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dimanche 21 septembre 2014

Série Lux Tome 1 : Obsidian de Jennifer L. Armentrout




« Je ne pense pas qu'il voulait m'embrasser, dis-je finalement.
- Quoi ? Il a glissé et est tombé sur ta bouche ? Ces choses là sont connues pour arriver souvent, c'est clair.»










 Tout recommencer depuis le début, ça craint.










Quand nous avons déménagé dans l’ouest de la Virginie, juste avant ma dernière année de lycée, je m’étais résignée à l’accent, à l’accès internet pourri, et à plein d’autres choses ennuyeuses… jusqu’à ce que je croise mon canon de voisin, avec sa haute taille et ses yeux verts. Les choses s’amélioraient soudain.


Et puis il a ouvert la bouche.

Daemon est exaspérant. Arrogant. On ne s’entend pas. Pas du tout. Mais lorsqu’un étranger s’en prend à moi et que Daemon fige le temps d’un geste de la main, eh bien... on peut dire que quelque chose d’inattendu s’est produit.



Le canon d’alien qui vit à côté de chez moi m’a marquée.

Vous m’avez bien entendue. Alien. Il s’avère que Daemon et sa sœur ont toute une galaxie d’ennemis qui veulent voler leurs pouvoirs, et que le toucher de Daemon m’a illuminée comme le Strip Boulevard de Vegas. Le seul moyen de sortir de là vivante est de restée collée à Daemon jusqu’à ce que mon pouvoir alien disparaisse. 

Si je ne le tue pas avant, cela va sans dire.

source: Boulevard des passions


J'ai adoré !

Et pourtant ce Daemon quel...connard (je ne fais que citer Katy!).

Les points forts

L'histoire. Bon une romance entre un extra-terrestre et une humaine ; je n'était pas forcément convaincu au départ. Mais l'auteure amène le tout de façon fine et graduelle, si bien que la révélation arrive au bout d'un crescendo qui a hameçonné le lecteur de puis longtemps.



Les personnages. Ils sont vraiment bien campés, les principaux comme les secondaires, les Luxens comme les humains - aucun personnage artificiel. Ouf !!! ça fait du bien.



Le couple phare. J'ai gardé le meilleur pour la fin ! Il est juste génialissisme. Leurs joutes verbales sont savoureuses, parfois drôles, parfois méchantes et pleine de non-dits.

J'adore...........

Le final et bien...fini mais aussi donne une envie furieuse de connaître la suite de ce « couple » atypique a bien des niveaux.

Les points faibles

Le livre s'inscrit dans la littérature Young Adult donc c'est assez soft. C'est normal...mais un peu frustrant.

Ce livre n'est pas à lire, il est à dévorer !

Cliquez sur la couverture pour lire les autres chroniques de la série. 
http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/2014/01/serie-lux-tome-1-obsidian-de-jennifer-l.html http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/2015/05/lux-tome-2-onyx-jennifer-l-armentrout.html

 



— Allô ?

— Non, mais ça ne va pas la tête ? cria Daemon à l’autre bout du fil. (Je tressaillis.) C’est sûrement la chose la plus stupide…

— La ferme, Daemon ! rétorquai-je. (J’empiétai légèrement sur la voie d’en face.) Ce qui est fait est fait, OK ? Dee va bien ?

— Oui, elle est en sécurité. Mais pas toi ! On a perdu Baruck de vue et Dee nous dit que tu brilles comme une putain de pleine lune. Je crois qu’il t’a prise en chasse.

Les battements de mon cœur s’emballèrent sous le coup de la peur.
                                        
— C’était le but.

— Je le jure sur toutes les étoiles dans le ciel : dès que je te retrouve, je t’étrangle. (Daemon s’interrompit. Il respirait fort.) Où es-tu ?

Je jetai un coup d’œil par la fenêtre.

— Je suis presque arrivée au champ. Je ne le vois pas.

