Son
leitmotiv ? Ne jamais révéler ses faiblesses. Et pour atteindre son
but, Sonia ne se ménage pas. Que personne ne connaisse son vrai
visage lui convient parfaitement. Même ses plus proches amies voient
en elle une fille légère, frivole et décomplexée. Photographe
d'art, il n’y a que dans ses clichés que le secret affleure la
surface…
Lorsque les fantômes de son passé ressurgissent, menaçant de détruire ses remparts, elle panique. Mais c’est sans compter le hasard qui va mettre sur son chemin le seul être capable de la percer à jour.
Hanté lui aussi, Axel parviendra-t-il à combattre ses propres démons pour la sauver ?
Lorsque les fantômes de son passé ressurgissent, menaçant de détruire ses remparts, elle panique. Mais c’est sans compter le hasard qui va mettre sur son chemin le seul être capable de la percer à jour.
Hanté lui aussi, Axel parviendra-t-il à combattre ses propres démons pour la sauver ?
Georgia
Caldera est née en 1982, dans cette magnifique région qu’est la
Touraine. Depuis son plus jeune âge, elle dévore quantité de
livres en tous genres, avec néanmoins une affection toute
particulière pour la littérature gothique, et n’hésite pas à
dégainer régulièrement la plume.
Avec pour auteurs de prédilection Edgar Allan Poe, Bram Stoker, Sheridan Le Fanu ou encore Anne Rice, c’est dans les univers sombres et fantastiques qu’elle trouvera son propre style. Un style qu’elle explore à la fois avec les mots, mais également à travers l’image, étant illustratrice de formation. Ainsi, c’est après plusieurs années d’études en art qu’elle décide de se tourner plus concrètement vers l’écriture, accompagnant toujours ses productions de supports visuels ayant pour but de donner aux lecteurs un aperçu de ses personnages et de leurs tourments.
Source : http://www.editionsduchatnoir.fr/caldera-georgia/
Avec pour auteurs de prédilection Edgar Allan Poe, Bram Stoker, Sheridan Le Fanu ou encore Anne Rice, c’est dans les univers sombres et fantastiques qu’elle trouvera son propre style. Un style qu’elle explore à la fois avec les mots, mais également à travers l’image, étant illustratrice de formation. Ainsi, c’est après plusieurs années d’études en art qu’elle décide de se tourner plus concrètement vers l’écriture, accompagnant toujours ses productions de supports visuels ayant pour but de donner aux lecteurs un aperçu de ses personnages et de leurs tourments.
Source : http://www.editionsduchatnoir.fr/caldera-georgia/
- Lecture finie-
J'ai
adoré !
Sonia
est une jeune femme traumatisée qui le cache derrière une façade
irréprochable. Il le faut car c'est tellement blessant qu'elle a mis
en place des mécanismes pour ne pas l'affronter et ainsi survivre.
Pourtant, un beau jour à cause de certains événements tout cette
mascarade qu'est sa vie ne suffit pas.
C'est
à ce moment qu'elle rencontre Axel. Le jeune homme est loin d'être
une bonne carte car lui même cache de lourdes blessures derrière
son visage défiguré. Pourtant entre ces deux là c'est l'alchimie
imparfaite de deux blessés.
Leur
attirance est quasi irrépressible pourtant elle demande à l'un
comme à l'autre d’assumer leur passé traumatisant...
J'ai
adoré ces deux personnages que j'ai trouvé touchant au possible.
Sonia est lumineuse et Georgia Caldera a vraiment su rendre très
perceptible les angoisses de celle-ci. On est forcément dans
l'empathie et dans l'attachement.
Axel
est comme un animal blessé qui aboie et peut même mordre mais tout
cela est avant tout le résultat de douleurs anciennes mais toujours
vivaces. Il est tellement imprévisible que j'ai craint pour lui tout
le long de ce premier tome.
Le
rythme est très bons et les nombreux rebondissements sont placés de
manière à toujours suscité l'intérêt du lecteur. D'ailleurs Hors
de question se finit sur un cliffangher des plus frustrants. J'ai
enchaîné sur le tome 2 directement !
Bref
une romance magnifique que je vous conseille fortement.
Putains
de chanteurs et de poètes à la con, une sale bande d'enfoirés de
menteurs, ouais ! L'amour, ça n'avait rien de merveilleux. Ça ne
rendait pas noble, valeureux ou encore vertueux. Non, ça rendait
seulement... faible. Vulnérable. Désespéré. Miteux.
Et
surtout...
Stupide.