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lundi 7 avril 2014

I-Team Tome 2 : Scandale meurtrier de Pamela Clare





Et cesse de faire semblant d’être plus solide que tu ne l’es. Tu viens de survivre à un cauchemar. Personne ne peut être en pleine forme après avoir assisté à un assassinat.












Le résumé :
Quand Tossa Novak assiste à la fusillade d'une jeune fille, elle est bien décidée à mettre son talent de journaliste à l'oeuvre pour retrouver le meurtrier. Et son instinct lui dit que l'homme aperçu aux abords de la scène de crime n'est pas étranger à cette histoire...

Fausse piste : il s'agit de Julian Darcangelo, un agent infiltré qui cherche à taire tomber le véritable cerveau de l'affaire et dont l'article de Tossa vient de bousiller la couverture. Trop tard pour faire marche arrière. S'ils veulent s'en sortir vivants, il leur faudra travailler ensemble. Mais à quel prix ?


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L'extrait :
- Pour quelle raison voudraisje vous filer ? demanda-t-elle en riant. Je sais bien que vous n'allez pas passer aux aveux et me décrire quelles pistes vous remontez pour trouver le meurtrier.
- Il y a peu de chance en effet. (lentement sa bouche esquissa un sourire qui lui serra l'estomac.) Vous espérez peut-être que je vous embrasse encore ?
La chaleur envahit ses joues, et elle afficha un air offusqué.
- Vous rêvez Darcangelo !
Il sourit avec un satisfaction signifiant qu'il savait quel effet son baiser avait eu sur elle.
- Vraiment ?
Elle se força à afficher de la froideur, et s'écarta de lui.
-Je suis navrée d'avoir à offenser votre fierté masculine, mais je n'ai pas repensé une seule fois à ce petit becot. De plus vous ne m'avez pas vraiment embrassée.
La tête et les épaules droites, elle le contourna.
Julian était tenté de rire. Il n'avait jamais rencontré aucune femme qui ait fondu comme neige au soleil en un seul baiser. Il sentait nettement son exitation. mais pourquoi se fatiguer à argumenter alors qu'il suffisait de lui en donner la preuve.
En un seul geste, il la plaqua contre le mur, lui bloqua les poignets de ses mains, en lui maintenant les bras écartés de chaque côté de la tête.
- Vous avez raison. Ce n'était pas un vrai baiser, mais en voilà un.
-Mais ... que ... ?
-Chut !

L'extrait :
- C'est quoi "Darcangelo" ?
- Mon nom de famille.
Il se retint de rire.
- Mais non, je veux dire, de quelle origine ? reprit-elle en lui lançant un coussin.
Il para à l'attaque à l'aide de son avant-bras.
- Je suis à moitié italien.
- Quelle moitié ? demanda-t-elle sans réfléchir.
Etait-elle en train de le draguer ? Elle ne flirtait jamais avec personne.
Un sourire charmeur se dessina lentement sur son visage et fit bondir le coeur de Tessa.
- A partir de la taille, jusqu'aux pieds. 




L'extrait :

