Maggie
Goudeau est la fille d'un riche sénateur, habituée à obéir sans
poser de question à son père. Cependant tout change lorsqu'elle
rencontre Wren au Sanctuaire...
Le
résumé:
Maggie Goudeau est
la fille d'un riche sénateur, habituée à obéir sans poser de
question à son père. Cependant tout change lorsqu'elle rencontre
Wren au Sanctuaire...
Irrésistiblement attirée par lui, Maggie ne sait pas ce qu'elle risque en sa présence. Et pourtant, bien qu'elle sente le danger qui émane de lui, la jeune femme ne s'est jamais aussi bien sentie qu'en sa présence...
Wren, habitué depuis sa plus tendre enfance au rejet et à la solitude, est un tigre-garou réfugié au Sanctuaire depuis la mort de ses parents. Cette existence lui convient parfaitement.
Mais lorsqu'il rencontre Maggie, sa vie s'en retrouve bouleversée. Rien ne compte plus pour lui que passer du temps aux côtés de la jeune femme...
Cependant celle-ci est humaine. Or les amours entre Garous et humains sont voués à l'échec...
Irrésistiblement attirée par lui, Maggie ne sait pas ce qu'elle risque en sa présence. Et pourtant, bien qu'elle sente le danger qui émane de lui, la jeune femme ne s'est jamais aussi bien sentie qu'en sa présence...
Wren, habitué depuis sa plus tendre enfance au rejet et à la solitude, est un tigre-garou réfugié au Sanctuaire depuis la mort de ses parents. Cette existence lui convient parfaitement.
Mais lorsqu'il rencontre Maggie, sa vie s'en retrouve bouleversée. Rien ne compte plus pour lui que passer du temps aux côtés de la jeune femme...
Cependant celle-ci est humaine. Or les amours entre Garous et humains sont voués à l'échec...
L'extrait :
Wren
ne comprenait pas ce qui, chez lui, pouvait séduire Marguerite. Dans
le passé, les humains n’avaient jamais fait preuve d’un grand
intérêt à son égard. Quant à lui, en tant que mâle katagaria,
il n’aurait pas dû éprouver tant d’attirance pour une humaine.
En dehors de l’attirance sexuele, évidemment. Et pourtant, il se rendait compte avec stupéfaction que Marguerite le fascinait. Il avait envie de passer son bras autour de ses épaules et de la serrer tendrement contre lui. Lui tenir la main ne lui suffisait pas, alors que, d’ordinaire, les tigres-garous ne supportaient pas le moindre contact. Ils arrachaient sans crier gare le bras, ou la patte, de quiconque, homme ou bête, était assez stupide pour les toucher.
Marguerite le regardait en souriant, et ce sourire le faisait fondre. Il se découvrait doux, tendre, mais aussi enjôleur. Elle le désirait, il en était conscient, et ces ondes sensueles qui couraient entre eux lui donnaient envie de rugir, de bondir sur cette ardente partenaire, de la posséder.
En dehors de l’attirance sexuele, évidemment. Et pourtant, il se rendait compte avec stupéfaction que Marguerite le fascinait. Il avait envie de passer son bras autour de ses épaules et de la serrer tendrement contre lui. Lui tenir la main ne lui suffisait pas, alors que, d’ordinaire, les tigres-garous ne supportaient pas le moindre contact. Ils arrachaient sans crier gare le bras, ou la patte, de quiconque, homme ou bête, était assez stupide pour les toucher.
Marguerite le regardait en souriant, et ce sourire le faisait fondre. Il se découvrait doux, tendre, mais aussi enjôleur. Elle le désirait, il en était conscient, et ces ondes sensueles qui couraient entre eux lui donnaient envie de rugir, de bondir sur cette ardente partenaire, de la posséder.