Ben
sait que Lizzy
est hors d'atteinte. Elle est la petite sœur de son meilleur ami, et
malgré l'alchimie entre eux, il ne s'y risquera pas...
Positif.
Avec les deux petites lignes sur un test de grossesse, toute la vie
ordinaire de Lizzy Rollins est sur le point de changer à jamais. Et
tout ça à cause d'une grosse erreur à Las Vegas avec Ben
Nicholson, le bassiste irrésistiblement sexy du groupe Stage Dive.
Alors que faire si Ben, le seul homme qu'elle ait jamais rencontré
qui peut la faire sentir complètement en sécurité, aimée, et hors
de contrôle avec le désir en même temps ne ressent pas la même
chose ? Lizzy sait que la sublime rock star n'est pas à la recherche
de quelque chose de plus sérieux qu'un peu de bon moment, peu
importe à quel point elle aimerait que cela soit différent.
Ben sait que Lizzy est hors limites. Complètement et totalement. Elle est la petite sœur de son meilleur ami maintenant, et peu importe à quel point leur alchimie est torride, peu importe à quel point elle est douce et sexy , il ne va pas y aller. Mais quand Ben est forcé de faire sortir du pétrin à Sin City la seule fille pour qui il a toujours eu un faible, il apprend vite que ce qui se passe à Vegas ne reste pas à Vegas.
Ben sait que Lizzy est hors limites. Complètement et totalement. Elle est la petite sœur de son meilleur ami maintenant, et peu importe à quel point leur alchimie est torride, peu importe à quel point elle est douce et sexy , il ne va pas y aller. Mais quand Ben est forcé de faire sortir du pétrin à Sin City la seule fille pour qui il a toujours eu un faible, il apprend vite que ce qui se passe à Vegas ne reste pas à Vegas.
cœur ?
Maintenant,
Lizzie et lui sont connectés de la manière la plus profonde
possible ...
mais
cela mènera-t-il jusqu'à une connexion du cœur ?
Source :
Coline15
booknode.com
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Kylie
Scott a écrit plusieurs séries de livres devenus des best-sellers
du New York Times et USA Today. Fan de romans érotiques et de films
de série B, elle vit dans le Queensland, en Australie, avec son mari
et leurs deux enfants.
-Lecture
finie -
Ça
y est les Stage Dive c'est fini...encore que j'aimerai
connaître l'histoire de Martha, la peste de sœur de Ben. Pourtant
pas de 5ème tome en vu
Ben
le bassiste du groupe et Lizzie la petite de sœur d' Anne (l'héroïne
du tome 2) deviennent parent sans l'avoir voulu. On peut dire que le
destin est assez dur sur ce coup là ou alors qu'il fait bien les
choses pour l'auteure. Il y avait peu de chance pour que notre
héroïne tombe enceinte mais quand l'imagination d'un auteur la
démange...ça donne des grossesse hautement
improbables.
Passons
la-dessus. Lizzie a le coup de foudre pour le musicien beau gosse
comme d'ailleurs toutes les héroïnes de cette série mais disons
que pour elle la réciproque n'est pas immédiate...loin
de là.
On
a une héroïne qui s'accroche à son rêve de romance quitte à
passer pour une groupie. De l'autre côté, on a un personnage
masculin qui même s'il a des sentiments pour la jeune femme préfère
passer sa vie personnelle avant toute chose.
Il
ne veut pas d'une relation amoureuse alors que dire de son rôle de
« PAPA ». On peut comprendre ses hésitations, ses
craintes, etc...mais il ne pense tellement qu'à lui que cela me la
rendue égoïste. De plus Lizzie bave tellement devant sa
bogossitude, nous disant toutes deux pages à quel point il est beau,
charismatique, magnétique....que cela le rend aussi superficiel.
Alors
j'ai bien aimé leur romance mais
elle manque de je ne sais quoi pour égaler celle de Mal
et Jimmy qui m'avait vraiment fait craquer.
Cependant
j'ai passé un excellemment moment. La plume de l'auteure est
vraiment pétillante. Elle nous offre certains dialogues et passages
du roman qui font mouche et qui assure un très bon moment de
lecture.