Il ne contrôlait plus rien depuis un moment. Il parvint tout de même à l’allonger sur le canapé, alors que la douleur avait presque été remplacée par le vif besoin de la prendre sans tarder. Il arracha ses collants et sa culotte, tout en faisant taire ses halètements de surprise d’un baiser impétueux. Elle était douce, brûlante et sucrée. Son cœur tambourinait contre son torse.
Il avait besoin d’entrer en elle. Il devait la pénétrer.
Elle s’arc-bouta sous lui, gémit dans sa bouche, tandis que ses mains glissaient de ses cheveux à ses pectoraux nus. Le passage de ses doigts entre les poils de son torse allumait de multiples incendies sur sa peau. En appui sur un bras, il remonta sa jupe d’un coup sec, écarta ses cuisses à l’aide d’une jambe, libéra son pénis douloureux et le guida vers sa fente.
Une pluie de baisers inonda le visage de Tessa tandis que son bassin s’avançait pour envelopper l’extrémité de sa queue d'une chaleur lisse. Elle était incroyablement étroite, et ses muscles intimes résistaient à son invasion, presque comme si...
Une idée s'imposa alors à lui, aussi choquante qu’un coup de poing.
Vierge ? Elle ne pouvait pas être vierge !
Elle émit un bruit discret, entre le couinement et le grognement, et il vil qu'elle mordait sa lèvre inférieure. Lui faisait-il mal ?
—    Oh non, ma douce ! Je t’en prie, dis-moi que tu l’as déjà fait !
Tout en posant la question, il continuait à s’enfoncer en elle, son corps était trop affamé pour accepter ce qu’il refusait de croire.
—    Une fois.
—    Une fois ?
Oh, la vache !
Luttant pour retrouver le contrôle de ses agissements, il posa ses lèvres sur sa tempe et se dégagea doucement.
—    Ne t'en fais pas, Tessa.
Il lui ouvrit plus largement les jambes, passa l’une de ses chevilles soyeuses autour de sa taille, et leva l’autre pour la poser sur le dossier du canapé afin de faciliter son cheminement. Puis il s’introduisit de nouveau, et se retira encore. Encore et encore, il força l’entrée et reflua, l’écartant un peu plus à chaque passage, jusqu’à ce que son corps tremble du besoin d’être entièrement en elle.
Elle gardait les yeux clos, et sa respiration se fit saccadée alors que sa jambe serrait sa taille pour l’amener plus près d’elle et le presser entre ses cuisses.
Incapable de se retenir plus longtemps, il s’enfonça jusqu’à la garde, et la sentit se contracter autour de lui comme un poing. Mouillée. Serrée. Parfaite.
—    Ô mon Dieu !
Elle gémit, sous l’effet d’un plaisir sexuel brut, et planta les ongles dans ses épaules en soulevant les hanches pour se plaquer contre lui.
Il bougeait, battait fort en elle, d’avant en arrière, la friction brutale et moite l’emmenant au bord du précipice. Déterminé à faire durer l’instant, il s’obligea à se détendre en s’abandonnant à un rythme lent, mais c’était trop bon pour durer une éternité. Quand ses testicules se contractèrent, il comprit qu’il allait jouir beaucoup trop tôt. Mais il ne pouvait plus attendre.
Alors, il vit son beau visage, ses yeux à moitié clos, sa peau rosie par le plaisir, ses lèvres entrouvertes, et il sut qu'il pouvait patienter. Pour elle. Pour Tessa.
—    Oh, Julian ! Je n'aurais jamais imaginé que ça puisse être... oh !
Tessa avait du mal à admettre tout ce qu’elle éprouvait - la plénitude, l'étirement délicieux, le passage soyeux de Julian qui bougeait en elle, au plus profond de son intimité. Son sexe énorme, gonflé et dur comme de l’acier l’emplissait entièrement, et chacun de ses mouvements lui faisait désirer le suivant. C'était le sexe tel qu’elle l’avait toujours rêvé, pareil aux moments dont ses amies se vantaient, à ce qu’elle avait lu dans les romans.
Était-ce bien réel ?
Elle ouvrit les yeux, pour découvrir ses prunelles bleues posées sur elle avec une intensité qui l'embrasait. Ses cheveux noirs tombaient sur ses épaules, la sueur perlait sur son torse, et ses muscles roulaient tandis qu'il vivait en elle, son être entier concentré sur un but unique : lui faire l’amour.
À cette image, elle se contracta violemment.
—    Julian !
Il sourit, puis ses mouvements de hanches redoublèrent d'ardeur, son sexe s'accrocha en elle, tout en frottant contre son clitoris pour renforcer le plaisir qui envahissait son ventre.
—    Je veux te sentir jouir. Viens autour de moi !
Et ces paroles ne furent pas vaines.
L’orgasme la submergea comme une vague d'or en fusion, limpide et aveuglante, sa violence transformant son souffle en un cri enragé, ses muscles se resserrant brusquement autour de lui, avec une impression de complétude aussi perçante qu’agréable.
Elle l'entendit susurrer son nom, sentit le rythme changer et elle comprit qu’il s'abandonnait. Ses hanches s’agitèrent comme un piston alors que ses mouvements se firent plus rapides, plus impétueux, et l’entraînèrent vers un second orgasme inespéré. Elle sentit Julian tressaillir de la tête aux pieds, ses gémissements se mêler à ses cris, et il jouit alors que le plaisir les emportait tous deux.

