûlants de la passion et les eaux paisibles de l'amitié, Amy va devoir faire un choix...
Saison
2
A
sept semaines du mariage, rien ne va plus...
Meggie s'inquiète du comportement distant de Caleb. Amy, quant à elle, est rongée par la culpabilité...
Entre les amants terribles, l'entente n'est pas toujours au beau fixe. De disputes en réconciliations, ils se cherchent, se trouvent et se déchirent...
Jusqu'où leur passion coupable les emmènera-t-elle ? Peut-être droit dans le mur..
Meggie s'inquiète du comportement distant de Caleb. Amy, quant à elle, est rongée par la culpabilité...
Entre les amants terribles, l'entente n'est pas toujours au beau fixe. De disputes en réconciliations, ils se cherchent, se trouvent et se déchirent...
Jusqu'où leur passion coupable les emmènera-t-elle ? Peut-être droit dans le mur..
J'ai
lu très rapidement les saisons 1 et 2 de ce livre, proposé sous
forme épistolaire. Je n'ai aucun mérite, chaque épisode faisant un
peu moins de 30 pages. Alors j'ai du mal à reprendre les points
forts et les points faibles de ces lectures tant elles ont été
courtes. Je dirai cependant qu'il n'y a rien de transcendant. Il y a
des raccourcis que j'ai eu du mal à comprendre. Ainsi Caleb déteste
la meilleure amie de sa femme dès leur première rencontre.
Pourquoi ?
...parce
que monsieur est attiré dès la
première seconde où il voit Amy qui se trouve être
aussi témoin à son mariage. Vous me direz qu'il existe des choses
encore plus grosses en romance...oui mais là je n'y ai pas cru un
quart de seconde.
Le
format court règle la trame narrative et c'est cela qui crée des
développements impromptus au sein de l'intrigue.
Les
saisons 1 et 2 sont sorties en février 2015 presque simultanément,
il y a maintenant 6 mois. La
suite semble compromise....
Bref
Une
lecture rapide sans prétention mais qui reste loin d'être
mémorable.
Je
mourais d’envie de le toucher. De me lover contre son torse
puissant. De sentir ses grandes mains calleuses parcourir mon corps.
Le
regard de Caleb trahissait un même désir. Mus par une semblable
impulsion, nous nous sommes précipités l’un vers l’autre pour
échanger un baiser ardent, fiévreux.
Tremblante,
le ventre douloureux et l’esprit embrumé, j’étais incapable de
raisonner correctement et ne songeais plus à Meggie. Seul existait
Caleb. Le reste du monde avait disparu, noyé dans un désir qui
avait la puissance d’une vague déferlante.
Je
le voulais en moi. Là. Tout de suite.
Presque
avec fureur, j’empoignai sa chemise pour la lui enlever. Caleb
acheva de s’en débarrasser, la jetant négligemment sur le sol.
Puis, me plaquant contre la porte, il releva ma robe et me délesta
de ma culotte. Après quoi, déboutonnant son jean, il me souleva
entre ses bras puissants et me pénétra ainsi, debout, contre le dur
battant en bois. Les jambes nouées autour de ses hanches, je le
reçus en moi avec un cri de soulagement. Le désir douloureux qui
avait foudroyé mes reins laissait place au plaisir ; un plaisir
intense qui palpitait dans mon ventre, irradiait dans tout mon corps.
La bouche pressée contre le torse musclé de Caleb, je tentais
d’étouffer mes gémissements sonores. Chacun de ses coups de
reins, d’abord lents, puissants, puis empreints de plus de hâte,
m’emportait vers l’extase.
Je
jouis violemment, mordant l’épaule de Caleb, enfonçant mes ongles
dans sa peau. Il vint peu après moi, dans un ultime râle de
plaisir.
Puis,
titubants, épuisés, à bout de souffle, nous avons réajusté nos
vêtements.
Je
songeai que nous n’avions même pas pris la peine de nous protéger.
