Angleterre,
1770.
Derrière
la soie et les rubans de la société Londonienne se cache un secret,
une organisation d'espions élitiste. Protégeant la Couronne de ses
ennemis est dangereux, mais pour Marcus Ashford, protéger son coeur
d'une passion est le plus grand des périls...
Angleterre,
1770. Derrière la soie et les rubans de la société Londonienne se
cache un secret, une organisation d'espions élitiste. Protégeant la
Couronne de ses ennemis est dangereux, mais pour Marcus Ashford,
protéger son coeur d'une passion est le plus grand des périls...
Agent de la Couronne, Marcus Ashford, comte de Westfield, a participé à de nombreux combats à l'épée, s'est fait tiré deux fois dessus et a essuyé plus d'une fois la poudre à canon de l'ennemi. Mais rien ne l'excite plus que le désir pour son ex-fiancée, Elizabeth. Des années auparavant, elle l'a rejetée pour le charmant Lord Hawthorne. Mais désormais, c'est à lui de défendre l'élégante veuve, et il le fera tout en répondant également à ses autres besoins, plus charnels, et lui montrant ce qu'est la profondeur du véritable désir d'un homme.
De dangereux secrets ont entraîné le meurtre du mari de Lady Hawthorne, secrets qu'elle tient désormais dans un journal que beaucoup tuerait pour mettre la main dessus. Mais faire confiance à l'homme le plus séduisant qu'elle ait jamais connu ? C'est scandaleux. Impensable. Irrésistible. Car c'est bien la passion de Marcus et ses désirs brûlants qui l'ont effrayé et l'ont fait l'abandonner, il y a des années de cela - mais son propre désir ne s'est jamais éteint. Il dit être à son service, dans tous les sens du terme. Et peut-être que la seule action sensée n'est pas de résister à la tentation, mais d'y céder corps et âme...
Agent de la Couronne, Marcus Ashford, comte de Westfield, a participé à de nombreux combats à l'épée, s'est fait tiré deux fois dessus et a essuyé plus d'une fois la poudre à canon de l'ennemi. Mais rien ne l'excite plus que le désir pour son ex-fiancée, Elizabeth. Des années auparavant, elle l'a rejetée pour le charmant Lord Hawthorne. Mais désormais, c'est à lui de défendre l'élégante veuve, et il le fera tout en répondant également à ses autres besoins, plus charnels, et lui montrant ce qu'est la profondeur du véritable désir d'un homme.
De dangereux secrets ont entraîné le meurtre du mari de Lady Hawthorne, secrets qu'elle tient désormais dans un journal que beaucoup tuerait pour mettre la main dessus. Mais faire confiance à l'homme le plus séduisant qu'elle ait jamais connu ? C'est scandaleux. Impensable. Irrésistible. Car c'est bien la passion de Marcus et ses désirs brûlants qui l'ont effrayé et l'ont fait l'abandonner, il y a des années de cela - mais son propre désir ne s'est jamais éteint. Il dit être à son service, dans tous les sens du terme. Et peut-être que la seule action sensée n'est pas de résister à la tentation, mais d'y céder corps et âme...
(Traductionforum BdP - Merci à elles!)
Lecture
plaisante même si très convenue.
Marcus
a été éconduit par sa fiancée,
il y a quatre de cela. La raison : elle l'a surpris très
légèrement vêtu avec une jeune femme aussi peu habillée. Pas
d'explication (ça serait trop simple...). Elizabeth, vexée se marie
avec un autre homme qui meurt très judicieusement peu de temps
après !
Marcus
bien entendu n'a jamais oublié l'ingrate qui la rayé si vite de sa
vie et décide sous couvert d'espionnage de reprendre contact avec la
femme qu'il désire toujours.
Le
scénario est un peu bancal notamment l'éloignement de quatre alors
qu'ils étaient censés se marier, s'aimer, ne pas pouvoir vivre l'un
sans l'autre, etc...
Bien
sûr en se retrouvant ils se détestent mais sont toujours attirés
l'un
par l'autre !
J'ai
déjà apprécié des romances avec des ressors encore plus gros mais
là le style est vraiment « too
much ».
J'ai souvent levé les yeux au ciel en lisant certains passages mais
ce qui m'a le plus embêté c'est vraiment le personnage principal.
Marcus est vraiment
mais vraiment antipathique.
Il souffle en permanence le chaud et le froid à la manière d'un
bipolaire...
