Elle
ne cessera pas avant d'avoir renvoyé tous les cadavres
ambulants dans leurs tombes. Pour toujours.
Si
quelqu'un avait dit à Alice
Bell que sa vie entière allait être
bouleversée en un battement de coeur, elle aurait rit. Du bonheur au
tragique, d'innocente à ruinée ? Franchement
? Mais c'est bien ce qui a lieu. Un battement. Le temps d'un clin
d'œil. D'un souffle. D'une seconde. Et tout ce qu'elle a connu et
aimé a disparu.
Son père avait raison. Les montres sont réels...
Pour venger sa famille, Ali doit apprendre à défier les mort-vivants. Pour survivre, elle doit apprendre à faire confiance au plus mauvais des mauvais garçons, Cole Holland. Mais Cole possède ses propres secrets, et, si Ali ne fait pas attention, ces secrets pourraient s'avérer être encore plus dangereux que les zombies eux-mêmes.
Je souhaiterais pouvoir revenir en arrière et faire des milliers de choses différemment.
Son père avait raison. Les montres sont réels...
Pour venger sa famille, Ali doit apprendre à défier les mort-vivants. Pour survivre, elle doit apprendre à faire confiance au plus mauvais des mauvais garçons, Cole Holland. Mais Cole possède ses propres secrets, et, si Ali ne fait pas attention, ces secrets pourraient s'avérer être encore plus dangereux que les zombies eux-mêmes.
Je souhaiterais pouvoir revenir en arrière et faire des milliers de choses différemment.
Je dirais non à ma sœur.
Je ne supplierais jamais ma mère de parler à mon père.
Je scellerais mes lèvres et ravalerais toutes ces horribles paroles.
Ou, oubliez ce que je viens de dire, je ferrais un dernier câlin
à
ma sœur, à ma mère, et à mon père.
Je leur dirais que je les aime.
Je souhaiterais faire tout ça...
Je leur dirais que je les aime.
Je souhaiterais faire tout ça...
Oh
oui, je
le souhaiterais.
J'ai
adoré!!!
Endormi
comme tant d'autres
dans ma PAL, ce livre était loin d'avoir ma préférence. Allez donc
savoir pourquoi...Sans raison... mais l'histoire revisitée d'Alice
aux pays des merveilles à la sauce Young Adult et zombies ne
m'emballaient plus. Donc j'avais mis « Alice » au dodo.
J'ai révisé mon jugement après lecture...
Les
points forts.
La
narration.
Elle est sans
temps morts.
C'est comme si Gena Showalter nous avait pris par la main mais au
lieu de nous emmener à une gentille promenade littéraire on avait
plutôt eu droit à un 100 mètres effrénés. Pour moi, un bon livre
c'est lorsque j'ai du mal à le quitter. Je ne sais pas toujours
pourquoi mais c'est comme ça. Celui-ci en fait partie. Il n'y a
aucun temps mort. AUCUN.
L'histoire.
J'ai
été surprise de retrouver Gena Showalter dans ce registre moi qui
l'avait connu avec la romance paranormale Les Seigneurs de l'ombre
(j'en suis au tome 10 et la série s'essouffle pas mal !) et
Chasseuse d'Aliens. Je savais qu'elle avait écrit de la romance
paranormale young adult mais sans en connaître la qualité.
High Quality !!Je
trouve cependant que la référence à Alice aux pays des
merveilles ne se voit qu'au niveau du titre : un simple jeu de
mots sans rapport avec le roman en lui-même. Notre monde est peuplé
de zombies et des ados protègent les humains à leur insu. Il
y a plus en commun avec Buffy qu'avec Alice.
La
romance.
Alice et Cole. Cole et Alice. Tu mets ça dans le sens que tu veux
mais c'est toujours aussi bon. Ce Cole c'est juste un sorbet en
pleine canicule : impossible de ne pas craquer !!!!
Les
personnages.
