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mardi 22 juillet 2014

La Caresse du Loup, Tome 4 - Karen Whiddon

 


L'homme s'avance vers elle, silhouette massive et menaçante. Et brusquement, Marika tressaille. Car ce regard qui luit dans l'ombre, ces yeux d'acier qui la transpercent, ce sont ceux de Beck, l'amant qu'elle a tant aimé et qu'elle a quitté trois ans plus tôt, sans lui révéler qu'elle attendait un enfant de lui...


 






Le résumé:
L'homme s'avance vers elle, silhouette massive et menaçante. Et brusquement, Marika tressaille. Car ce regard qui luit dans l'ombre, ces yeux d'acier qui la transpercent, ce sont ceux de Beck, l'amant qu'elle a tant aimé et qu'elle a quitté trois ans plus tôt, sans lui révéler qu'elle attendait un enfant de lui...
Et tandis qu'ils s'observent en silence, Marika tente de sonder le visage impénétrable de Beck. Pourquoi est-il là? Se peut-il qu'il ait rejoint ceux qui les traquent, elle et son enfant? Sa petite fille aux dons extraordinaires que tous, loups et vampires, recherchent. Car elle est la première enfant de sang mélé née d'un homme loup et d'une femme vampire...


L'extrait :
Sa femme ? Son enfant ? Beck dut fermer les yeux pour lutter contre l’étourdissement et la nausée qui l’envahissaient. Il tenta d’humecter ses lèvres sèches et craquelées mais manquait de salive pour cela. D’une voix faible, il essaya de les raisonner de nouveau

L'extrait :
Je ne sais pas de quoi vous me parlez. Nouveau coup à l’estomac qui plia Beck en deux. — Où est-elle ? répéta son agresseur avec la même intonation froide. On va te torturer jusqu’à ce que tu nous répondes. — Parle ! lui ordonna un autre homme. — Je ne sais pas de qui vous me parlez ! cria désespérément Beck. On se calme messieurs, vous vous êtes sûrement trompés de personne

L'extrait :
En se dirigeant vers la camionnette, Marika se demanda si Beck comprenait à quel point cela lui coûtait de lui accorder ainsi sa confiance. Il y avait si longtemps qu'elle ne se fiait plus à personne en dehors d'Addie. Devoir s'ouvrir ainsi à quelqu'un était très déstabilisant et lui donnait la désagréable sensation de se mettre à nu.
Beck exigeait sa confiance. En revanche il n'avait pas parlé de lui offrir la sienne en retour. Elle aurait pu le blâmer pour cela, mais elle en était incapable. Elle lui avait donné tellement de bonnes raisons de douter d'elle à tout jamais, qu'elle comprenait ses réticences.