Ils restèrent allongés en silence, et Julian l’embrassait toujours, alors qu’en elle, son sexe restait à moitié dur. En réalité, il était incapable de ne pas la toucher. Peut-être n’en avait-il pas vraiment envie. Ce simple fait le stupéfiait. Plus surprenant encore, la chaleur des émotions qui s’installaient dans sa poitrine - de la tendresse, un élan protecteur... et quelque chose qu’il se refusait à nommer.
Avant lui, elle n’avait connu qu’un seul homme. Cela l’étonnait, mais il la comprenait mieux. Il n’avait pas oublié ce qu'elle avait dit la nuit où ils avaient failli faire l’amour sur la moquette de son appartement.
L'idée de coucher avec un homme est préférable à l’acte en lui-même.
Un crétin avait pris sa virginité, peut-être même avec brutalité, et ne lui avait rien donné en échange. Julian espérait que ce salopard en avait perdu ses couilles.
—    Je suis trop lourd ? demanda-t-il en frôlant ses lèvres de sa bouche et en dégageant ses hanches.
—    Non, répondit-elle, le souffle court.
Il n’avait pas prévu de coucher avec elle. En fait, après l’autre nuit, il avait pris la décision de ne plus l’approcher. Mais c’était peine perdue face au velours de sa peau, à la douceur de sa féminité, à l’inquiétude sincère qui se reflétait dans ses yeux. Elle avait anéanti sa volonté en quelques minutes - tout cela avec des larmes.
De mémoire, elle était la première femme à pleurer pour lui.
Mais le sexe était un pont à sens unique. Ils étaient passés de l’autre côté, et ne pourraient plus jamais faire marche arrière. Il l’avait amenée là, mais cela signifiait seulement qu’un jour, il allait devoir lui dire au revoir et la laisser seule. Il se maudirait, mais il le ferait malgré tout. Finalement, il ne valait pas mieux que l’homme qui l’avait marquée au fer rouge.
Toutefois, il lui avait donné du plaisir.
—    Oh, Julian ! Je n’aurais jamais imaginé que ça puisse être... !
Il ne pouvait nier que ses paroles avaient flatté sa fierté masculine. S’il n’était pas le premier homme à coucher avec elle, il était le premier à la faire jouir, le premier à lui montrer que le sexe pouvait être synonyme de plaisir. Bien sûr, il y avait encore tant de choses à lui faire découvrir...
Préférant se concentrer sur cette idée plutôt que sur des sentiments dérangeants, il baissa la tête pour glisser sa langue dans sa bouche. Elle lui faisait l'effet d'un aphrodisiaque et sa queue se dressa aussitôt pour l’emplir. Elle le sentit aussi, et ouvrit les yeux avec une surprise évidente.
Il leva la tête, et rit sous cape avant d’arquer les hanches pour sentir en retour ses muscles se serrer naturellement. Elle était hypersensible, comme toutes les femmes après l'amour - hypersensible et tellement mouillée, son sperme se mêlant au miel de son orgasme.
C’était un autre sujet, mais jamais il ne couchait avec une femme sans prendre ses précautions. À quand remontait la dernière fois qu’il avait fait ça sans préservatif ? Il était incapable de s’en souvenir, surtout en cet instant de confusion.
Ses hanches ondulèrent, lentement et il dit :
—    Déboutonne ton chemisier.
Elle écarquilla les yeux, et glissa la main entre leurs deux corps pour défaire un bouton perlé après l’autre, et ouvrir entièrement son chemisier. Son soutien-gorge en dentelle blanche apparut et révéla l’arrondi de ses seins. Il la remercia d’un coup de reins soudain.
Le souffle coupé, elle arqua son corps contre lui.
—    Maintenant, détache ton soutien-gorge.
Sa voix sonnait durement, même à ses oreilles.
D'une main tremblante, elle défit l’agrafe placée entre ses seins. Le vêtement s'ouvrit de part et d’autre sur ses mamelons dénudés. Ils étaient gonflés, et sa peau transparente était marbrée de rose tandis que ses tétons veloutés étaient tendus, serrés.
Il la remercia d’un nouveau coup de reins et accueillit avec satisfaction son grognement d’excitation.
—    Caresse-toi.