On sent que le premier opus pose un décors et une multitude de
personnages que l'on retrouvera dans les autres tomes. C'est réussi,
on a envie de connaître le devenir des amis d'Alice.
Les
points faibles.
Vous
me direz qu'il ne doit pas y en avoir au vu de ce que j'ai écrit
plutôt mais il y en a un. Le livre démarre ( et quel démarrage !
) seulement au bout d'une vingtaine de pages. Il y a comme une sorte
de préambule, nécessaire
mais qui dénote de l'ensemble. J'ai failli décrocher et puis je me
suis dit « Encore 10 pages ! » et là j'ai été
happé. Peut-être vous n'aurez pas le même sentiment mais si c'est
le cas, attendez...vous ne serez pas déçus.
Ce
livre n'est pas à livre, il est a dévorer !!!
— Quoi
que tu fasses, ne regarde
pas en haut. Je vais
passer à la phase deux. La phase trois viendra ensuite très vite,
et tu n’auras plus rien à faire. Alors tiens-toi prête.
Avec
une force de caractère dont je ne me croyais pas capable, je suis
parvenue à la regarder elle et non pas les garçons à l’étage.
— Je
suis prête, mais j’ai un mauvais pressentiment sur ta façon
d’agir.
— Je
comprends. Mais, moi, je sais que j’ai raison. Alors on y va !
Avec
ses manières de chaton sexy, elle s’est mise à danser autour de
moi, avant de faire signe de l’index à un groupe de danseurs
inconnus, mais super-mignons.
Phase
deux : allumer le feu de la jalousie.
Les
garçons en question nous ont rejointes avec enthousiasme. Au bout de
quelques minutes, des mains masculines se promenaient un peu partout
et des corps souples se frottaient à des corps musclés. J’étais
gênée et mal à l’aise, et j’ai même dû écarter d’une tape
sur les doigts la main d’un garçon qui s’aventurait vers
mes fesses ; néanmoins, j’ai continué à danser, bien
décidée à suivre le plan de Kat jusqu’au bout. Pas une seule
fois je n’ai regardé dans la direction de Cole.
J’ai
aussi remarqué l’expression pincée de Reeve, sans doute assez
proche de celle que j’affichais moi-même. Du coup, je me suis
dirigée vers elle en tourbillonnant — je sais, c’est nul,
mais que voulez-vous ? — pour que nous nous retrouvions
face à face et dansions sans nous laisser distraire.
Malgré
le garçon qui lui collait encore au train, elle m’a accueillie
avec un sourire de soulagement.
Enfin,
je commençais à m’abandonner à la musique. Comme d’eux-mêmes,
mes bras se sont dressés au-dessus de ma tête, et j’ai fermé les
yeux. Je me suis mise à onduler et tournoyer — avant de me heurter
à un torse musclé. Encore ces garçons ! ai-je
pesté intérieurement. J’ai rouvert les yeux, bien décidée à
envoyer paître celui qui avait décidé de me suivre. Je…
Je
n’aurais jamais dû douter de Kat.
Une
paire d’yeux violets me fixait intensément, et ils brûlaient
d’une colère à peine dissimulée. Des mains puissantes se sont
posées sur ma taille et m’ont attirée, attirée tout près,
jusqu’à ce qu’un souffle à peine nous sépare.
L’envoyer
paître ? L’idée s’était évanouie comme mes visions du
matin.
— Dansons.
Dit
d’un ton qui ne souffrait pas la discussion.
— Tu
danses ? ai-je glapi.
Contrôle
un peu ta voix, Bell !
Un
flot d’adrénaline s’est répandu dans mes veines. Jamais aucun
garçon ne m’avait fait autant d’effet.
Du
coin de l’œil, j’ai vu que Frosty avait investi l’espace
personnel de Kat. Ils discutaient. S’embrassaient. S’embrassaient
et discutaient. Un garçon que je n’avais jamais vu dansait devant
Reeve, et il ne la quittait des yeux que pour observer Bronx.
