Casting:
Carla
Gugino (Jessie Burlingame) - Bruce
Greenwood (Gerald Burlingame) - Carel Struycken ( Raymond
Andrew Joubert )
Genre:
horreur
psychologique
Format :
103
min
Nationalités :
américaine
Gerald
(Bruce Greenwood) et Jessie Burlingame (Carla Gugino) partent en
week-end romantique vers une maison isolée au bord d'un lac, à
Fairhope en Alabama, pour sauver leur mariage et pimenter leur vie
sexuelle. Gerald suggère d'utiliser des menottes et Jessie accepte.
Alors qu'il prend une pilule de Viagra, Jessie tente d'attirer un
chien errant chien vu plus tôt sur le bord de la route avec du bœuf
de Kobe, puis laisse la porte d'entrée ouverte en revenant dans la
maison.
Jessie
enfile une nouvelle nuisette, enlève l'étiquette et la pose sur une
étagère au dessus du lit. Gerald prend une seconde pilule de
Viagra, puis pose le verre à moitié plein sur cette même étagère.
Le couple commence à s'embrasser, Gerald commence à attacher les
deux paires de menottes aux poignets de Jessie ainsi qu'aux colonnes
du lit. Alors qu'il commence à se montrer brutal et qu'il lui
demande d'appeler à l'aide, elle essaie de se prendre au jeu de
rôle, mais se sent mal à l'aise face aux fantasmes de violence de
son mari. Elle lui ordonne d'arrêter et de la détacher, ce à quoi
il répond: "Et si je refuse?". Quelques instants plus tard
alors qu'ils se disputent, Gerald fait une crise cardiaque, et
s'effondre, sans vie, sur sa femme. Jessie repousse son corps qui
tombe devant le lit, puis, paniquée, tente désespérément
d'appeler à l'aide, en vain, la maison étant isolée de tout.
Quelques
heures plus tard, alors que le soleil commence à se coucher, Jessie
se réveille, fatiguée et faible. Le chien qu'elle a nourri plus tôt
dans la journée entre dans la pièce et renifle le cadavre au pied
du lit. Elle essaie de le faire fuir, mais il arrache un bout de
chair du bras de Gerald, qu'il entreprend de mâchonner sur le pas de
la porte de la chambre. Jessie, désemparée, se met à pleurer, mais
Gerald se relève, se plaignant de sa blessure au bras. Jessie
remarque que le corps de son mari est toujours étendu au sol, et
réalise que Gerald n'est qu'une manifestation de son esprit qui
flanche peu à peu. Il la provoque avec des souvenirs de leur mariage
qui battait de l'aile, où elle craignait de s'interroger sur la part
d'ombre de son mari. Elle tente encore une fois de se libérer d'une
menotte, avec succès et arrache une colonne de lit pour libérer son
autre main. Elle se retourne vers Gerald, jubilante, puis dit à sa
véritable personne qu'il est facile de s'échapper; la véritable
Jessie, toujours attachée au lit, voit maintenant un double
d'elle-même. Les deux hallucinations lui parlent, et l'amènent à
se rappeler du verre d'eau sur l'étagère du dessus. Elle parvient à
attraper le verre en soulevant l'étagère et en le faisant glisser
vers une de ses mains, mais ne peut boire directement, ses menottes
l'empêchant d'atteindre sa bouche. Les hallucinations amènent
Jessie à utiliser l'étiquette de la nuisette, également posée sur
l'étagère, qu'elle roule comme une paille pour boire un peu d'eau.
Jessie
s'endort, se réveille en pleine nuit, et remarque la grande
silhouette d'un homme difforme dans un coin de la pièce. Ce dernier
se rapproche du lit et révèle le contenu d'une boîte contenant des
os et autres bibelots. Jessie ferme les yeux, en disant "Tu n'es
pas réel", puis Gerald réapparaît en lui disant que c'est la
Mort qui attend pour venir la prendre. Il commence à l'appeler
"Petite Souris", ce qui lui déplaît fortement. Elle se
remémore un souvenir de ses douze ans, lorsqu'elle était partie
avec sa famille vers une maison au bord d'un lac pour observer une
éclipse totale de soleil. Jessie, qui avait refusé de prendre le
bateau avec sa mère et sa fratrie, était restée seule sur un banc
avec son père, Tom, qui l'appelait "Petite Souris". Alors
qu'elle s’était assise sur les genoux de son père pour observer
l'éclipse, il s'était masturbé en lui intimant de continuer à
regarder le soleil.
