Je lui appartiens.
Il
m'appartient.
Brooke
n'aurait jamais imaginé finir avec l'homme qui est le rêve de
toutes les femmes. Mais tous les rêves ne finissent pas comme un
conte de fées, et alors que
Remington a besoin d'elle, Brooke découvre
quelque chose qui va la forcer à quitter ses côtés. Avec la
distance et les ténèbres entre eux, la seul chose qui lui reste est
de se battre pour l'amour
de l'homme qui est LE SIEN.
(Traduction
Forum BdP)
sortie
J'en
veux encore !!!!
Quel
plaisir de retrouver ce couple qui est l'essence même de la passion.
J'adore !!!!!
Les points forts
Je
pense que le meilleur atout de ce livre : c'est lui Remi
« Riptide » c'est
juste un concentré de tout.
Alors
j'ai lu ( attention
– tu détournes les yeux si tu n'as pas lu le premier tome car je
spoile le 1er tome) que ce type de personnage n'avait pas sa place en
romance. Il est vrai que Katy Evans brosse un homme à part qui est
certes dérangeant mais pour moi c'est l'attrait essentiel du livre.
C'était une prise de risque qui forcément lui aliénerait une
partie des lectrices. Je pense que d'autres comme moi ont vu une mise
en avant de la résilience et du combat pour vivre libre des
personnes, qui comme Rémi vivent avec cette terrible maladie. On est
pas dans un discours condescendant mais plutôt dans un hommage.
Rémi, il fait peur mais il est aussi admiré à cause de sa maladie.
Donc
chaque fois que l'héroïne décrit son « homme »
je la déteste. D'ailleurs je crois que je l'ai détesté tout le
long du livre (Humour...). Il faut dire qu'elle décrit son Apollon
de long en large pour dire toujours la même chose :
« Il est la plus belle chose de la Création, c'est un Dieu du
sexe et toutes les femmes me jalousent ».
Les
points faibles
Le
personnage féminin principal manque de finesse. On a l'impression qu'elle est
une forme de faire valoir pour le personnage masculin. Cependant,
j'ai trouvé qu'elle n'était plus aussi antipathique que dans le
premier opus (où je l'ai trouvé insupportable). Dans le deuxième
volet, son amour est moins irritant et m'a même touché.
Je
pense que l'histoire est vraiment mince même si elle reste
captivante. Elle aurait gagné a être moins dans l'introspection
perpétuelle de Brooke et un peu plus dans l'intrigue.
Les
personnages secondaires sont un peu légers. Nora, les deux amis de
Rémi et leurs histoires de cœur sont survolées. Dommage ça aurait
pu enrichir l'ensemble.
Bref...
Toujours
des ratés pour ce deuxième tome mais malgré cela je n'ai pas boudé
mon plaisir car la passion est toujours présente, palpable...et
magnifique.
Une
suite à la hauteur du premier tome.
– Oui,
Remington, murmure-t-elle dans le combiné, puis elle raccroche.
– Il
arrive. Il veut que j’ouvre la porte sinon il la défonce.
– Je
ne veux pas qu’il me voie dans cet état.
Je
renifle et prends un mouchoir, comme si je pouvais cacher le fait que
je suis en train de pleurer comme un bébé.
Je
le sens approcher avant même de le voir. Il entre comme une tornade
au moment où Diane ouvre la porte.
– Diane, dit-il
dans un murmure sourd, puis il se dirige droit vers le lit où je
suis roulée en boule.
Ses
yeux sont bleu foncé, pleins d’émotion.
– Toi,
dit-il en me tendant la main. Viens avec moi.
– Je
ne veux pas, je réponds en essuyant une larme.
Ses
narines s’écartent, je vois qu’il a du mal à se contrôler.
– Tu
es à moi et tu as besoin de moi, et je veux que tu viennes là-haut
avec moi, bordel.
Je
baisse la tête et essuie une larme. Je renifle.
– Allez,
viens là.
– Bonsoir,
Diane.
Je
balance des coups de pied, il me serre contre lui et me chuchote à
l’oreille.
– Donne
des coups de pied, griffe, hurle, frappe-moi, insulte-moi. Mais tu ne
dormiras pas ailleurs qu’avec moi ce soir.
Il
me porte dans l’ascenseur, puis dans la chambre. Il referme la
porte avec son pied et me jette sur le lit. Il enlève son tee-shirt.