Celui-ci était occupé à refouler les beaux mecs que nous avions
utilisés comme leurres, et il donnait l’impression d’être prêt
à massacrer ceux qui oseraient protester.
D’ailleurs,
aucun n’a protesté.
D’autres
membres de la bande de Cole s’étaient approchés et tentaient de
danser avec Poppy et Wren, mais les filles ont préféré les
ignorer.
Cole
a cueilli mon menton dans sa main et m’a obligée à le regarder de
nouveau.
— Et
pourquoi ne danserais-je pas ?
Euh…
parce qu’il avait une tête à croquer des chatons au petit
déjeuner et des petits chiens à midi ? Et je ne parle même
pas de ce qu’il devait manger le soir, ce serait trop horrible.
— Parce
que tu trouves que c’est débile ? ai-je hasardé.
Les
mots sonnaient comme une question, alors que j’avais voulu
l’affirmer.
— Une
activité où un garçon peut poser les mains sur une fille, ce n’est
pas débile — c’est génial.
Il
m’a serrée plus fort encore, et j’ai murmuré :
— Je
n’en suis pas si sûre…
— Je
vais te convaincre. Allez, prends-moi dans tes bras.
— Encore
des ordres !
Mais
vous savez quoi ? Je lui ai obéi. J’ai même passé la main
le long de sa nuque pour caresser ses cheveux noirs soyeux. Je n’ai
pu m’en empêcher : j’étais obsédée par l’idée de le
toucher.
— C’est
que, d’habitude, les gens ont si peur qu’ils m’obéissent au
doigt et à l’œil.
Je
délirais peut-être, mais « les gens » ne devaient pas
tous imaginer l’embrasser à pleine bouche.
— Je
ne suis pas « les gens ».
— Ça,
je le sais. En revanche, j’ignore pourquoi tu te trouves ici.
Son
ton acerbe me le signifiait suffisamment : je n’étais pas la
bienvenue.
— Je
voulais faire quelque chose qui me change un peu, ai-je répondu avec
un air de défi.
Je
n’allais pas mentionner le fait que je voulais lui parler.
Toutefois, en cet instant précis, je devais lutter avec moi-même
pour me convaincre qu’il ne pouvait, dans l’ordre :
- ni
me mettre mal à l’aise,
- ni
m’intimider,
- ni
me faire fuir.
Son
agacement a laissé place à une certaine surprise.
— Qu’est-ce
qui te change ? Le fait de danser ?
Ça,
et bien d’autres choses, mais je me suis contentée de répondre :
— Oui,
exactement.
— Danser,
et te laisser peloter par un lycéen boutonneux ? C’est
franchement pas très fin, Ali.
Il
ne me mettra pas mal à l’aise, il ne me mettra pas mal à l’aise…
— D’abord,
il ne me pelotait pas, et ensuite tu ne vaux pas mieux que lui.
— Tu
sais que tu fais beaucoup de mal à mon ego, Ali ?
J’en
avais autant à son service !
— Mais
je n’arrive pas à prendre mes distances, a-t-il achevé.
J’ai
bien cru que j’allais fondre devant lui et me transformer en flaque
sous ses pieds.
— Je
connais ce sentiment, ai-je admis.
Son
regard s’est posé longuement sur ma bouche avant qu’il ne relève
la tête. Et, le croirez-vous ? Il s’est penché en avant pour
me murmurer à l’oreille :
— Donc,
tu as imaginé que tu m’embrassais ?
Il
y avait dans sa voix une note rauque, d’une telle intimité que mes
joues en ont viré au rouge écarlate.
Cela
faisait partie des sujets de discussion que j’avais envisagés pour
cette soirée, mais c’était lui qui l’avait mis sur le tapis. Un
point pour Ali.
— Et
tu as aussi imaginé que je t’embrassais, lui ai-je fait remarquer.
— Je
sais. Alors, comment fais-tu ça ?
— Moi ?
