JE
SUIS MAUDITE
J'AI
UN DON
JE SUIS UN MONSTRE
JE
SUIS PLUS FORTE QU'UN HOMME
JE SUIS UN MONSTRE
MON TOUCHER EST MORTEL
JE VEUX QU'IL ME TOUCHE
JE SUIS LEUR ARME
Le
résumé :Juliette
est enfermée depuis 264 jours dans une forteresse pour un crime.
lUn
accident. 264 jours sans parler. Ni toucher personne. Alors pourquoi
Adam, celui qu'elle aime en secret depuis l'enfance vient-il partager
se cellule ? Et pourquoi semble-t-il ignorer qui elle est ?
L'organisme
tout-puissant qui régit le monde de Juliette n'hésite pas à tuer
pour asservir le peuple. Mais ce que désire par-dessus tout Warner,
le fils de son leader, c'est Juliette. La malédiction qui pèse sur
la jeune fille est pour lui une arme inestimable.
Seulement
Juliette n'a pas l'intention de se laisser faire. Après une vie de
paria, elle trouve pour la première fois le courage de se battre et
de rêver à un avenir avec celui qu'elle croyait avoir perdu pour
toujours...
L'avis :
Je
viens de finir ce livre dont j'avais tant entendu parlé. Il est
décrit comme une révélation. Je n'irai pas jusque là, pour moi
c'est une bonne découverte .
Le
style de l'auteur est à découvrir tant sur le fond que sur la
forme. Le récit est écrit à la première personne, cette personne
étant l'héroïne Juliette. Les pensées profondes de la jeune fille
qu'elle n'ose dire sont barrées ce qui donne une mise en page
originale qui m'a plu.
Après,
le style de l'auteur est très naïf malgré une histoire plongée
dans un monde noire. Tout tourne autour de Juliette est j'ai eu comme
une manque de respiration, d'étouffer. Même si ce n'est pas le cas,
j'ai eu l'impression d'un huit clos entre elle, Warner et Adam.
D'ailleurs la relation qu'elle a avec ses deux hommes ne m'a pas
touché. Ce militaire dictateur de 19 ans : c'est juste pas
possible.
Là,
je ne suis pas très gentille car j'ai développé les raison qui ne
m'ont pas fait adoré le livre comme tant d'autrescar je le conseille
quand même pour son style novateur.
L'extrait :
«
J'ose croiser son regard.
Ses yeux possèdent la nuance parfaite du cobalt : ils sont bleus comme une ecchymose épanouie, clairs, profonds et décidés. Sa mâchoire est détendue et ses traits sculptés trahissent la prudence. Il y a réfléchi toute la nuit.
- Ok.
- Alors, pourquoi tu ne me dis pas ton nom ?
Il se penche et je me fige.
Je dégèle.
Je fonds.
Je murmure :
- Juliette. Je m'appelle Juliette.
Ses lèvres s'adoucissent en un sourire qui craquelle ma colonne vertèbrale. Il répète mon nom, à croire que ça l'amuse. Ça le distrait. Ça l'enchante.
En dix-sept ans, personne n'a jamais prononcé mon nom comme ça. »
Ses yeux possèdent la nuance parfaite du cobalt : ils sont bleus comme une ecchymose épanouie, clairs, profonds et décidés. Sa mâchoire est détendue et ses traits sculptés trahissent la prudence. Il y a réfléchi toute la nuit.
- Ok.
- Alors, pourquoi tu ne me dis pas ton nom ?
Il se penche et je me fige.
Je dégèle.
Je fonds.
Je murmure :
- Juliette. Je m'appelle Juliette.
Ses lèvres s'adoucissent en un sourire qui craquelle ma colonne vertèbrale. Il répète mon nom, à croire que ça l'amuse. Ça le distrait. Ça l'enchante.
En dix-sept ans, personne n'a jamais prononcé mon nom comme ça. »