Lorsque
Max, Henry, et Will embarquent Bennett pour un weekend de détente et
de striptiseuses à Vegas, leur premier arrêt ne se passe pas
réellement comme prévu...
Le
résumé :
Lorsque
Max, Henry, et Will embarquent Bennett pour un weekend de détente et
de striptiseuses à Vegas, leur premier arrêt ne se passe pas
réellement comme prévu. Puisque le weekend entre hommes tombent à
l'eau, Max et Bennett décident de jouer un jeu fou afin de faire
venir leurs femmes dans la Ville du Pêché !
L'avis :
On
est dans une nouvelle sans grand intérêt au vu de la série que
j'apprécie énormément. Le seul point positif ce sont les scènes
de sxe entre les deux couples phares qui sont vraiment superbes. Pour
avoir une histoire, il faudra attendre le tome 3.
L'extrait :
– Pose ta
main sur ta cuisse, la paume en l’air, et relève le nombre
dedoigts sur lesquels tu veux que je m’empale.
Est-elle
sérieuse ? Sans la quitter des yeux, je glisse ma main sur ma
jambe, la paume en l’air et tends mon majeur :
– Voilà.
Elle
regarde vers le bas et glousse.
– C’est
un bon choix, mais je mérite peut-être un doigt supplémentaire. Je
voudrais quelque chose qui se rapproche un peu plus de ta queue.
– Tu
vas vraiment baiser mes doigts ?
Ma queue est prête à l’emploi, ce n’est pas comme si tu ne
savais pas que c’est la meilleure option pour nous deux.
– Tu
devais n’avoir droit qu’à une lap-dance par une danseuse de Las
Vegas, réplique-t-elle, les sourcils relevés. Ta bite n’avait pas
l’air de se sentir concernée il y a cinq minutes.
Je
soupire, ferme les yeux et tends trois doigts.
– Tu
es tellement généreux, murmure-t-elle en relevant les cuisses et en
se laissant glisser sur mes doigts rigides. Tu feras un excellent
mari si tu continues comme ça.
– Chlo…
maugrée-je en ouvrant les yeux pour la regarder descendre lentement
sur mes doigts.
Elle
est déjà mouillée, je la contemple, nue à l’exception de son
minuscule soutien-gorge. Ses cuisses soyeuses sont écartées et
frottent contre le tissu noir de mon pantalon.
Elle
entoure mon cou de ses bras et commence à bouger sur moi, elle se
relève et dessine des cercles avec ses hanches en descendant et en
frottant son clitoris sur ma main. Encore, encore et encore. Je la
pénètre des doigts, pour mieux la sentir. J’ai l’impression
qu’elle est partout dans la chambre, je distingue chacun de ses
petits gémissements. La sueur perle entre ses seins, sa peau luit.
Hors de question d’admettre à quel point j’adore la voir
utiliser mon corps pour son propre plaisir.
– Tu
es excitante, putain, je marmonne en appréciant le poids de ses bras
sur mes épaules. La voir me donne des envies sauvages, je suis
certain que je pourrais jouir si elle se baissait un tout petit peu
plus, si elle frottait ses cuisses contre ma queue enfermée dans mes
vêtements : « Je vais sortir d’ici avec une érection
durable et une odeur de chatte. »
Elle
chuchote, mes doigts enfoncés en elle :
– M’en
fous.
Et
pourtant, je remarque que ses seins pointent légèrement dans son
petit soutien-gorge. Elle sait à quel point je bande dur, et elle ne
s’en fout pas du tout.
Chloé
gémit quand j’enroule mes doigts et pose mon autre main sur le bas
de son dos pour guider ses hanches. Je presse mon pouce sur son
clitoris, je suis sur le point de m’effondrer rien qu’à la
regarder. Autour de mes doigts, son corps ondule, se contracte. Même
dans une chambre aussi étrange avec Dieu seul sait quoi en train de
se dérouler autour de nous, je peux la faire jouir en quelques
minutes. Elle est une telle contradiction vivante : généreuse
et excitante, sérieuse et faussement effarouchée. « Tu es
train de me détruire,Chlo. »
– Tu
sens que je suis tout près ?