Cet homme me faisait perdre la tête, au point que j’en oubliais
toute prudence… et tous mes scrupules.
Passant
dans le salon, je nous servis deux verres de whisky.
— Laisse-moi
passer la nuit avec toi, dit Caleb après avoir bu l’alcool d’un
trait. Je t’en prie. Rien qu’une seule fois. Ensuite, nous
reprendrons le cours normal de nos vies. Nous refermerons la
parenthèse. Mais en attendant… laisse-moi rester.
Mon
cerveau me criait de refuser, mais tout mon corps disait oui.
Nous
sommes montés dans ma chambre. Cette fois, nous avons pris le temps
de nous déshabiller, de nous découvrir, de nous apprivoiser.
Longuement,
Caleb a promené ses lèvres sur ma peau nue, tracé du bout de sa
langue des sillons humides sur mon ventre, léché mon sexe trempé
jusqu’à me faire jouir à de nombreuses reprises. Avidement, j’ai
embrassé son torse, parcouru son corps de mes mains, pris son membre
dur dans ma bouche.
Lorsqu’il
me pénétra pour la seconde fois, je demeurai immobile un moment,
les yeux fermés, savourant sa présence en moi.
Il
se mit à aller et venir lentement, en appui sur ses paumes, son
regard plongé dans le mien. Je lus dans ses yeux une telle
tendresse, une telle douceur que j’en fus bouleversée. Nichant ma
tête contre son cou, j’embrassai sa peau bronzée, passai la main
dans ses cheveux désordonnés.
— Mon
Dieu, Caleb… c’est tellement bon…
Plus
tard, il s’allongea sur le dos et je m’empalai sur son sexe
dressé. Oscillant doucement, bougeant les reins au rythme de mon
désir, je montais lentement vers l’extase. Caleb empoigna mes
seins, les pétrissant dans ses larges paumes.
Renversant
la tête en arrière, je jouis dans un long cri. Puis, exténuée, la
poitrine soulevée par un sanglot, je me laissai tomber contre Caleb.
— Tu
ne crois pas qu’il faudrait qu’on parle ?
C’était
exactement ce qu’il avait dit dimanche soir, juste avant que nous
fassions l’amour… il était hors de question que la situation se
répète.
— Tu
l’as dit toi-même, ça n’était qu’une parenthèse. Et nous
l’avons refermée.
— Peut-être,
mais…
Je
me levai d’un bond, faisant face à Caleb.
— Mais
quoi ?
— Tu
sais ce que je crois ? Tu n’es qu’une gamine pourrie gâtée.
Dès qu’une chose te fait envie, tu t’en empares, sans te soucier
du reste. En fait, tu t’es dit que ce serait amusant de coucher
avec le mec de ta meilleure amie… comme les gosses qui veulent
toujours piquer le jouet du voisin.
— Comment
peux-tu dire ça ? Je te rappelle que c’est toi qui m’as
embrassée, c’est toi qui as… merde, Caleb ! Je ne t’ai
rien demandé. Ce qui s’est passé était une erreur, et tu étais
d’accord avec moi sur ce point.
— Donc,
tu t’en fous de savoir que je n’en dors plus… parce que je me
sens terriblement coupable. Et, en même temps, je ne peux pas faire
comme si rien ne s’était passé. Mais toi, apparemment, tu y
arrives très bien…
Son
attitude me paraissait si injuste que, sur le moment, je fus
incapable de répondre. Que croyait-il ? Que je n’étais pas
affectée par tout ça ? Je m’étais montrée raisonnable en
ne le contactant pas, en tentant d’oublier la nuit que nous avions
passée ensemble. C’était la seule chose à faire, lui-même en
avait convenu.
— De
toute façon, tu as déjà rencontré quelqu’un d’autre, pas
vrai ? Meggie m’a parlé d’un certain Joey…
Sa
voix vibrait de colère.