Et
cesse de faire semblant d’être plus solide que tu ne l’es. Tu
viens de survivre à un cauchemar. Personne ne peut être en pleine
forme après avoir assisté à un assassinat.
Le résumé :
Quand Tossa Novak assiste à la fusillade d'une jeune fille, elle est bien décidée à mettre son talent de journaliste à l'oeuvre pour retrouver le meurtrier. Et son instinct lui dit que l'homme aperçu aux abords de la scène de crime n'est pas étranger à cette histoire...
Fausse piste : il s'agit de Julian Darcangelo, un agent infiltré qui cherche à taire tomber le véritable cerveau de l'affaire et dont l'article de Tossa vient de bousiller la couverture. Trop tard pour faire marche arrière. S'ils veulent s'en sortir vivants, il leur faudra travailler ensemble. Mais à quel prix ?
L'extrait :
-
Pour quelle raison voudraisje vous filer ? demanda-t-elle en riant.
Je sais bien que vous n'allez pas passer aux aveux et me décrire
quelles pistes vous remontez pour trouver le meurtrier.
- Il y a peu de chance en effet. (lentement sa bouche esquissa un sourire qui lui serra l'estomac.) Vous espérez peut-être que je vous embrasse encore ?
La chaleur envahit ses joues, et elle afficha un air offusqué.
- Vous rêvez Darcangelo !
Il sourit avec un satisfaction signifiant qu'il savait quel effet son baiser avait eu sur elle.
- Vraiment ?
Elle se força à afficher de la froideur, et s'écarta de lui.
-Je suis navrée d'avoir à offenser votre fierté masculine, mais je n'ai pas repensé une seule fois à ce petit becot. De plus vous ne m'avez pas vraiment embrassée.
La tête et les épaules droites, elle le contourna.
Julian était tenté de rire. Il n'avait jamais rencontré aucune femme qui ait fondu comme neige au soleil en un seul baiser. Il sentait nettement son exitation. mais pourquoi se fatiguer à argumenter alors qu'il suffisait de lui en donner la preuve.
En un seul geste, il la plaqua contre le mur, lui bloqua les poignets de ses mains, en lui maintenant les bras écartés de chaque côté de la tête.
- Vous avez raison. Ce n'était pas un vrai baiser, mais en voilà un.
-Mais ... que ... ?
-Chut !
- Il y a peu de chance en effet. (lentement sa bouche esquissa un sourire qui lui serra l'estomac.) Vous espérez peut-être que je vous embrasse encore ?
La chaleur envahit ses joues, et elle afficha un air offusqué.
- Vous rêvez Darcangelo !
Il sourit avec un satisfaction signifiant qu'il savait quel effet son baiser avait eu sur elle.
- Vraiment ?
Elle se força à afficher de la froideur, et s'écarta de lui.
-Je suis navrée d'avoir à offenser votre fierté masculine, mais je n'ai pas repensé une seule fois à ce petit becot. De plus vous ne m'avez pas vraiment embrassée.
La tête et les épaules droites, elle le contourna.
Julian était tenté de rire. Il n'avait jamais rencontré aucune femme qui ait fondu comme neige au soleil en un seul baiser. Il sentait nettement son exitation. mais pourquoi se fatiguer à argumenter alors qu'il suffisait de lui en donner la preuve.
En un seul geste, il la plaqua contre le mur, lui bloqua les poignets de ses mains, en lui maintenant les bras écartés de chaque côté de la tête.
- Vous avez raison. Ce n'était pas un vrai baiser, mais en voilà un.
-Mais ... que ... ?
-Chut !
L'extrait :
-
C'est quoi "Darcangelo" ?
- Mon nom de famille.
Il se retint de rire.
- Mais non, je veux dire, de quelle origine ? reprit-elle en lui lançant un coussin.
Il para à l'attaque à l'aide de son avant-bras.
- Je suis à moitié italien.