Tu plaisantes.
— Oui,
toi. Et je ne plaisante jamais.
Il
a resserré encore son étreinte, comme s’il s’attendait à ce
que je m’enfuie.
— C’est
forcément à cause de toi ! a-t-il insisté. Rien de tel ne
m’est jamais arrivé auparavant.
— Eh
bien, rien de tel ne m’est jamais arrivé non plus, et je pense
donc que c’est plutôt à cause de toi !
Il
a étudié mon visage avec attention, et je ne savais pas si je
devais l’adorer ou le détester pour cela.
— Abordons
le sujet sous un angle moins conflictuel. T’es-tu demandé à quoi
ça ressemblerait en vrai ?
Je…
je n’ai rien trouvé à lui répondre. Nous avons continué à nous
balancer en rythme. Sa main a glissé dans mon dos et s’est arrêtée
tout en bas, mais il ne m’est pas venu à l’esprit de la chasser
comme je l’avais fait pour l’autre garçon.
— Eh
bien ? a-t-il insisté.
J’ai
décidé d’opter pour la franchise.
— Oui,
j’y ai pensé.
— Moi
aussi, a-t-il murmuré.
Mes
genoux flageolaient.
— Tu
veux dire…
— Que
je veux savoir si la réalité vaut l’imagination ? Oui.
Ici ?
Maintenant ? En public ? Ma première réaction a été la
panique. Ma deuxième… encore plus de panique.
— Mais
ce n’est pas obligé, a-t-il ajouté sèchement.
J’ai
senti son étreinte se relâcher, comme s’il avait l’intention de
me lâcher.
— J’ai
l’habitude d’effrayer les gens, mais pas dans ce domaine !
Ça
a été à mon tour de resserrer mon étreinte pour le forcer à
rester contre moi.
— C’est
juste que… eh bien, je n’ai jamais…
Il
m’a considérée, à la fois confus et incrédule :
— Tu
n’es pas en train de me dire que personne ne t’a jamais
embrassée ?
J’ai
serré les mâchoires. La perplexité dans sa voix était presque
insultante.
— Si,
et alors ?
Il
a fait un geste des épaules.
— Alors
rien. Je suis surpris, c’est tout. Vu que tu es… que tu es toi.
Insultant,
exactement.
— Oui.
Sexy.
Minute.
Moi, « sexy » ?
Il
s’est mis à rire.
— Attends
un peu : personne ne te l’a jamais dit non plus ?
Je
me suis contentée de secouer la tête.
— Alors,
de toute évidence, tu as passé tout ton temps avec des idiots.
De
nouveau, il a posé les yeux sur ma bouche.
— Je
vais t’embrasser, Ali.
De
nouveau, j’ai pensé : ici ? Maintenant ? Et,
de nouveau, j’ai paniqué et mes pensées se sont emmêlées.
— Mais…
peut-être que je ne saurai pas m’y prendre, et nous ne nous
connaissons pas très bien, et tu ne… et je ne… nous ne devons
pas…
Les
mots se précipitaient hors de ma bouche, mais rien de cohérent n’en
sortait.
— Je
crois que je. Et que tu. Et que nous pouvons.
Là-dessus,
il a incliné la tête et a posé ses lèvres sur les miennes. J’en
ai eu le souffle coupé.
Soudain,
il n’y a plus eu que Cole, cet instant, sa bouche… son goût.
Menthe et cerise. Sa chaleur qui m’envahissait. Sa force qui
m’entourait. Je me suis retrouvée prisonnière de ses bras comme
le matin même sur le parking, contre la Jeep. Alors je me suis
laissée aller à mes sensations, et j’ai tout oublié à
l’exception de Cole.
Lui
aussi devait se laisser emporter, car la tonalité de notre baiser a
changé ; d’abord impatient et curieux, il est devenu
carrément vorace. Il me dévorait, et je lui rendais la pareille.
