Pour
lui, elle est prête à franchir toutes les limites.
Des
yeux noirs perçants, un crâne rasé et un charme magnétique. Une
allure provocante, un brin arrogante, et une confiance en soi
excessive. Voici comment Clara décrirait Lucas, son nouveau patient
emprisonné pour tentative de vol à main armée. Celui qui hante ses
pensées mais qu’elle n’est pas autorisée à regarder autrement
que comme un sujet d’étude. Mais plus la psychologue apprend à le
découvrir, plus elle comprend que Lucas représente un véritable
danger… pour elle.
Repérée
sur la plate-forme d'écriture Wattpad où elle a réuni plus de 10
millions de lecteurs, Alana Scott écrit depuis toujours pour
s'évader, rêver, mais surtout pour exprimer ses idées et ses
émotions. Good Girls Love Bad Boys est son premier roman publié
dans la collection &H.
Premier
livre que je lis de cette auteure qui sort pas mal de romances depuis
quelques temps. J'étais curieuse, surtout au vu de la 4ème de
couverture qui dévoilait un résumé des plus prometteurs.
Je
n'ai pas accroché mais alors vraiment pas. Je ne vais pas forcément
étaler ce qui m'a déplu sur plusieurs lignes. Disons que je n'ai
pas trouvé la romance et les personnages crédibles. J'ai souvent
levé les yeux au ciel devant certains éléments de l'intrigue.
Bref,
le roman est très court. Peut-être qu'il ne montre pas tout le
potentiel d’écriture d'Alana Scott. Je l'espère pour elle. Je
vous conseille de découvrir cette auteure au travers un autre titre.
C'est le conseil que j'aurais aimé que l'on me donne...
J’avais
l’impression de pouvoir faire confiance à Lucas, seulement, je ne
le devais pas. Je ne pouvais pas non plus m’intéresser à lui de
la façon dont j’étais en train de le faire.
Ce
n’était pas le premier qui avait perdu un membre de sa famille,
pourtant, voilà que je pensais à lui chez moi, dans mon bain. Je
n’avais encore jamais songé à l’un de mes patients durant l’un
de mes moments de détente préférés.
Je
sortis de l’eau, attrapai une serviette et me séchai rapidement.
Il
fallait que je me change les idées, Lucas Laugier n’avait aucune
raison de m’accaparer l’esprit. C’était mon patient, c’est
tout. Il ne pouvait pas représenter plus pour moi. Je ne pouvais pas
laisser cela se produire.