— Évidemment que tu ne le vois pas. (Il eut l’air exaspéré.) Il est composé d’obscurité, de nuit, Kat. Tu ne le verras pas tant qu’il ne l’aura pas décidé.

Oh. Merde.

— Je n’arrive pas à croire que tu aies fait ça, dit-il.

Ma colère reprit le dessus.

— Ne commence pas ! C’est toi qui m’as dit que j’étais une faiblesse et que je mettais Dee en danger. Et s’il était venu chez vous ? Tu m’as dit qu’il se servirait de moi pour l’atteindre. Je n’ai pas pu faire mieux. Alors, arrête ton char !
                                    

Le silence dura si longtemps que je crus qu’il m’avait raccroché au nez. Quand il reprit la parole, il avait la gorge serrée.

— Je ne voulais pas te pousser à faire ça, Kat. Ce n’était pas mon intention.

Son ton me fit frissonner. Mon regard se posa sur les formes floues des arbres.

— Ce n’est pas ta faute.

— Si.

— Daemon…

— Je suis désolé. Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose, Kat. Je ne peux pas… Je ne peux pas vivre avec ça. (Le silence retomba pendant que je digérais ses paroles.) Reste en ligne. Je vais trouver un endroit où me garer et je viens te rejoindre. Ça ne me prendra que quelques instants. Ne sors pas de la voiture.


L'extrait :

Daemon attendait ma réponse.

— Tu peux toujours rêver, mon pote. (Je fis un pas vers lui en levant un doigt.) Même si tu étais le dernier… Hé ! Je ne peux même pas dire « le dernier homme sur terre » !

— Kitten, murmura-t-il doucement avec une lueur de menace dans le regard.

Je n’y prêtai pas attention.

— Pas même si tu étais la dernière chose qui ressemble à un humain sur Terre. Compris ? Capiche ?

Quand Daemon inclina légèrement la tête, ses cheveux lui tombèrent sur le front. Il sourit. La façon dont ses lèvres s’étaient soulevées était inquiétante, mais j’étais incapable de m’arrêter.

— En plus, je ne suis pas attirée par toi. (Mensonge. Ding ! Ding ! Mensonge.) Pas du tout. Tu es…

Daemon apparut soudain en face de moi, à quelques centimètres de mon visage.

— Je suis quoi ?

—  Un attardé, répondis-je en reculant.

— Quoi d’autre ?

Il avança à son tour.

— Tu es arrogant. Manipulateur. (Je fis un autre pas en arrière, mais il empiétait toujours sur mon espace vital.) Et tu… tu es un salaud.

— Oh, je suis sûr que tu peux faire mieux que ça, Kitten.

Sa voix était grave tandis qu’il me faisait reculer. Je l’entendais à peine par-dessus la pluie et les tambourinements de mon cœur.

— Je doute sérieusement que tu ne sois pas attirée par moi.

J’eus un rire forcé.

— Tu ne me plais pas du tout.

Un autre pas. J’avais le dos contre le mur, à présent.

— Tu mens.

— Et toi, tu es bien trop sûr de toi.

J’étais envahie par sa présence. Ça avait un drôle d’effet sur mon ventre.

— Tu sais, quand je dis que tu es arrogant, je veux dire que ce n’est pas séduisant du tout.

Daemon posa une main de chaque côté de ma tête et se pencha en avant. Je me tenais entre une lampe et la télévision. J’étais coincée.

Lorsqu’il reprit la parole, son souffle caressa mes lèvres.

— Quand tu mens, tu rougis.

— Non, non.

Ce n’était pas ma réponse la plus éloquente, mais j’étais incapable de penser de façon cohérente.

Il fit glisser ses mains le long du mur jusqu’à mes hanches.

— Je parie que tu penses à moi tout le temps. Sans arrêt.

— Tu es dingue.

Le souffle coupé, je me pressai contre le mur.