-
Bref -
Ce
n'est pas le meilleur de la série mais on passe assurément un très
bon moment de lecture et on retrouve avec plaisir les beaux gosses
des Stage Dive avec un plaisir renouvelé.
L’émotion
que je ressentais était phénoménale, accablante. Mon esprit était
en ébullition, s’employant à analyser les différents indices,
cherchant à comprendre à quel moment j’avais perdu le fil.
Comment en étais-je arrivée à me débattre dans le vide ?
— Tu
devais t’ennuyer, ou peut-être que tu te sentais un peu seul,
supposai-je. Alors tu as joué avec moi.
Il se
détourna en grimaçant.
—
Dis-moi
que j’ai tort, insistai-je.
Rien.
Au
moins, maintenant, je savais à quoi m’en tenir – comme si cela
constituait une quelconque consolation. J’ouvris la portière
passager et descendis du pick-up.
— Liz…
Je
claquai la portière, sentant le métal froid contre ma paume. J’en
avais fini avec lui. Oh, ça oui ! L’air glacial du soir me
cingla le visage, me ramenant brusquement à la réalité. La
situation était affreusement gênante. J’avais éprouvé tellement
de choses, je m’étais sentie si sûre de moi. J’allais lui
montrer ce que je valais.
Rien.
Rien
du tout.
L’heure
était venue de remiser au fond du placard mon cœur et mes espoirs.
Ben :
Tu viens de m’envoyer une photo de ton déjeuner ?
Lizzy
: Non. C’est une œuvre artistique à base de frites et de ketchup
qui exprime mon immense tristesse que tu ne répondes pas à mes
messages. Tu ne vois pas le visage au milieu ?
Ben :
C’est quoi le truc vert ?
Lizzy
: Des larmes en cornichons. Je les ai piquées dans le cheeseburger
d’une copine.
Ben :
C’est mignon.
Lizzy
: Tu es ému ?
Ben :
Absolument.
Lizzy
: Haha. Tu manges de la pizza ?
Ben :
Triste ou contente, selon toi ?
Lizzy
: Elle a un regard lubrique. Comment oses-tu m’envoyer des
pepperonis aussi tendancieux ? Je ne suis pas ce genre de fille.
Ben :
Ah. Faut que j’aille bosser. À plus, ma belle.
Il
pivota pour me regarder, le visage fermé.
—
Attends…,
murmura-t-il.
—
C’était
un accident. Tu as été jaloux quand tu as vu ce mec avec moi dans
le bar, tu as surréagi. Je comprends.
— Je
ne voulais pas dire…
— Oui,
comme d’habitude.
Sans
plus de cérémonie, je sortis du lit, enroulée dans le drap.
— Je
voudrais que tu partes, ajoutai-je.
— Lizzy.
C’était
juste là, sur son visage et dans ses yeux. La position de ses
épaules le criait, et ses doigts crispés ne faisaient que renforcer
cette impression. Le regret.
— Pars,
s’il te plaît. Tu sais que tu en as envie.
Son
jean gisait abandonné à l’intérieur de la salle de bains. Je le
poussai mollement du pied avant de m’y enfermer.
— Ma
belle… (Deux coups timides tapés à la porte.) Allez, ouvre.
Le dos
collé contre la porte, je glissai vers le bas, ne m’arrêtant que
lorsque je sentis le marbre dur et froid contre mes fesses.
Manifestement, le coton égyptien ne possédait pas des qualités
thermiques exceptionnelles. Les larmes se mirent à couler sur mes
joues, mais je les ignorai. Peu importait.
—
Laisse-moi
m’expliquer, tenta Ben.
Sûrement
pas, non.
—
C’est
juste que… J’ai paniqué quand j’ai vu que c’était lui,
poursuivit-il. Merde, Lizzy. (Un coup furieux contre la porte.) Tu ne
comprends pas à quel point c’est difficile. Je t’aime beaucoup
mais…
Mais.
Pour moi il n’y avait pas de « mais ». Fait chier.
— Je
ne dis pas que je ne lui en aurais pas parlé en temps voulu.
Mouais.
Il ne disait pas non plus qu’il l’aurait fait.