Olivia Townsend est une femme comme les autres, qui se démène à l’université dans l’espoir de pouvoir un jour aider son père dans ses affaires. Pour financer ses études, elle travaille à l’Hynos Club, le bar géré par le très séduisant Cash..
Olivia
Townsend
est une femme comme les autres, qui se démène à l’université
dans l’espoir de pouvoir un jour aider son père dans ses affaires.
Pour financer ses études, elle travaille à l’Hynos Club, le bar
géré par le très séduisant Cash
–
le genre de bad boy qu’elle a décidé d’éviter comme la peste.
C’est alors qu’elle rencontre le frère jumeau de son patron,
Nash,
un avocat bien sous tout rapport... accessoirement casé avec sa
colocataire. Entre les deux, son cœur balance...
J'avais
vraiment hâte de lire ce livre dans l'intrigue m 'avait attiré.
Après
avoir refermé ce livre, je peux dire qu'il a tenu ses promesses. On
rentre vraiment dans ce triangle amoureux . Chaque chapitre est
toujours écrit d'un point de vue d'un des trois personnages.
L'histoire
est belle. Les personnages bien campées...mais...il y a un mais qui
fait que je n'ai pas adoré.
Les
ressors de l'intrigue son trop improbables. Je n'en dirai pas plus
car si je les examine, l'intérêt de ce livre diminue grandement.
Cependant ça m 'a empêché de vraiment me dire « il
était chouette ce livre ». Au contraire, je me suis plutôt
dit :
« C'est un peu gros...
de l'ordre du building pour la
taille!»
Je
sens ma colère m'envahir, mais je sens aussi mon cœur marteler mes
côtes comme s'il s'apprêtait à s'échapper de mon corps
façon Alien.
Les
messages de Cash me reviennent en tête : ses mots, le son de sa
voix, les non-dits, les aveux... Je lève une fois de plus les yeux
vers le rétroviseur, vers cette lumière qui me suit inlassablement
comme une ombre. Implacable. Infatigable.
Lorsque
j'arrive à proximité d'une petite aire familière aménagée
derrière un bosquet d'arbres sur le bord de la route, je m'y engage
et freine brutalement, ce qui me vaut un grand dérapage sur les
graviers. D'un geste impulsif et rageur, je coupe phares et moteur et
sors de ma voiture en claquant la portière. Une poignée de secondes
plus tard, Cash se gare derrière moi et fait taire son bolide à son
tour.
J'avance
à grandes enjambées rageuses jusqu'à lui et, tandis qu'il descend
de sa moto et retire son casque, je me mets à hurler :
— Qu'est-ce
que tu me veux, bordel !
Ma
colère a enfin réussi à franchir la barrière de mes lèvres.
Incapable de garder mon calme, je pose mes deux mains sur son torse
puissant et pousse de toutes mes forces. Il bouge à peine.
— Qu'est-ce
que tu cherches à faire ?
Lorsque
je sens mes larmes monter, je me retourne et repars en hâte vers ma
voiture. Alors que j'arrive au niveau de la portière, ses doigts
enveloppent mon avant-bras comme autant de bracelets d'acier et
m'empêchent d'avancer. Tout à coup, il me retourne vers lui,
m'obligeant à lui faire face. Sous la lumière de la lune, je vois
ses traits livides, et l'impatience qui zèbre ses yeux sombres.
— Arrête,
Olivia ! Arrête ! s'exclame-t-il, excédé.
— Pourquoi ?
Qu'est-ce que tu veux me dire de plus ? Tu m'as servi assez de
mensonges pour toute une vie !
— Je
ne compte plus te mentir ! tonne-t-il. Je ne suis même pas sûr
de vouloir encore te parler... Tout ce que je veux, c'est t’entendre
dire que tu ne ressens rien pour moi ; que tu veux que je
disparaisse de ta vie à jamais. Alors, je partirai. Si c'est
vraiment ce que tu veux... je partirai.
Je
sais que ma chance est là. Jusque dans mes tripes, je sens qu'il
s'exécutera si je le lui demande ; qu'il fera exactement ce
qu'il vient de me promettre. Si je lui dis de partir, il disparaîtra
pour toujours...
J'ouvre
la bouche pour parler, mais n'arrive pas à articuler le moindre mot.
J'entends sa respiration haletante, comme s'il attendait que tombe le
couperet ; comme s'il attendait que je le bannisse de ma vie.
Et
puis, soudain, son expression colérique cède la place à une sorte
de supplication silencieuse. Les yeux rivés dans les miens, il
murmure...
