Mon
plus grand défaut est mon absence de défauts,
reprit-il. Sais-tu
que la perfection peut être un fardeau ?
Comme
tous les Seigneurs de l'ombre, Torin est le gardien d'un démon :
Maladie, à cause duquel il transmet les pires fléaux à ceux qu'il
touche. Peste, choléra... tout le monde est contaminé. Les femmes
surtout, avec lesquelles Torin ne peut avoir de rapport amoureux sans
les contaminer irrémédiablement.
Condamné à la solitude, Torin semble s'être accommodé de son destin. Jusqu'au jour où sa route croise celle de Keeley. Venue des Enfers, celle que l'on surnomme la Reine de Sang sait comment lever la malédiction qui pèse sur les Seigneurs. Mais pour cela Torin doit la conduire dans leur citadelle. Une mission quasi impossible tant Keeley éveille en lui un désir irrépressible...
Condamné à la solitude, Torin semble s'être accommodé de son destin. Jusqu'au jour où sa route croise celle de Keeley. Venue des Enfers, celle que l'on surnomme la Reine de Sang sait comment lever la malédiction qui pèse sur les Seigneurs. Mais pour cela Torin doit la conduire dans leur citadelle. Une mission quasi impossible tant Keeley éveille en lui un désir irrépressible...
— Pourquoi
voudrais-je donner du plaisir à une femme exaspérante qui a des
défauts ?
Elle tressaillit.
— Je n’ai aucun défaut !
— Tes sautes d’humeur te rendent particulièrement dangereuse, princesse. Mais tu es aussi amusante, spirituelle, à la fois forte et fragile, ne put-il s’empêcher d’ajouter. Tu m’incites à douter de toutes les règles que je m’étais imposées et tu es très séduisante. J’aime te regarder, moi aussi.
Elle en resta bouche bée.
— Quoi ? grommela-t-il. Si on ne t’a jamais dit que tu étais belle, je retrouverai tous les gens que tu as croisés dans ta vie et les traiterai d’idiots.
— Tu me trouves séduisante ? balbutia-t-elle en portant sa main à sa gorge. C’est vrai ?
Elle tressaillit.
— Je n’ai aucun défaut !
— Tes sautes d’humeur te rendent particulièrement dangereuse, princesse. Mais tu es aussi amusante, spirituelle, à la fois forte et fragile, ne put-il s’empêcher d’ajouter. Tu m’incites à douter de toutes les règles que je m’étais imposées et tu es très séduisante. J’aime te regarder, moi aussi.
Elle en resta bouche bée.
— Quoi ? grommela-t-il. Si on ne t’a jamais dit que tu étais belle, je retrouverai tous les gens que tu as croisés dans ta vie et les traiterai d’idiots.
— Tu me trouves séduisante ? balbutia-t-elle en portant sa main à sa gorge. C’est vrai ?