Mes mains parcouraient son dos, mes ongles le labouraient. Je
manquais d’expérience, certes, mais comme dans ma vision il
savait exactement comment s’y prendre.
C’était
une expérience intense, enivrante. Il me faisait me sentir moi-même,
sans le moindre filtre. J’avais passé tant de temps à vouloir que
ma vie soit un rêve ; à présent, baignée dans ce torrent
d’émotions et de sensations, je ne voulais plus que la réalité.
Je voulais tout lui donner, ici et maintenant. Je le voulais si
fort… Je veux le toucher, j’en veux davantage. Je veux le
voir torse nu. J’ai saisi son T-shirt et tiré vers le
haut.
Et
il a fait de même, au même moment.
Puis,
soudain, Cole a disparu.
Attends.
— Reviens,
ai-je murmuré tandis qu’une étrange brume envahissait mon
cerveau.
J’ai
entendu des voix au loin, sans parvenir à comprendre ce qu’elles
disaient.
C’est
seulement alors que j’ai remarqué le sifflement dans mes oreilles.
Titubant, les mains tremblantes, j’ai tenté de me concentrer sur
ce qui m’entourait. La première personne que j’ai vue était
Frosty. C’était lui qui avait dû m’arracher à Cole, car il se
dressait à présent entre nous, bras écartés pour nous tenir à
distance. Ses lèvres s’agitaient. Il parlait, mais je ne
comprenais pas ce qu’il disait.
L'extrait :
Sans
un mot,
Cole m’a plaquée contre le mur. Dans mon dos, le contact de la
cloison de plâtre, presque froide, m’a fait tressaillir ;
sentir son corps superbe tout contre le mien a mis la panique dans
mon cerveau.
— Tu
es sûre de vouloir ça ?
— Ou…
oui.
Il
a plongé son regard dans le mien et nous sommes restés immobiles un
long moment ; puis nos lèvres se sont rejointes et sa langue
s’est insérée dans ma bouche. Le baiser a commencé lentement,
pour s’accélérer peu à peu et prendre un rythme frénétique et
sauvage. Une telle passion nous animerait-elle toujours ?
Comme
par magie, ma nervosité a soudain disparu, et mes mains sont
remontées sous son T-shirt, mes ongles labourant sa peau. Je ne
pouvais me rassasier de son contact. J’aurais voulu être encore
plus près, si ça avait été possible.
Comme
dans notre vision, j’ai noué mes jambes autour de sa taille. Il
s’est arc-bouté, et soudain je n’étais plus appuyée contre le
mur, mais accrochée à Cole.
C’est
ainsi, soudée à lui comme une liane, qu’il m’a portée jusqu’au
lit. Il s’est penché… penché… et je me suis retrouvée sur le
matelas moelleux, Cole allongé sur moi sans que jamais notre baiser
ne s’interrompe.
A
ma grande surprise, il n’a pas cherché à aller plus loin. Pas
vraiment. Nous nous sommes contentés de nous embrasser, nos mains
s’égarant parfois, mais jamais en dessous de la ceinture. Au bout
d’un moment, il a relevé la tête avec un grognement frustré, ses
pupilles violettes dilatées.
— Il
vaut mieux en rester là.
— Quand
tu seras prête à aller plus loin, nous le saurons tous les deux.
Il
a roulé sur le côté et m’a attirée contre lui.
— Et…
si je veux attendre le mariage ?
— Es-tu
en train de me demander de t’épouser ? m’a-t-il demandé en
riant.
— Non !
— Si
c’est ce que tu décides, pas de problème. Ne laisse personne te
faire changer d’avis, moi y compris. Et j’ai honte de te
l’avouer, mais il est fort possible que j’essaie.
— Et
il est fort possible que je sois aussi très vexée si tu n’essaies
pas.
Je
me suis blottie contre lui, et il s’est mis à jouer avec les
mèches de mes cheveux. Non sans une certaine satisfaction, j’ai
remarqué que ses mains tremblaient autant que les miennes.