- Quelle moitié ? demanda-t-elle sans réfléchir.
Etait-elle en train de le draguer ? Elle ne flirtait jamais avec personne.
Un sourire charmeur se dessina lentement sur son visage et fit bondir le coeur de Tessa.
- A partir de la taille, jusqu'aux pieds.
- Mon nom de famille.
Il se retint de rire.
- Mais non, je veux dire, de quelle origine ? reprit-elle en lui lançant un coussin.
Il para à l'attaque à l'aide de son avant-bras.
- Je suis à moitié italien.
- Quelle moitié ? demanda-t-elle sans réfléchir.
Etait-elle en train de le draguer ? Elle ne flirtait jamais avec personne.
Un sourire charmeur se dessina lentement sur son visage et fit bondir le coeur de Tessa.
- A partir de la taille, jusqu'aux pieds.
L'extrait :
Il
ne contrôlait plus rien depuis un moment. Il parvint tout de même à
l’allonger sur le canapé, alors que la douleur avait presque été
remplacée par le vif besoin de la prendre sans tarder. Il arracha
ses collants et sa culotte, tout en faisant taire ses halètements de
surprise d’un baiser impétueux. Elle était douce, brûlante et
sucrée. Son cœur tambourinait contre son torse.
Il
avait besoin d’entrer en elle. Il devait la pénétrer.
Elle
s’arc-bouta sous lui, gémit dans sa bouche, tandis que ses mains
glissaient de ses cheveux à ses pectoraux nus. Le passage de ses
doigts entre les poils de son torse allumait de multiples incendies
sur sa peau. En appui sur un bras, il remonta sa jupe d’un coup
sec, écarta ses cuisses à l’aide d’une jambe, libéra son pénis
douloureux et le guida vers sa fente.
Une
pluie de baisers inonda le visage de Tessa tandis que son bassin
s’avançait pour envelopper l’extrémité de sa queue d'une
chaleur lisse. Elle était incroyablement étroite, et ses muscles
intimes résistaient à son invasion, presque comme si...
Une
idée s'imposa alors à lui, aussi choquante qu’un coup de poing.
Vierge
? Elle ne pouvait pas être vierge !
Elle
émit un bruit discret, entre le couinement et le grognement, et il
vil qu'elle mordait sa lèvre inférieure. Lui faisait-il mal ?
—
Oh
non, ma douce ! Je t’en prie, dis-moi que tu l’as déjà fait !
Tout
en posant la question, il continuait à s’enfoncer en elle, son
corps était trop affamé pour accepter ce qu’il refusait de
croire.
—
Une
fois.
—
Une
fois ?
Oh,
la vache !
Luttant
pour retrouver le contrôle de ses agissements, il posa ses lèvres
sur sa tempe et se dégagea doucement.
—
Ne
t'en fais pas, Tessa.
Il
lui ouvrit plus largement les jambes, passa l’une de ses chevilles
soyeuses autour de sa taille, et leva l’autre pour la poser sur le
dossier du canapé afin de faciliter son cheminement. Puis il
s’introduisit de nouveau, et se retira encore. Encore et encore, il
força l’entrée et reflua, l’écartant un peu plus à chaque
passage, jusqu’à ce que son corps tremble du besoin d’être
entièrement en elle.
Elle
gardait les yeux clos, et sa respiration se fit saccadée alors que
sa jambe serrait sa taille pour l’amener plus près d’elle et le
presser entre ses cuisses.
Incapable
de se retenir plus longtemps, il s’enfonça jusqu’à la garde, et
la sentit se contracter autour de lui comme un poing. Mouillée.
Serrée. Parfaite.
—
Ô
mon Dieu !
Elle
gémit, sous l’effet d’un plaisir sexuel brut, et planta les
ongles dans ses épaules en soulevant les hanches pour se plaquer
contre lui.
