De
sa main libre, il la prit par la taille et la serra contre lui,
contre son sexe en érection.
- tu sens? murmura-t-il. C'est pour toi et pour personne d'autre. Je ne peux pas m'empêcher de te désirer.
Il blottit sa tête au creux de son cou.
- C'est idiot, parce que rien n'est possible entre nous. Mais c'est plus fort que moi.
- tu sens? murmura-t-il. C'est pour toi et pour personne d'autre. Je ne peux pas m'empêcher de te désirer.
Il blottit sa tête au creux de son cou.
- C'est idiot, parce que rien n'est possible entre nous. Mais c'est plus fort que moi.
Le
résumé:
Lié au démon du
doute, Sabin détruit involontairement même le plus confiant des
amoureux. Ainsi le guerrier immortel passe son temps sur un champ de
bataille au lieu d'une chambre à coucher, la victoire étant son
seul souci - jusqu'à ce qu'il rencontre la timide Gwendolyn.
L'attrait qu'il porte à la belle rousse le pousse à en solliciter
d'avantage. Gwen, elle-même immortelle , a toujours pensé qu'elle
succomberai à un humain aimable qui n'encouragerait pas son côté
obscure. Mais quand Sabin la libère de la prison, se battant contre
des ennemis qui réclament la boîte de Pandore, il s'avère que
cette bataille n'est rien comparé à la guerre intérieur que se
livrent Sabin et Gwen pour contré leur amour.
L'extrait :
-
Je t'aime,Gwen
Il l'aimait. Plus que tout. Plus qu'il n'avait jamais aimé. Plus que lui-même. Et ce n'était pas peu dire...
Elle s'humecta les lèvres. Elle hésitait encore à céder.
- Mais les autres femmes...
- Les autres femmes ne m'intéressent pas. Nous sommes destinés l'un à l'autre. Jamais plus je ne toucherai une autre femme, pas même pour gagner une bataille. Te faire souffrir me détruirait. J'ai mis du temps, mais j'ai fini par comprendre.
- Je ne demande qu'à te croire, murmura-t-elle.
Elle contempla fixement ses mains posées sur son torse et les déplaça lentement, prudemment.
- Mais j'ai peur.
- Dans ce cas, donne-moi du temps. Laisse-moi te prouver que je ne mens pas. Je t'en prie...Je sais que je n'ai rien fait pour mériter une seconde chance, mais je te supplie tout de même de me l'accorder. Je suis prêt à te donner tout ce que tu désires, tout ce que...
- Ce que je désire, c'est toi, coupa-t-elle en le fixant de ses pupilles dilatées. Tu es là, en vie, je ne vois rien de plus important pour le moment. Je te veux. Tout de suite.
Elle déchira sa chemise d'un coup sec et sa bouche plongea dans ses seins.
Il l'aimait. Plus que tout. Plus qu'il n'avait jamais aimé. Plus que lui-même. Et ce n'était pas peu dire...
Elle s'humecta les lèvres. Elle hésitait encore à céder.
- Mais les autres femmes...
- Les autres femmes ne m'intéressent pas. Nous sommes destinés l'un à l'autre. Jamais plus je ne toucherai une autre femme, pas même pour gagner une bataille. Te faire souffrir me détruirait. J'ai mis du temps, mais j'ai fini par comprendre.
- Je ne demande qu'à te croire, murmura-t-elle.
Elle contempla fixement ses mains posées sur son torse et les déplaça lentement, prudemment.
- Mais j'ai peur.
- Dans ce cas, donne-moi du temps. Laisse-moi te prouver que je ne mens pas. Je t'en prie...Je sais que je n'ai rien fait pour mériter une seconde chance, mais je te supplie tout de même de me l'accorder. Je suis prêt à te donner tout ce que tu désires, tout ce que...
- Ce que je désire, c'est toi, coupa-t-elle en le fixant de ses pupilles dilatées. Tu es là, en vie, je ne vois rien de plus important pour le moment. Je te veux. Tout de suite.
Elle déchira sa chemise d'un coup sec et sa bouche plongea dans ses seins.