Je vois ses muscles se contracter, je vois chaque centimètre de sa
merveilleuse peau – que d’autres femmes ont touchée,
embrassée, léchée… Une nouvelle bouffée de jalousie et
d’insécurité me submerge. Je hurle comme une folle et donne des
coups de pied quand il s’approche et commence à me déshabiller.
– Salaud,
ne me touche pas !
– Hé,
hé, écoute-moi.
Il
me coince avec ses bras et son regard.
– Je
suis dingue de toi. J’étais en enfer quand tu n’étais pas là.
En enfer. Arrête d’être ridicule, me dit-il en serrant mon visage
dans sa main. Je t’aime. Je t’aime. Viens là.
Il
me met sur ses genoux. Je ne m’attendais pas à autant de
gentillesse. Je m’attendais à me battre et j’étais prête. Je
suis complètement désarmée, en train de pleurer dans ses bras. Ses
lèvres se rapprochent de mon oreille et j’entends sa voix douce
mais ferme me dire :
– Comment
crois-tu que j’ai fait quand tu es partie ? Tu pensais que ce
serait facile pour moi ? Que je ne me sentirais pas seul ?
Trahi ? Trompé ? Affaibli ? Mis à l’écart ?
Inutile ? Mort ? Tu ne penses pas que pendant tout ce temps
je t’ai détestée ? Qu’est-ce que tu crois ?
– J’ai
tout quitté pour toi, je réponds toujours en larmes, les bras
repliés contre moi, luttant pour ne pas m’effondrer complètement.
Depuis le jour où je t’ai rencontré, j’ai voulu être à toi.
Tu disais que tu étais à moi. Que tu étais ma… ma réalité.
– Je
suis plus réel que tout ce que tu n’auras jamais !
Mes
larmes coulent toujours. Je regarde ses yeux. Ils sont si beaux, les
yeux de Remington. Ils sont bleus et tendres, ces yeux qui me
regardent avec intensité, qui connaissent tout de moi. Ces yeux qui
ne rient plus mais qui semblent partager un peu de mon chagrin. Je ne
peux plus les regarder, je me cache le visage alors qu’un nouveau
sanglot monte.
– Ça
aurait dû être moi, ça aurait dû être moi… je ne cesse de
répéter.
– Arrête
donc de dire que tu m’aimes alors que tu me quittes. Arrête de
faire semblant de vouloir être avec moi alors que tu te sauves à la
première occasion, merde ! Je ne pouvais même pas te courir
après. Tu trouves que c’est juste ? Je ne pouvais pas me
mettre debout sur mes putains de jambes pour t’empêcher de te
sauver.
Mes
sanglots redoublent d’intensité.
– Quand
je me suis réveillé, je n’ai trouvé que ta lettre. C’était
toi que je voulais voir. Tu étais la seule personne que je voulais
voir.
Ces
mots me font mal, je ne peux pas parler tellement je pleure.
J’ai
dû m’endormir sur ses genoux, épuisée par toutes les larmes que
j’ai versées. Je me réveille au milieu de la nuit, les yeux
gonflés et la tête lourde. Je suis nue. Il m’a déshabillée, je
sens sa peau chaude contre la mienne et son nez posé entre mon cou
et mon épaule et son bras autour de moi. Je me blottis plus près de
lui, même si ça me fait mal. Nous sommes à la fois l’objet de
nos blessures et de nos consolations. Il me tire vers lui, je sens
qu’il me respire comme si j’étais le dernier souffle qu’il lui
restait et je me surprends à faire exactement la même chose.
"Je t'aime tellement." Il engouffre mon visage dans ses grandes et magnifiques mains dures. "Tellement, Brooke, que je ne sais toujours pas quoi faire avec moi," dit-il, et embrasse l'arrête de mon nez avec un souffle bas et tremblant. "Tout me manque de toi, de la façon dont tu souris à la façon dont tu me regardes et jusqu'à l'odeur du lit quand tu es avec moi. Je t'aime comme je n'aime rien d'autre dans la vie, rien. Ca me bouffe de l'intérieur comme une maladie tellement j'ai envie d'aller te chercher et te ramener avec moi."
source: dansnotre petite bulle
L'extrait :
"Riley
tape son dos musclé
avec
un sourire et lui dit quelque chose. Remington renverse sa tête en
arrière comme s'il était en train de rire puis prend le centre du
ring, étend ses longs bras musclés et commence à faire son tour
lent et je-sais-que-vous-voulez-me-sauter-dessus.
Je suis en train de mourir."
Je suis en train de mourir."
source: dansnotre petite bulle