Il
bougeait, battait fort en elle, d’avant en arrière, la friction
brutale et moite l’emmenant au bord du précipice. Déterminé à
faire durer l’instant, il s’obligea à se détendre en
s’abandonnant à un rythme lent, mais c’était trop bon pour
durer une éternité. Quand ses testicules se contractèrent, il
comprit qu’il allait jouir beaucoup trop tôt. Mais il ne pouvait
plus attendre.
Alors,
il vit son beau visage, ses yeux à moitié clos, sa peau rosie par
le plaisir, ses lèvres entrouvertes, et il sut qu'il pouvait
patienter. Pour elle. Pour Tessa.
—
Oh,
Julian ! Je n'aurais jamais imaginé que ça puisse être... oh !
Tessa
avait du mal à admettre tout ce qu’elle éprouvait - la plénitude,
l'étirement délicieux, le passage soyeux de Julian qui bougeait en
elle, au plus profond de son intimité. Son sexe énorme, gonflé et
dur comme de l’acier l’emplissait entièrement, et chacun de ses
mouvements lui faisait désirer le suivant. C'était le sexe tel
qu’elle l’avait toujours rêvé, pareil aux moments dont ses
amies se vantaient, à ce qu’elle avait lu dans les romans.
Était-ce
bien réel ?
Elle
ouvrit les yeux, pour découvrir ses prunelles bleues posées sur
elle avec une intensité qui l'embrasait. Ses cheveux noirs tombaient
sur ses épaules, la sueur perlait sur son torse, et ses muscles
roulaient tandis qu'il vivait en elle, son être entier concentré
sur un but unique : lui faire l’amour.
À
cette image, elle se contracta violemment.
—
Julian
!
Il
sourit, puis ses mouvements de hanches redoublèrent d'ardeur, son
sexe s'accrocha en elle, tout en frottant contre son clitoris pour
renforcer le plaisir qui envahissait son ventre.
—
Je
veux te sentir jouir. Viens autour de moi !
Et
ces paroles ne furent pas vaines.
L’orgasme
la submergea comme une vague d'or en fusion, limpide et aveuglante,
sa violence transformant son souffle en un cri enragé, ses muscles
se resserrant brusquement autour de lui, avec une impression de
complétude aussi perçante qu’agréable.
Elle
l'entendit susurrer son nom, sentit le rythme changer et elle comprit
qu’il s'abandonnait. Ses hanches s’agitèrent comme un piston
alors que ses mouvements se firent plus rapides, plus impétueux, et
l’entraînèrent vers un second orgasme inespéré. Elle sentit
Julian tressaillir de la tête aux pieds, ses gémissements se mêler
à ses cris, et il jouit alors que le plaisir les emportait tous
deux.
Ils
restèrent allongés en silence, et Julian l’embrassait toujours,
alors qu’en elle, son sexe restait à moitié dur. En réalité, il
était incapable de ne pas la toucher. Peut-être n’en avait-il pas
vraiment envie. Ce simple fait le stupéfiait. Plus surprenant
encore, la chaleur des émotions qui s’installaient dans sa
poitrine - de la tendresse, un élan protecteur... et quelque chose
qu’il se refusait à nommer.
Avant
lui, elle n’avait connu qu’un seul homme. Cela l’étonnait,
mais il la comprenait mieux. Il n’avait pas oublié ce qu'elle
avait dit la nuit où ils avaient failli faire l’amour sur la
moquette de son appartement.
L'idée
de coucher avec un homme est préférable à l’acte en lui-même.
Un
crétin avait pris sa virginité, peut-être même avec brutalité,
et ne lui avait rien donné en échange. Julian espérait que ce
salopard en avait perdu ses couilles.
—
Je
suis trop lourd ? demanda-t-il en frôlant ses lèvres de sa bouche
et en dégageant ses hanches.
—
Non,
répondit-elle, le souffle court.