— Tu rêves de moi. (Ses yeux se posèrent sur ma bouche. Je sentis mes lèvres s’entrouvrir.) Je suis certain que tu écris mon nom sur tes cahiers, encore et encore, et que tu dessines des petits cœurs autour.

J’éclatai de rire.

— Dans tes rêves, Daemon. Tu es la dernière personne à laquelle…

Il m’embrassa.
                                         

Il n’hésita pas un instant. Dès que ses lèvres touchèrent les miennes, j’arrêtai de respirer. Je frissonnai et laissai échapper un son à mi-chemin entre le grognement et le gémissement. Des frissons de plaisir et de panique me parcoururent tandis qu’il approfondissait le baiser. J’arrêtai alors de penser. M’éloignant du mur, je franchis l’espace qui nous séparait encore et me pressai contre lui, les doigts perdus dans ses cheveux. Ils étaient doux, soyeux. C’était la seule partie de son corps qui me procurait cette sensation. Je me sentais vivante. Mon cœur se gonfla à tel point que je crus qu’il allait exploser. La myriade de sensations qui m’envahit était folle, effrayante, enivrante.
                                         

Les mains posées sur mes hanches, il me souleva comme si j’étais aussi légère qu’une plume. J’enroulai mes jambes autour de sa taille et on bougea sur la droite, renversant la lampe. Je n’y prêtai pas la moindre attention. Une lumière clignota quelque part dans la maison. La télévision s’alluma, puis s’éteignit. On continua de s’embrasser. On n’arrivait pas à se détacher. On se consumait, on se perdait l’un dans l’autre.
                                         

C’était le résultat de mois de frustration. Et ça avait valu la peine d’attendre. J’en voulais toujours plus.

Lorsque je tirai sur son tee-shirt, je me rendis compte qu’il était coincé sous mes jambes. Je me débattis jusqu’à ce que Daemon me repose par terre. Puis, j’attrapai de nouveau le morceau de tissu et le soulevai. Il recula suffisamment longtemps pour le retirer et le jeter sur le sol.

Posant la main derrière ma tête, il me rapprocha de nouveau de lui. Un crépitement d’électricité retentit dans l’air. Un éclair passa dans la pièce. Quelque chose se mit à fumer. Mais je m’en moquais. On reculait, à présent. Ses mains descendaient plus bas, sous mon tee-shirt. Ses doigts frôlaient ma peau, faisant battre mon cœur de plus en plus vite. Je poursuivis également mon exploration. Son ventre était parfaitement plat et musclé.
                                      

Bientôt, mon tee-shirt rejoignit le sien par terre. Peau contre peau. La sienne semblait vibrer, débordante de pouvoir. Je fis courir mes doigts sur son torse jusqu’aux boutons de son jean. Mes jambes rencontrèrent le canapé et on tomba dessus, enchevêtrés, sans cesser de se caresser. Je crois que je murmurai son nom. Ses bras se resserrèrent sur moi, m’écrasant contre son torse. Ses mains s’insinuèrent entre mes cuisses. Je nageais dans un océan de sensations intenses. 

                                                 

— Tu es tellement belle, chuchota-t-il contre mes lèvres gonflées.

Puis, il m’embrassa de nouveau. C’était le genre de baisers qui laissaient très peu de place aux pensées cohérentes. Je ne pouvais que sentir, en vouloir plus. J’enroulai mes jambes autour de ses hanches pour le rapprocher de moi, lui disant ce que je voulais avec mes gémissements sourds.
                                   

Nos baisers ralentirent, devinrent tendres, beaucoup plus profonds. J’avais l’impression qu’on apprenait à se connaître sur le plan intime. J’étais étourdie, j’avais le souffle coupé. Personne ne m’avait préparée à ça. Pourtant, mon corps voulait toujours plus de baisers, de contact… plus de Daemon. Je savais qu’il ressentait la même chose. Son corps puissant tremblait contre le mien. C’était facile de me perdre en lui, dans ce lien qui nous unissait. Le monde, l’univers cessèrent d’exister.
                                  

