La
vie n'a pas épargné Caroline Lake. Après avoir perdu ses parents,
puis son jeune frère, elle doit rembourser d'énormes dettes...
Le
résumé:
La vie n'a pas
épargné Caroline Lake. Après avoir perdu ses parents, puis son
jeune frère, elle doit rembourser d'énormes dettes. Dans la petite
ville où elle a grandi, elle vivote en accueillant des hôtes dans
sa propriété de Greenbriars. C'est là que débarque en pleine
tempête de neige un inconnu qui se présente sous le nom de Jack
Prescott. Ex-ranger, il revient d'Afrique et demande à loger chez
Caroline qui, contre toute prudence, accepte. Malgré ses airs
sombres et inquiétants, il a tout de suite éveillé en elle un
désir inavouable. Elle ignore qu'il la connaît bien, et qu'il est
encore plus dangereux qu'elle ne le soupçonne...
L'extrait :
Jack ne pouvait rien
changer à son apparence. S’il avait l’air dangereux, c’était
tout simplement parce qu’il l’était effectivement.
Caroline ne pouvait pas voir le Glock qui se trouvait dans son holster d’épaule ni le calibre 22 qu’il avait glissé dans son holster de cheville, mais un homme armé n’a pas la même attitude qu’un homme qui ne l’est pas. Deux jours auparavant, Jack avait tué quatre hommes à deux continents de là. À un niveau subliminal, Caroline le sentait.
Elle se tenait toute droite, les narines légèrement frémissantes, et aspirait instinctivement de l’oxygène au cas où elle aurait besoin de s’enfuir en courant. Elle n’avait pas conscience de le faire, mais Jack le savait. Il savait comment une proie réagit au danger.
Pour commencer, il devait apaiser ses craintes.
Il la regarda attentivement en conservant la plus parfaite immobilité. Il aurait préféré mourir plutôt que lui faire le moindre mal, mais Caroline ne pouvait pas le savoir. Tout ce qu’elle savait, c’était qu’elle était seule face à un homme potentiellement dangereux.
— Bonsoir.
Caroline ne pouvait pas voir le Glock qui se trouvait dans son holster d’épaule ni le calibre 22 qu’il avait glissé dans son holster de cheville, mais un homme armé n’a pas la même attitude qu’un homme qui ne l’est pas. Deux jours auparavant, Jack avait tué quatre hommes à deux continents de là. À un niveau subliminal, Caroline le sentait.
Elle se tenait toute droite, les narines légèrement frémissantes, et aspirait instinctivement de l’oxygène au cas où elle aurait besoin de s’enfuir en courant. Elle n’avait pas conscience de le faire, mais Jack le savait. Il savait comment une proie réagit au danger.
Pour commencer, il devait apaiser ses craintes.
Il la regarda attentivement en conservant la plus parfaite immobilité. Il aurait préféré mourir plutôt que lui faire le moindre mal, mais Caroline ne pouvait pas le savoir. Tout ce qu’elle savait, c’était qu’elle était seule face à un homme potentiellement dangereux.
— Bonsoir.