Le
matin suivant, Jessie se réveille avec de douloureuses crampes dues
au manque de circulation sanguine. Le chien revient et tente de
croquer Jessie, qui le chasse brutalement d'un coup de pied. Ce
dernier arrache un autre morceau de chair sur le cadavre de son mari,
qui commence à attirer les mouches. L'hallucination de Gerald
continue de provoquer Jessie à propos de l'homme qu'elle a vu, qu'il
surnomme "L'homme du clair de lune". Son "moi"
hallucinatoire lui force à se rappeler de l'événement qui a suivi
l'éclipse, quand Tom était entré dans la chambre de Jessie, et
qu'à force de manipulation sentimentale, il était parvenu à lui
faire garder le secret sur son abus.
Alors
que la nuit commence à tomber, Jessie a une révélation en se
rappelant qu'elle s'était coupé la main, alors qu'elle serrait son
verre, quand sa mère lui avait demandé son ressenti sur l'éclipse.
Elle vide le verre d'eau, le brise, se coupe le poignet jusqu'à la
paume, et se retourne la peau de sa main droite alors qu'elle réussit
à la libérer des menottes. Elle récupère la clé sur le lavabo,
ouvre les menottes de sa main gauche et se libère totalement. Dans
la salle de bain, elle s'hydrate, pose des serviettes hygiéniques
sur sa main droite mutilée, mais en allant récupérer les clés de
la voiture, elle s'évanouit à cause de la perte de sang.
Elle
se réveille plus tard, devant le corps défiguré de Gerald, alors
que le chien essaie de nouveau de la mordre. Elle le chasse, mais le
chien s'enfuit, apeuré par autre chose en dehors de la chambre.
"L'homme au clair de lune" l'attend à l'autre bout du
couloir. En claudiquant vers lui, Jessie dépose son alliance dans sa
boîte à bibelots, et sort de la maison. Elle parvient à prendre le
volant, mais l'intense fatigue et la perte de sang lui font perdre
connaissance, et elle voit l'homme sur le siège arrière. Elle se
réveille alors que la voiture se crashe contre un arbre, et des
voisins, entendant le bruit, viennent la sauver.
Six
mois plus tard, Jessie est toujours en vie, alors qu'elle a subi
plusieurs greffes de peau sur sa main droite. Bien qu'elle a toujours
des soucis pour écrire avec, elle écrit une lettre à celle qu'elle
était à douze ans. Elle a prétendu être amnésique de l'épreuve
subie il y a six mois, et elle a reçu une importante somme d'argent
de l'assurance de Gerald après sa mort, qu'elle a utilisé pour
créer une fondation aidant les personnes victimes d'abus sexuels. La
nuit, "L'homme au clair de lune" apparaît toujours devant
elle et hante son sommeil. Son alliance n'a jamais été retrouvée
dans la maison au bord du lac, mais elle a appris par les journaux
que "l'homme au clair de lune" est en réalité un serial
killer nommée Raymond Andrew Joubert, souffrant d'acromégalie (ce
qui explique son apparence difforme), qui profanait des cryptes ainsi
que les cadavres. Parfois il mangeait le visage des hommes
uniquement, ce qui expliquait pourquoi il avait laissé Jessie en vie
et pourquoi le visage de Gerald était défiguré.
Raymond
a été capturé par les autorités. Jessie se rend à son procès le
jour du verdict et l'interpelle. En la voyant arriver, il lui répète
ses mots lors de sa première apparition "Tu n'es pas réel",
"Tu n'es fait que de clair de lune", et mime sa position
dans le lit en cassant ses menottes. Jessie s'approche de lui, alors
qu'elle a des visions de son père et de son défunt mari menottés,
et lui lance "Tu es bien moins grand que dans mes souvenirs".
Elle quitte le tribunal et marche dans la rue, alors que l'éclipse
qui hantait ses souvenirs laisse place à un soleil radieux.
Source :
wikipédia
Film
(non fini)
Je
me suis laissée convaincre par une amie fan de Stephen King et de
ses adaptations. J'adore aussi le maître de l'horreur mais là je
n'étais pas au rendez-vous de cette adaptation. Peut-être est-ce
l’œuvre originelle qui se trouve être trop « gore »
mais je ne suis pas rentrée dans la tension de ce scénario
original.
Je
n'ai pas pu dépasser de certains passages...
Bref,
une adaptation ou une histoire qui n'aura pas retenu mon attention
sinon sur la forme que j'ai trouvé « répulsive »...