Puis Daemon se figea. Quand il recula et releva la tête, il haleta violemment. Surprise, j’ouvris lentement les yeux. Ses pupilles étaient blanches, luisaient de l’intérieur.

Il prit une profonde inspiration. Une éternité sembla s’écouler tandis qu’il me dévisageait, les yeux écarquillés. Quand il reprit le contrôle de lui-même, la lumière disparut. Il serra les dents et cacha de nouveau son expression derrière un masque : le sourire arrogant que je détestais tant releva le coin de ses lèvres gonflées.

— Eh bien voilà : tu ne brilles presque plus.
                              

L'extrait :
— Question suivante.

— Pourquoi est-ce que tu es un connard ?

Les mots étaient sortis tous seuls.

— Tout le monde excelle dans un domaine, pas vrai ?

— Et tu fais du très bon boulot.

                            


L'extrait :
Daemon sourit. Mon Dieu, il me tapait sur les nerfs ! Deux choix s’offraient à moi : je pouvais rester ici à le regarder comme une idiote, ou me libérer. J’optai pour la deuxième solution. Mon plan était de me dégager le plus vite possible.

Je n’allai pas bien loin.

Autant se mesurer à un mur de brique. Seul un train de marchandises aurait pu le déloger. Son sourire s’élargit. Mon manque de succès semblait l’amuser.

— Connard, marmonnai-je.

Daemon éclata de rire.

— Quel vocabulaire ! Tu embrasses vraiment des garçons avec cette bouche ?

Le rouge me monta aux joues.

— Et toi, tu embrasses Ash avec la tienne ?

— Ash ? (Toute trace de sourire disparut de son visage. Son regard se voila et perdit de sa luminosité.) Tu aimerais bien le savoir, hein ?

Un sentiment de jalousie injustifié m’envahit, mais je le réprimai.

— Non, merci, répondis-je d’un air sardonique.

Daemon se pencha vers moi. Son odeur d’épices et de terre m’entoura.
                                                    

— Tu ne sais pas mentir, Kitten. Tes joues rougissent quand tu mens.

Ah oui ? Et merde. J’essayai de me libérer encore une fois, mais il m’attrapa par le bras. Il ne me serrait pas, pourtant je sentis son contact jusque dans mes os. Sa main vibrait. La sensation vive et déroutante était pourtant plaisante. Je n’avais pas envie de le regarder dans les yeux, mais je fus incapable de m’en empêcher.

Nous étions très proches l’un de l’autre. L’atmosphère était tendue. Son regard me brûlait. Quand il baissa la tête, j’oubliai de respirer. Fascinée, j’observai ses lèvres s’étirer en un sourire. J’avais du mal à écouter ce qu’il disait, mais ses paroles atteignirent tout de même mon cerveau embrumé.

— J’ai l’étrange idée que je devrais essayer.

— Essayer quoi ?

Mes yeux se posèrent sur ses lèvres. Je me sentis chavirer.

— Je crois que tu aimerais le savoir. (Il s’approcha encore plus près. Sa main remonta le long de mon bras jusqu’à ma nuque.) Tes cheveux sont magnifiques.

— Quoi ?

— Rien.

Il écarta les doigts à l’arrière de mon cou et les enfonça lentement dans mes cheveux détachés.

D’un geste précis, il se mit à me masser la base du crâne. Les lèvres entrouvertes, j’attendis que quelque chose se passe.

Puis, il s’arrêta et tendit la main derrière moi. Je restai là, pressée, peut-être un peu trop, de découvrir s’il ressentait le même désir insoupçonné que moi, s’il était aussi touché que moi.

Au lieu de ça, Daemon attrapa une bouteille d’eau sur le plan de travail.

