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mercredi 23 juillet 2014

Stéphanie Plum, Tome 8 : Le Grand Huit - Janet Evanovich



Je vais prendre te Ducati aujourd'hui, dit-il, je te laisse le pick-up. À mon retour du boulot, il faudra qu'on parle tous les deux.
Aïe, aïe, aïe. Parler, encore ? Ça ne nous mène jamais nulle part.
OK, parler, peut-être pas. Peut-être juste faire l'amour comme des bêtes.


Enfin un sport dans mes cordes !









Le résumé:
Une nouvelle mission pour la chasseuse de primes Stéphanie Plum : cette fois-ci, elle est censée retrouver la trace d'une jeune maman soupçonnée d'avoir kidnappé son propre enfant. Une traque d'autant plus délicate et
complexe que l'irrésistible Stéphanie doit, en parallèle, faire face à une authentique " dream-team " de fous à lier. Incursions psychotiques d'Eddie Abruzzi - simili-mafieux adepte des jeux de guerre et de la violence -, livraisons anonymes de serpents à domicile, arrivée inattendue d'Albert Khloune - petit avocat pot de colle - et assauts meurtriers d'un mystérieux homme de main déguisé en lapin: le train de vie de l'exquise prédatrice vire ostensiblement au grand n'importe quoi. Mais les loopings, Stéphanie, elle connaît...

L'avis :
Cet opus ra trappe un peu la faiblesse des précédents mais le triangle amoureux commence à devenir lassant faute de réels rebondissements. L'inconstance de l'héroïne lasse. De plus le personnage de Stéphanie devient un peu ennuyante.
L'extrait :
Tu ne comptes pas me cuisiner pour obtenir tous les détails, si ?
Je lâchai son T-shirt en soupirant.
Je ne peux pas continuer comme ça, dis-je. Ça ne marchera pas.
Je sais. Tu dois recadrer ta relation avec Morelli.
On avait besoin de faire une pause.
Je suis cool pour le moment parce que ça m'arrange, mais je suis un opportuniste, et je suis très attiré par toi. Je reviendrai dans ton lit si ta pause Morelli devait s'éterniser. Je pourrais très facilement te faire oublier Morelli si je voulais, mais ça ne serait bien ni pour toi ni pour moi.
Ah, d'accooooord. Il m'adressa un sourire.
Verrouille bien ta porte. Et le voilà parti. Je tournai la clé dans la serrure, enclenchant les points de fermeture au sol. Ranger avait réussi à chasser le lapin exhibitionniste de mes pensées. Si seulement je réussissais à en chasser Ranger. Tout ce qu'il avait dit était vrai, je le savais, à l'exception éventuelle d'éclipser Morelli. Je m'étais donné beaucoup de mal pour l'oublier, mais sans jamais y parvenir tout à fait.