— Je
t'en supplie, ne le fais pas.
Je
fouille son regard, sans trop savoir ce que j'aimerais y découvrir.
— Pourquoi ?
— Parce
que je ne veux pas que tu disparaisses... J'ai besoin de toi. Pas
pour m'aider, pas pour aider mon père... Je m'en fous de tout ça,
maintenant. Je me fous de ton aide. Tout ce que je veux, Olivia,
c'est toi.
Mon
cœur tambourine comme jamais dans ma poitrine. Je n'entends plus
rien, ne ressens plus rien : je vois Cash devant moi, et rien
d'autre. Lorsqu'il murmure de nouveau, je lis presque sur ses
lèvres...
— Toi
et rien d'autre...
Avant
que ma raison ait le temps de m'en dissuader, avant que je ne me
torture l'esprit en tentant de savoir ce que je devrais faire plutôt
que de me laisser aller à ce que désire, je lui réponds d'une voix
posée.
— OK...
Toute
une palette d'émotions habille successivement son visage, puis,
bientôt, je ne vois plus rien. Je suis dans ses bras.
Ses
lèvres passionnées se pressent contre les miennes, et le monde tout
autour échappe à ma perception. Je passe mes doigts dans ses
cheveux, le maintiens contre moi, tandis que ses mains caressent mon
dos et mes hanches.
Tout
à coup, il me soulève et m'assied sur le capot de ma voiture.
Brûlant de désir, il baise mon cou, déboutonne mon chemisier,
s'empare de mes seins...
J'étreins
sa taille fine de mes jambes, l'attire vers mon ventre brûlant.
Répondant à mon appel, il se cale entre mes cuisses, durcit contre
mon sexe, et je brûle de le sentir en moi.
Il
défait d'une main experte le bouton et la braguette de mon short. Je
ne suis plus assez lucide, alors, pour me demander si nous sommes
vraiment à l'abri des regards.
D'une
main, il m'invite à m'allonger sur le capot, fait glisser mon short
et ma culotte le long de mes jambes. Après s'être débarrassé de
mes vêtements sur la voiture, Cash dépose mes jambes pliées sur
ses épaules, et enfouit son visage entre mes cuisses.
Je
suis incapable de retenir des gémissements de plaisir sous les
caresses de sa langue experte qui décrit des cercles brûlants
autour de mon clitoris. Bientôt, il s'aventure plus bas, puis
l'enfonce en moi, aussi profondément qu'il en est capable. Je sens
son visage contre moi, et puis, soudain, le monde autour de lui
explose en même temps que mon orgasme.
Cash
recule, et je perçois le murmure plein de promesses de sa fermeture
Eclair. Il s'introduit en moi, et mes spasmes redoublent aussitôt.
Il prend mes cuisses et m'attire tout contre lui, mon dos toujours
plaqué contre le métal chaud de ma voiture.
Je
lève des yeux mi-clos vers lui et vois qu'il me toise d'un regard
intense et sensuel. Il place une main entre nous, et je sursaute
presque lorsqu'il vient caresser mon clitoris à fleur de peau. Mais
il est doux et, bien vite, je sens naître en moi un nouvel orgasme.
Je ferme les yeux, et me contente de savourer l'instant.
Béate,
je passe d'un orgasme à l'autre sans plus m'en rendre compte, et
sens Cash redoubler d'ardeur : il durcit encore, s'apprête à
me rejoindre dans l'extase et, bientôt, par à-coups réguliers et
puissants, il jouit en moi, me comble de plaisir.
J'ouvre
les yeux et l'aperçois, dos arqué, tête en arrière... Cela
m'excite tant de le voir jouir, de sentir mon corps l'inciter, par
des caresses humides et chaudes, à me combler encore, aspirer tout
ce qu'il a à m'offrir... jusqu'à la dernière goutte.
J'aimerais
qu'il n'en finisse jamais de jouir en moi...
Son
corps m'imprégnant encore d'ondes ardentes, Cash ouvre les yeux,
prend mes mains, puis m'attire contre lui. Dans les bras l'un de
l'autre, nous sommes unis comme nul autre en ce monde. Et pas juste
physiquement.
Tendrement,
il recouvre mon visage de baisers et mon dos de caresses. Il n'a nul
besoin d'articuler ce qu'il aimerait me dire à cet instant : je
le sais.
Je
le perçois.
Et
je ressens la même chose.
Le
book trailer :