Sylvia
Day est vraiment une auteure particulière. Elle écrit des livres à
la qualité vraiment très variable. Je ne peux pas vraiment dire que
je n'ai pas apprécié celui-ci mais les personnages sont beaucoup
caricaturaux. Pour le coup, je ne pensais pas le dire et encore moins
l'écrire mais trop de passion tue la passion ! En tout cas ici,
il s'agit d'un cliché...
Comme
s’il lisait dans ses pensées, Marcus inclina la
tête et murmura son nom à voix basse.
— Elizabeth…
Il me tardait tant de vous retrouver.
— Je
ne peux en dire autant, lord Westfield.
— Vous
m’appeliez Marcus, autrefois.
— M’adresser
à vous d’une manière aussi informelle serait aujourd’hui
parfaitement déplacé, milord.
Un
pli taquin retroussa les lèvres de Marcus.
— Je
vous autorise à vous comporter avec moi de façon déplacée chaque
fois que vous en aurez envie. J’ai toujours pris beaucoup de
plaisir à vos écarts de comportement.
— Vous
avez depuis trouvé d’innombrables femmes disposées à vous
prodiguer tout autant de plaisir.
— Jamais,
ma chère. Vous avez toujours été sans rivale dans ce domaine.
Marcus
était au bord de l’explosion
quand Elizabeth se décida enfin à ouvrir les lèvres et à se
pencher en avant pour le prendre dans sa bouche. Lorsque la chaleur
moite de ses lèvres effleura son gland, il inspira l’air entre ses
dents dans un sifflement d’agonie. Sentant ses genoux flancher, il
saisit de sa main libre le haut dossier de la chaise afin de garder
l’équilibre.
Elle
s’écarta, l’air effrayé.
— Vous
ai-je fait mal ?
Incapable
de parler, il secoua brièvement la tête. Elizabeth s’humecta les
lèvres, puis renouvela l’expérience, prenant cette fois son gland
tout entier dans sa bouche.
— Sucez,
ordonna-t-il dans un râle, sa tête basculant en avant.
Il
vit alors ses joues se creuser au rythme de sa délicieuse succion.
Ses jambes se mirent à trembler, et il laissa échapper un sourd
rugissement.
Se
sentant encouragée, Elizabeth le prit plus profondément en bouche
et fit tourner sa langue autour de sa verge pour en explorer le
contour. La vision de sa bouche grande ouverte autour de son
membre suffit à chasser de l’esprit de Marcus toute pensée
rationnelle.
— Je
vais bouger, dit-il entre ses dents serrées. N’ayez pas peur.
Ses
hanches basculèrent vers l’avant, et il entreprit d’aller et
venir dans sa bouche. Les yeux d’Elizabeth s’arrondirent, mais
elle ne tenta pas de s’éloigner ni de protester. Au contraire,
elle s’appliqua à répondre à ses poussées avec une assurance
accrue.
En
la regardant faire, Marcus songea qu’il recevait enfin la
récompense dont il rêvait depuis tant d’années, même s’il
avait du mal à croire que la femme qui prenait soin de lui avec une
telle adresse puisse être Elizabeth.
— Seigneur,
Elizabeth…
Il
ôta la main de son membre pour insérer ses doigts entre les tendres
replis de son sexe. Elle gémit, et il se concentra sur les caresses
qu’il lui prodiguait dans l’espoir de se maîtriser. Son doigt
allait et venait aisément entre ses lèvres moites, glissantes comme
du satin et brûlantes comme l’enfer. Elle était délicieusement
étroite – un vrai rêve. Il sentit ses bourses s’alourdir et se
contracter. Il recula, les jambes tremblantes, écartant son membre
de sa bouche humide.
Elle
leva vers lui son beau regard violet dans une interrogation muette.
— Maintenant,
déclara-t-il d’une voix rocailleuse.
L'extrait :
Le
froid de la balustrade
de marbre avait gagné les mains d’Elizabeth à travers ses gants,
et des frissons remontaient le long de ses bras. Malgré cela,
elle avait l’impression d’avoir affreusement chaud.
— Toutes
les femmes qui se pâment à vos pieds ne vous suffisent donc pas ?
— Non,
répondit-il avec son arrogance habituelle. Je ne serai satisfait que
lorsque vous brûlerez de désir pour moi et que j’habiterai
chacune de vos pensées, chacun de vos rêves. Un jour, vous serez si
passionnément éprise de moi que le simple fait de respirer loin de
moi mettra vos poumons en feu. Vous accéderez à tous mes désirs,
quels qu’ils soient, à tout instant.
— Jamais !