Nous
ne nous quittons pas des yeux, je remonte la main sur sa hanche pour
caresser ses côtes du bout des doigts.
Je
gémis :
– Ouais.
J’acquiesce
et ma main remonte plus haut, jusqu’à son épaule, son cou. Mes
doigts s’arrêtent sur sa veine jugulaire où ils s’immobilisent
pour sentir son rythme cardiaque s’accélérer quand elle jouit.
– J’aime
l’idée que personne ne te fait mouiller autant que moi.
Ses
yeux de miel brun s’assombrissent, se remplissent de désir.
– Je
pense que je te maltraite autant parce que j’ai besoin de savoir
que tu me désires à chaque seconde. Tu es la seule personne à qui
j’aie jamais appartenu comme ça.
L'extrait :
Je
la pénètre lentement, si lentement que je sens chaque putain de
centimètre de son vagin m’avaler. Elle gémit en bougeant les
hanches pour m’inciter à m’enfoncer plus profondément. Dans
cette position, vu notre différence de taille, je peux me coucher
sur son dos et parler dans son oreille :
– Tu
es sûre ?
– Oui.
– Parce
que maintenant je suis en toi, sans protection, princesse. Si
jejouis en
toi, le renverseur de verres saura que tu m’appartiens.
– Et ?
– Tu
auras mon foutre en toi quand je partirai, c’est ce que tu veux ?
– Je
saurai que c’est là, chuchote-t-elle, en se cambrant pour épouser
mes mouvements. C’est ce
que j’aimerais. Quand tu seras là-bas, assis avec les garçons, ou
en train de dîner, plus tard, tu penseras que je peux toujours te
sentir.
– Tu
as tellement raison, putain.
J’entoure
ses hanches de ma main et je presse mes doigts le long de son sexe
pour qu’elle me sente partout.
Je
commence lentement, pour la laisser me désirer, pour disparaître et
émerger à nouveau, mouillé comme elle. Mais le reste de la soirée
plane au-dessus de ma petite bulle d’intimité et je sais que je
n’ai pas des heures devant moi pour apprécier ce moment. Ce sera
du plaisir rapide ou rien. Plus tard, je trouverai du temps pour la
boire beaucoup plus lentement.
Elle
halète quand je me retire et quand je reviens en elle brusquement,
sur un rythme si rapide que la table craque contre le sol. Sara lève
son cul parfait en l’air, poussant contre moi aussi vite et fort
que je la pénètre.
Avec
un gémissement, elle murmure :
– Max,
j’y suis.
Je
presse mes doigts sur son clitoris, le frotte plus fort, bouge plus
vite. Je connais ce corps de femme aussi bien que le mien, je
sais à quelle vitesse elle désire que je la prenne, avec quelle
intensité aussi. Je sais qu’elle adore m’entendre dire son
prénom.
– Princesse,
je meurs d’envie de te sentir jouir autour de ma queue.
Sa
tête se renverse en arrière, ses cheveux frôlent mon épaule, elle
crie brièvement :
– Encore,
encore.
– Je
t’aime, Sara.
Cela
suffit. Ses doigts s’agrippent à la table si fort que ses
phalanges en deviennent blanches, son orgasme surgit, m’attirant en
elle au même rythme que ses petits cris tellement excitants.
– Tu
ressens quoi ? parviens-je à articuler, les lèvres contre son
oreille. Puissance ? Contrôle ? Tu es là, les yeux
bandés, attachée à une table, et je suis perdu en
toi. Je suis si perdu en toi, putain, que j’ai du mal à reprendre
mon souffle.
En
respirant lourdement, elle semble se noyer dans la table, repue :
– De
l’amour.
Ma
colonne vertébrale se relâche, tout se concentre dans mon ventre au
moment où mes hanches accélèrent leur cadence.
– De
l’amour ? je répète. Tu es attachée à une table en métal,
tu viens juste de jouir en face de Dieu sait qui et tu ressens de
l’amour ? Tu dois être aussi perdue en moi que moi en toi.