Il
n’avait pas prévu de coucher avec elle. En fait, après l’autre
nuit, il avait pris la décision de ne plus l’approcher. Mais
c’était peine perdue face au velours de sa peau, à la douceur de
sa féminité, à l’inquiétude sincère qui se reflétait dans ses
yeux. Elle avait anéanti sa volonté en quelques minutes - tout cela
avec des larmes.
De
mémoire, elle était la première femme à pleurer pour lui.
Mais
le sexe était un pont à sens unique. Ils étaient passés de
l’autre côté, et ne pourraient plus jamais faire marche arrière.
Il l’avait amenée là, mais cela signifiait seulement qu’un
jour, il allait devoir lui dire au revoir et la laisser seule. Il se
maudirait, mais il le ferait malgré tout. Finalement, il ne valait
pas mieux que l’homme qui l’avait marquée au fer rouge.
Toutefois,
il lui avait donné du plaisir.
—
Oh,
Julian ! Je n’aurais jamais imaginé que ça puisse être... !
Il
ne pouvait nier que ses paroles avaient flatté sa fierté masculine.
S’il n’était pas le premier homme à coucher avec elle, il était
le premier à la faire jouir, le premier à lui montrer que le sexe
pouvait être synonyme de plaisir. Bien sûr, il y avait encore tant
de choses à lui faire découvrir...
Préférant
se concentrer sur cette idée plutôt que sur des sentiments
dérangeants, il baissa la tête pour glisser sa langue dans sa
bouche. Elle lui faisait l'effet d'un aphrodisiaque et sa queue se
dressa aussitôt pour l’emplir. Elle le sentit aussi, et ouvrit les
yeux avec une surprise évidente.
Il
leva la tête, et rit sous cape avant d’arquer les hanches pour
sentir en retour ses muscles se serrer naturellement. Elle était
hypersensible, comme toutes les femmes après l'amour - hypersensible
et tellement mouillée, son sperme se mêlant au miel de son orgasme.
C’était
un autre sujet, mais jamais il ne couchait avec une femme sans
prendre ses précautions. À quand remontait la dernière fois qu’il
avait fait ça sans préservatif ? Il était incapable de s’en
souvenir, surtout en cet instant de confusion.
Ses
hanches ondulèrent, lentement et il dit :
—
Déboutonne
ton chemisier.
Elle
écarquilla les yeux, et glissa la main entre leurs deux corps pour
défaire un bouton perlé après l’autre, et ouvrir entièrement
son chemisier. Son soutien-gorge en dentelle blanche apparut et
révéla l’arrondi de ses seins. Il la remercia d’un coup de
reins soudain.
Le
souffle coupé, elle arqua son corps contre lui.
—
Maintenant,
détache ton soutien-gorge.
Sa
voix sonnait durement, même à ses oreilles.
D'une
main tremblante, elle défit l’agrafe placée entre ses seins. Le
vêtement s'ouvrit de part et d’autre sur ses mamelons dénudés.
Ils étaient gonflés, et sa peau transparente était marbrée de
rose tandis que ses tétons veloutés étaient tendus, serrés.
Il
la remercia d’un nouveau coup de reins et accueillit avec
satisfaction son grognement d’excitation.
—
Caresse-toi.
Elle
le consulta du regard, visiblement surprise de ce nouvel ordre, mais
elle obtempéra, malgré l’incertitude qu’il lut sur son visage.
Elle prit sa poitrine dans ses mains, épousant sa forme pour mieux
la masser, sans cesser de le regarder. Lentement, ses lèvres
dessinèrent un sourire aguicheur, et elle prit entre ses doigts la
pointe de ses seins - pour les rendre encore plus durs.
Quelque
chose se déclencha en lui, et il émit un son rauque. Il baissa la
tête en repoussant les mains de Tessa et captura l’un de ces
succulents boutons dans sa bouche.
Elle
réagit sans attendre. Sa respiration s’accéléra et elle ferma
les yeux, le bonheur à l’état pur se reflétant sur son visage.
