— Mais
jamais je ne te trahirais !
Il secoua la tête.
— Des êtres que je connaissais bien plus intimement que je ne te connais ont fini par me mentir et m’infliger le pire. Alors non, merci, je ne recommencerai pas.
Il secoua la tête.
— Des êtres que je connaissais bien plus intimement que je ne te connais ont fini par me mentir et m’infliger le pire. Alors non, merci, je ne recommencerai pas.
Le
résumé:
Il y a 11 000 ans,
un dieu naquit. Contraint de vivre dans le corps d'un humain, Acheron
a enduré une vie entière de haine. Sa mort a déchaîné une
horreur absolue qui a presque détruit le monde. Rappelé du royaume
des morts contre sa volonté, il devint le seul défenseur de la race
humaine. Pendant des siècles, il a combattu pour notre survie et
caché un passé qu'il n'a jamais voulu révéler. Jusqu'à ce qu'une
femme solitaire qui refuse de se laisser intimider par lui menace sa
propre existence. Maintenant, la survie d'Acheron et celle de
l'humanité repose sur sa vie à elle, et de vieux ennemis d'Acheron
menacent de se réunir pour les détruire totalement, lui et elle...
L'extrait :
Tory, tu es…
vierge ?
Un froid paralysant s’était répandu en lui.
Tory crut avoir mal entendu. Cette intonation à la limite de l’agressivité, cette question énoncée comme une insulte…
— Est-ce un problème ?
Il bondit en arrière, et Tory songea qu’il n’aurait pas réagi plus mal s’il avait découvert qu’elle avait la lèpre.
— Pourquoi ne m’as-tu rien dit ?
— Je n’ai pas pensé que c’était important.
Il la fixait si durement qu’elle rabattit les pans de son chemisier sur ses seins.
— Mais si, c’est important !
Elle était totalement désorientée. Pourquoi le fait qu’elle n’ait jamais appartenu à un homme le contrariait-il à ce point ?
— Je croyais que les hommes aimaient les vierges.
Acheron n’était pas seulement en colère, il était aussi bouleversé... et il continuait à la désirer aussi ardemment qu’avant.
— Je ne suis pas comme les autres hommes.
Il ramassa le jean de Tory et le lui tendit.
— Mais qu’y a-t-il ? Tu vas t’en aller parce que je n’ai jamais eu d’amant ?
— Exactement.
Il se dirigea vers la porte, mais elle lui barra le chemin. Visiblement, elle était furieuse. Et si belle dans sa colère…
— Quelle abominable situation, railla-t-elle. Tu veux dire que si je descends au bar et que je trouve un type pour me sauter, ensuite, tu voudras bien de moi ?
La jalousie le cloua surplace.
— Ah ah ! Tu n’aimes pas cette idée, hein, Acheron ?
Des images de Tory dans les bras d’un autre homme surgirent dans son esprit, et il en perdit presque la tête. Non, il ne voulait pas qu’elle cherche un amant, mais il ne voulait pas non plus être le premier, celui qui lui laisserait un mauvais souvenir parce qu’il lui aurait fait mal. Elle méritait tellement mieux que cela. Il lui fallait quelqu’un de bien plus digne que lui pour sa première fois.
Un froid paralysant s’était répandu en lui.
Tory crut avoir mal entendu. Cette intonation à la limite de l’agressivité, cette question énoncée comme une insulte…
— Est-ce un problème ?
Il bondit en arrière, et Tory songea qu’il n’aurait pas réagi plus mal s’il avait découvert qu’elle avait la lèpre.
— Pourquoi ne m’as-tu rien dit ?
— Je n’ai pas pensé que c’était important.
Il la fixait si durement qu’elle rabattit les pans de son chemisier sur ses seins.
— Mais si, c’est important !
Elle était totalement désorientée. Pourquoi le fait qu’elle n’ait jamais appartenu à un homme le contrariait-il à ce point ?
— Je croyais que les hommes aimaient les vierges.
Acheron n’était pas seulement en colère, il était aussi bouleversé... et il continuait à la désirer aussi ardemment qu’avant.
— Je ne suis pas comme les autres hommes.
Il ramassa le jean de Tory et le lui tendit.
— Mais qu’y a-t-il ? Tu vas t’en aller parce que je n’ai jamais eu d’amant ?
— Exactement.
Il se dirigea vers la porte, mais elle lui barra le chemin. Visiblement, elle était furieuse. Et si belle dans sa colère…
— Quelle abominable situation, railla-t-elle. Tu veux dire que si je descends au bar et que je trouve un type pour me sauter, ensuite, tu voudras bien de moi ?
La jalousie le cloua surplace.
— Ah ah ! Tu n’aimes pas cette idée, hein, Acheron ?
Des images de Tory dans les bras d’un autre homme surgirent dans son esprit, et il en perdit presque la tête. Non, il ne voulait pas qu’elle cherche un amant, mais il ne voulait pas non plus être le premier, celui qui lui laisserait un mauvais souvenir parce qu’il lui aurait fait mal. Elle méritait tellement mieux que cela. Il lui fallait quelqu’un de bien plus digne que lui pour sa première fois.
L'extrait :
— La
confiance, c’est bien… pour les autres. Chaque fois que j’ai
commis l’erreur de me fier à quelqu’un, je l’ai payé cher. Je
suis content que personne ne t’ai fait subir ça, Tory. Moi, j’ai
eu moins de chance.
— Mais jamais je ne te trahirais !
Il secoua la tête.
— Des êtres que je connaissais bien plus intimement que je ne te connais ont fini par me mentir et m’infliger le pire. Alors non, merci, je ne recommencerai pas.
— Mais jamais je ne te trahirais !
Il secoua la tête.
— Des êtres que je connaissais bien plus intimement que je ne te connais ont fini par me mentir et m’infliger le pire. Alors non, merci, je ne recommencerai pas.