Je me laissai tomber contre l’évier. À quoi jouait-il ?


L'extrait :
— Pas question, rétorquai-je en le dévisageant. Pourquoi ? Donne-moi une seule bonne raison de ne pas être amie avec ta sœur !

Une seconde s’écoula. Sa mâchoire se crispa.

— Tu ne devrais pas être ici avec moi.

Les yeux grands ouverts, il inspira longuement et fit un pas en avant. Un vent chaud se leva tout à coup, soulevant les feuilles mortes et rabattant mes cheveux en arrière. Le souffle semblait venir de derrière Daemon, comme s’il était nourri par sa colère grandissante.

— Tu n’es pas comme nous. Tu n’as rien à voir avec nous. Dee mérite mieux que toi. Elle mérite des gens comme elle. Alors lâche-moi et laisse ma famille tranquille.

J’eus l’impression de me prendre une claque en pleine figure… en mille fois pire. Je m’étais attendu à encaisser, mais là, c’était le pompon. Ma respiration se bloqua dans ma gorge serrée. Reculant d’un pas, je refoulai mes larmes de déception.

Daemon ne me quitta pas des yeux.

— Tu voulais savoir pourquoi. Maintenant, tu as ta raison.

J’avais du mal à déglutir.

— Pourquoi… Pourquoi est-ce que tu me détestes autant ?

L’espace d’une seconde, la façade qu’il avait érigée sembla se craqueler et sa douleur transparut sur son visage. Ce fut tellement rapide que je crus l’avoir rêvé. Il ne répondit pas.

L'extrait :
Daemon tomba à genoux près de moi et m’enveloppa de ses bras forts et solides.

— Kat, insulte-moi. Je t’en prie.

Au loin, j’entendis Dee se réveiller et se lever. Sa peur transparaissait dans sa voix. Sans la regarder, Daemon me caressa le visage.

— Dee, retourne à la maison. Retrouve Adam. Il est quelque part dans le coin.

Dee croisa les bras. Vu l’angle que formait son corps penché en avant, elle avait sûrement une ou deux côtes cassées.

— Je ne veux pas partir. Elle saigne ! Il faut qu’on aille à l’hôpital.

Je saignais ? Ah bon ? Je ne m’en étais pas rendu compte. Je sentais de l’humidité sur mon visage : sous mes lèvres, mon nez, et autour de mes yeux, mais ça ne me faisait pas mal. Était-ce des larmes ou du sang ? Je sentais Daemon contre moi, mais comme s’il était très loin.

— Rentre à la maison tout de suite ! s’écria Daemon en resserrant sa prise sur moi. (Puis, sa voix s’adoucit :) S’il te plaît. Laisse-nous. Pars. Elle va bien. Elle a… juste besoin d’une minute.

Sale menteur. Je n’allais pas bien.

Daemon lui tourna le dos et repoussa les mèches qui tombaient devant mon visage. Il attendit qu’elle ait disparu pour me parler d’une voix tendre.

— Kat, tu ne vas pas mourir. Ne bouge pas. Détends-toi. Fais-moi confiance. Ne te débats pas.

Je regardai Daemon baisser la tête. Il posa son front contre le mien. Sa forme humaine céda place à sa véritable apparence. Aveuglée, je fermai les yeux. La chaleur était presque trop intense. J’étais trop proche.

Tiens bon. Ne pars pas. Sa voix résonnait dans mon esprit. Tiens bon.

Je me sentais partir. Il me prit la tête entre ses mains et respira longuement, de façon continue, contre mes lèvres. Son souffle chaud se déversa en moi, pénétrant dans ma gorge, jusque dans mes poumons. La sensation était tellement agréable que je n’aurais pas rêvé mieux pour mes derniers instants.

 
 

L'extrait :
 

J’avais la gorge sèche. Beau visage. Corps parfait. Caractère de cochon. C’était un peu la sainte trinité du mec canon.