Elle le consulta du regard, visiblement surprise de ce nouvel ordre, mais elle obtempéra, malgré l’incertitude qu’il lut sur son visage. Elle prit sa poitrine dans ses mains, épousant sa forme pour mieux la masser, sans cesser de le regarder. Lentement, ses lèvres dessinèrent un sourire aguicheur, et elle prit entre ses doigts la pointe de ses seins - pour les rendre encore plus durs.
Quelque chose se déclencha en lui, et il émit un son rauque. Il baissa la tête en repoussant les mains de Tessa et captura l’un de ces succulents boutons dans sa bouche.
Elle réagit sans attendre. Sa respiration s’accéléra et elle ferma les yeux, le bonheur à l’état pur se reflétant sur son visage. Ses cuisses le prirent en étau pendant qu’il suçait son sein. Tessa décolla le dos du canapé quand elle se souleva pour s’offrir à sa bouche affamée.
Il n’avait pas souvenir d’avoir rencontré une femme ayant une poitrine aussi sensible, et il réalisa qu’il pourrait la faire jouir rien qu’en la tétant. S'il n’avait pas déjà été en elle, il aurait essayé. Mais pour rien au monde il ne quitterait son entrejambe avant qu’ils ne soient tous deux rassasiés.
Il passa sa langue sur un dôme dressé, le pinça avec ses lèvres, puis porta son attention sur l’autre sein, en promenant ses doigts sur le premier.
Un gémissement. De plus en plus grave. Ses doigts qui se perdaient dans ses cheveux.
—    Mon Dieu !
Il continuait à onduler ses hanches avec lenteur pour faire durer leur plaisir. Ce n’était pas facile, et ce le fut moins encore quand ses dents l’éraflèrent et qu'elle souleva son bassin à son rythme, comme si elle le chevauchait par en dessous. Il savait ce qu’elle voulait, mais il n'allait pas le lui donner. Pas encore.
Tessa n’en pouvait plus. Le corps de Julian était un instrument de torture, sa bouche infatigable et chaude sur ses seins, sa verge qui se mouvait en elle avec une lenteur intenable, centimètre par centimètre. Désespérée, elle se cabra au plus près de lui, pour le forcer à accélérer la cadence, pour l’emmener plus loin en elle, mais il ne fit que rire et reculer.
—    Ne bouge pas.
Elle grogna de frustration.
—    Je... je ne peux pas !
—    Mais si.
Il souffla sur ses seins humides. Elle haleta, les frissons envoyant des décharges qui couraient jusqu’à son ventre. Elle enroula ses hanches par réflexe, en quête de plénitude.
Cette fois-ci, il dégagea entièrement son sexe, ne laissant que son gland en elle.
—    Arrête de bouger !
Elle voulait obéir, mais elle ne put retenir ses cris quand il la pénétra avec une lenteur étourdissante, alors que sa langue dessinait des cercles sur ses mamelons et qu’il la mordillait. Ses dents grignotèrent les pointes dures et irritées, avant de descendre sous sa poitrine.
—    Ô mon Dieu,  Julian, oh !
Plus elle approchait de l’orgasme, plus il ralentissait pour prolonger son extase, la laissant dans une sorte de purgatoire sexuel, suspendue au bord de la jouissance extrême qui semblait pourtant à portée de main. Même le plus petit nerf de son corps était enflammé, à tel point que tout était insupportable, le contact de sa peau, le passage de sa langue, la présence de sa queue en acier brûlant.
Mais elle atteignit trop brusquement le point ultime, si bien que le plaisir s’imposa à elle comme une vague qui grossissait à chaque passage pour l’emmener se fracasser contre la falaise. Son hoquet de surprise se transforma en mugissement grave, puis en cri aigu au moment où elle se sentit dériver, vulnérable, vers la délivrance finale.
—     Julian,  Julian,  Julian !
Elle s’arqua violemment, serra les poings dans ses cheveux humides de sueur, et enroula fermement ses jambes autour de sa taille pour repousser l’instant. La lenteur des mouvements du bassin de  Julian prolongea son orgasme jusqu’à ce qu’elle éclate en sanglots sous l’effet d’une telle intensité. Alors son sexe tambourina en elle, et la profondeur de la pénétration l’envoya une fois de plus vers des sommets de plaisir, le corps de  Julian tremblant de toute la force de sa propre libération. Quand il s'effondra sur elle, ils étaient aussi trempés et exténués l’un que l’autre.