Georgina
Maitland, une riche propriétaire terrienne, est très attirée par
Harry Pye, son intendant, mais celui-ci reste distant. Les voilà
obligés de passer la nuit ensemble, dans une cabane en rase
campagne...
Harry Pye dégage
une impression de force tranquille. Il a de larges épaules et,
surtout, les yeux les plus verts du monde. seul défaut: il est
l'intendant de Georgina Maitland. un jour, tous deux se retrouvent
seuls en rase campagne, obligés de passer la nuit dans une petite
cabane.Georgina a beau jouer les effrontées, l'iontendant s'obstine
à ne voir en elle que la riche propriétaire terrienne. Sa patronne.
Il demeure respectueux et distant. Il est si agaçant, si
séduisant... comment lui faire comprendre qu'ils sont faits l'un
pour l'autre?
Elizabeth Hoyt est vraiment au-dessus du lot en matière de romance « historique-érotique ». Elle a une petite application magique intégrée à son PC et lorsqu’elle écrit, il en résulte un livre captivant que l'on nepeut décrocher avant l'ultime mot fin.
Je le conseille à celle qui ont envie d'être envoutée.
Harry
se tenait si près que son souffle caressait le visage de Georgina.
- Et qu'est-ce donc que vous voulez, madame ?
Le cœur de la jeune femme battait la chamade.
Mon dieu, cet aveu était bien plus difficile à faire qu'elle ne l'avait imaginait, dans sa chambre à Woldsly. Elle avait la sensation de s'apprêter à mettre son âme entre les mains de cet homme.
Il se rapprocha encore :
- Moi ?
Elle manqua brusquement d'air... Oui, lui... C'était pour cela qu'elle était venue, surmontant son embarras, sa crainte : elle avait obéi au désir que lui inspirait Harry Pye.
- Oui. Je... Je veux que vous m'embrassiez comme vous l'avez déjà fait. Je veux vous voir nu. Je veux être nue pour vous. Je veux...
Elle s'interrompit, bouleversé : il suivait le contour de son oreille du bout de la langue.
Elle frissonna.
- Vous voulez beaucoup de choses, madame, chuchota Harry après lui avoir brièvement mordillé le lobe.
- Je vous en prie, cessez de m'appeler madame.
- Vraiment ? Vous m'avez tout de même donné des ordres. La maîtresse et le valet...
Il mordilla de nouveau, avec moins de douceur que précédemment. Georgina serra les genoux. L'excitation menaçait de la faire chanceler.
- Et qu'est-ce donc que vous voulez, madame ?
Le cœur de la jeune femme battait la chamade.
Mon dieu, cet aveu était bien plus difficile à faire qu'elle ne l'avait imaginait, dans sa chambre à Woldsly. Elle avait la sensation de s'apprêter à mettre son âme entre les mains de cet homme.
Il se rapprocha encore :
- Moi ?
Elle manqua brusquement d'air... Oui, lui... C'était pour cela qu'elle était venue, surmontant son embarras, sa crainte : elle avait obéi au désir que lui inspirait Harry Pye.
- Oui. Je... Je veux que vous m'embrassiez comme vous l'avez déjà fait. Je veux vous voir nu. Je veux être nue pour vous. Je veux...
Elle s'interrompit, bouleversé : il suivait le contour de son oreille du bout de la langue.
Elle frissonna.
- Vous voulez beaucoup de choses, madame, chuchota Harry après lui avoir brièvement mordillé le lobe.
- Je vous en prie, cessez de m'appeler madame.
- Vraiment ? Vous m'avez tout de même donné des ordres. La maîtresse et le valet...
Il mordilla de nouveau, avec moins de douceur que précédemment. Georgina serra les genoux. L'excitation menaçait de la faire chanceler.