Vous
aviez raison, Cara. Je suis un démon. Le combat a toujours été au
coeur de mon existence. Je ne connais rien d'autre. La guerre, le
sexe, c'est du pareil au même pour moi. Je baise comme je me bats,
jusqu'à ce que mon adversaire implore ma pitié.
La
fin des temps approche. Les cavaliers de l’Apocalypse devront
choisir de préserver leur humanité et combattre aux côtés du Bien
ou au contraire embrasser leur destinée et déchaîner l’enfer sur
Terre.
Quand Ares rencontre Cara Thornhart, il sait immédiatement que la jeune femme détient la clé de sa rédemption. Consumé par le désir et privé de tous ses pouvoirs lorsqu’il est près d’elle, Ares devra trouver le moyen de protéger cette fragile humaine du monde redoutable dans lequel il l’a entraînée ou se voir privé de tout ce qui lui est cher.
Quand Ares rencontre Cara Thornhart, il sait immédiatement que la jeune femme détient la clé de sa rédemption. Consumé par le désir et privé de tous ses pouvoirs lorsqu’il est près d’elle, Ares devra trouver le moyen de protéger cette fragile humaine du monde redoutable dans lequel il l’a entraînée ou se voir privé de tout ce qui lui est cher.
Alors
là, je ne m'y attendais pas.
Moi
qui ADORE Larissa Ione, je ne m'attendais pas à aussi peu accrocher
à sa nouvelle série.
Tout
simplement, je ne suis pas rentré dedans.
Est-ce
un mauvais timing, une lassitude, un râté...
Je
lirai le deuxième tome pour avoir un avis définitif.
Un
rendez-vous manqué.
« Eidolon
découpa le chemisier de Cara en deux, et une fureur jalouse dévora
Ares. Tout le monde se figea. Il avait dû émettre un son infernal,
car l’assemblée l’observait comme s’il venait de mordre les
cornes d’une croix-vipère.
— Euh… désolé.
Il serra les poings, espérant que cela suffirait à les retenir. C’était étrange, tout de même. C’était la première fois qu’il se montrait aussi possessif envers une femelle.
— D’habitude, je ne suis pas… C’est juste…
Seigneur ! Ce n’était pas non plus son genre de balbutier comme un débile !
— Ce n’est rien, lui assura Eidolon non sans ironie. On parle couramment le « pas touche à ma compagne ou je te bute » par ici.
— Cara n’est pas ma compagne.
Certes, il la considérait comme sienne, mais ce terme impliquait la permanence, ce que Cara et lui n’auraient jamais.
— Bien sûr…, acquiesça Eidolon avec sagesse, mais Ares devina sans peine que le démon se payait sa fiole. Vous menacez souvent les docteurs de leur arracher la tête pour les exposer sur votre cheminée ?
Il avait dit ça ? Seigneur ! Il devait se vider l’esprit, et vite »
— Euh… désolé.
Il serra les poings, espérant que cela suffirait à les retenir. C’était étrange, tout de même. C’était la première fois qu’il se montrait aussi possessif envers une femelle.
— D’habitude, je ne suis pas… C’est juste…
Seigneur ! Ce n’était pas non plus son genre de balbutier comme un débile !
— Ce n’est rien, lui assura Eidolon non sans ironie. On parle couramment le « pas touche à ma compagne ou je te bute » par ici.
— Cara n’est pas ma compagne.
Certes, il la considérait comme sienne, mais ce terme impliquait la permanence, ce que Cara et lui n’auraient jamais.
— Bien sûr…, acquiesça Eidolon avec sagesse, mais Ares devina sans peine que le démon se payait sa fiole. Vous menacez souvent les docteurs de leur arracher la tête pour les exposer sur votre cheminée ?
Il avait dit ça ? Seigneur ! Il devait se vider l’esprit, et vite »
L'extrait :
« — Ne
me plaignez pas. Je vous l’interdis.
Elle releva le menton.
— Ne me dites pas quoi ressentir.
Il souhaitait certes qu’elle s’endurcisse, mais sa bravoure risquait de la conduire sur un chemin périlleux en compagnie de la mauvaise personne.
— Vous savez que je peux vous écraser ?
— Vous ne le ferez pas.
— Pourquoi ? Parce que je dois vous protéger ?
— Non. (Elle enfonça l’index dans son plastron.) Parce que vous m’avez apporté un oreiller.
Il cligna des yeux. La logique de cette femelle était tordue, comme aurait dit Reseph.
— Vous pariez votre vie sur un oreiller ?
— Vous ne reculerez devant rien pour sauver le monde, je n’en doute pas une seconde. Vous ferez des choix difficiles. Mais on n’apporte pas un oreiller à quelqu’un qu’on tuerait sans problème. »
Elle releva le menton.
— Ne me dites pas quoi ressentir.
Il souhaitait certes qu’elle s’endurcisse, mais sa bravoure risquait de la conduire sur un chemin périlleux en compagnie de la mauvaise personne.
— Vous savez que je peux vous écraser ?
— Vous ne le ferez pas.
— Pourquoi ? Parce que je dois vous protéger ?
— Non. (Elle enfonça l’index dans son plastron.) Parce que vous m’avez apporté un oreiller.
Il cligna des yeux. La logique de cette femelle était tordue, comme aurait dit Reseph.
— Vous pariez votre vie sur un oreiller ?
— Vous ne reculerez devant rien pour sauver le monde, je n’en doute pas une seconde. Vous ferez des choix difficiles. Mais on n’apporte pas un oreiller à quelqu’un qu’on tuerait sans problème. »