Ses cuisses le prirent en étau pendant qu’il suçait son sein.
Tessa décolla le dos du canapé quand elle se souleva pour s’offrir
à sa bouche affamée.
Il
n’avait pas souvenir d’avoir rencontré une femme ayant une
poitrine aussi sensible, et il réalisa qu’il pourrait la faire
jouir rien qu’en la tétant. S'il n’avait pas déjà été en
elle, il aurait essayé. Mais pour rien au monde il ne quitterait son
entrejambe avant qu’ils ne soient tous deux rassasiés.
Il
passa sa langue sur un dôme dressé, le pinça avec ses lèvres,
puis porta son attention sur l’autre sein, en promenant ses doigts
sur le premier.
Un
gémissement. De plus en plus grave. Ses doigts qui se perdaient dans
ses cheveux.
—
Mon
Dieu !
Il
continuait à onduler ses hanches avec lenteur pour faire durer leur
plaisir. Ce n’était pas facile, et ce le fut moins encore quand
ses dents l’éraflèrent et qu'elle souleva son bassin à son
rythme, comme si elle le chevauchait par en dessous. Il savait ce
qu’elle voulait, mais il n'allait pas le lui donner. Pas encore.
Tessa
n’en pouvait plus. Le corps de Julian était un instrument de
torture, sa bouche infatigable et chaude sur ses seins, sa verge qui
se mouvait en elle avec une lenteur intenable, centimètre par
centimètre. Désespérée, elle se cabra au plus près de lui, pour
le forcer à accélérer la cadence, pour l’emmener plus loin en
elle, mais il ne fit que rire et reculer.
—
Ne
bouge pas.
Elle
grogna de frustration.
—
Je...
je ne peux pas !
—
Mais
si.
Il
souffla sur ses seins humides. Elle haleta, les frissons envoyant des
décharges qui couraient jusqu’à son ventre. Elle enroula ses
hanches par réflexe, en quête de plénitude.
Cette
fois-ci, il dégagea entièrement son sexe, ne laissant que son gland
en elle.
—
Arrête
de bouger !
Elle
voulait obéir, mais elle ne put retenir ses cris quand il la pénétra
avec une lenteur étourdissante, alors que sa langue dessinait des
cercles sur ses mamelons et qu’il la mordillait. Ses dents
grignotèrent les pointes dures et irritées, avant de descendre sous
sa poitrine.
—
Ô
mon Dieu, Julian, oh !
Plus
elle approchait de l’orgasme, plus il ralentissait pour prolonger
son extase, la laissant dans une sorte de purgatoire sexuel,
suspendue au bord de la jouissance extrême qui semblait pourtant à
portée de main. Même le plus petit nerf de son corps était
enflammé, à tel point que tout était insupportable, le contact de
sa peau, le passage de sa langue, la présence de sa queue en acier
brûlant.
Mais
elle atteignit trop brusquement le point ultime, si bien que le
plaisir s’imposa à elle comme une vague qui grossissait à chaque
passage pour l’emmener se fracasser contre la falaise. Son hoquet
de surprise se transforma en mugissement grave, puis en cri aigu au
moment où elle se sentit dériver, vulnérable, vers la délivrance
finale.
—
Julian,
Julian, Julian !
Elle
s’arqua violemment, serra les poings dans ses cheveux humides de
sueur, et enroula fermement ses jambes autour de sa taille pour
repousser l’instant. La lenteur des mouvements du bassin de
Julian prolongea son orgasme jusqu’à ce qu’elle éclate en
sanglots sous l’effet d’une telle intensité. Alors son sexe
tambourina en elle, et la profondeur de la pénétration l’envoya
une fois de plus vers des sommets de plaisir, le corps de
Julian tremblant de toute la force de sa propre libération. Quand il
s'effondra sur elle, ils étaient aussi trempés et exténués l’un
que l’autre.