“Je
n'ai jamais encore séduit une femme.
Choquant, je sais.
Laissez-moi être plus clair. Je n'ai jamais eu à séduire une femme auparavant, pas dans le sens classique du terme. Généralement, il suffit d'un regard, d'un clin d'oeil, d'un sourire. Un bonjour amical, peut-être un verre ou deux. Après ça, le seul échange verbal implique des phrases courtes, souvent guère plus de quelques mots, telles que plus fort, encore plus, plus bas... Vous voyez où je veux en venir.''
Choquant, je sais.
Laissez-moi être plus clair. Je n'ai jamais eu à séduire une femme auparavant, pas dans le sens classique du terme. Généralement, il suffit d'un regard, d'un clin d'oeil, d'un sourire. Un bonjour amical, peut-être un verre ou deux. Après ça, le seul échange verbal implique des phrases courtes, souvent guère plus de quelques mots, telles que plus fort, encore plus, plus bas... Vous voyez où je veux en venir.''
Le résumé :
(Traduction
forum BdP)
Drew Evans est un gagnant. Beau et arrogant, il négocie des contrats pour des
millions de dollars et séduit les
plus belles femme de New York d'un seul sourire. Il a des amis loyaux
et une famille indulgente. Alors pourquoi donc est-il enfermé dans
son appartement depuis sept jours, malheureux et déprimé ? Drew Evans est un gagnant. Beau et arrogant, il négocie des contrats pour des
Il
vous dira qu'il a la grippe.
Mais nous savons tous que ce
n'est pas réellement la vérité.
Katherine Brooks est
intelligente, belle et ambitieuse. Elle refuse de laisser quoi que ce
soit - ou qui que ce soit - se mettre en travers de son chemin vers
le succès. Lorsque Kate est enbauchée comme nouvelle associée dans
l'entreprise d'investissements bancaires du père de Drew, la vie du
playboy est totalement chamboulée. La compétition professionnelle
est déstabilisante, son attraction envers elle distrayante, et son
échec à la mettre dans son lit... exaspérant.
Puis, alors
que Drew est sur le point d'avoir tout ce qu'il désire, sa confiance
en soi démesurée va menacer de tout détruire. Sera-t-il capable de
démêler ses sentiments de désir et de tendresse, de frustration et
de contentement ? Sera-t-il à la hauteur du plus important challenge
de sa vie ?
Drew Evans peut-il réussir en amour ?
L'avis :
J'ai
adoré !!!!!
Cela
faisait bien longtemps que je n'avais pas autant ri. La plume d'Emma
Chase vaut vraiment le détour.
L'histoire
est assez banal:un jeune cadre dynamique, éternel bourreau des cœurs
dont toutes les femmes raffolent tombe pour la première fois
amoureux d'une femme...qui se refuse à lui.
Rien
d'original sous le soleil me direz-vous mais ce qui est vraiment
marquant c'est que l'histoire est raconté du point de vue de ce
dragueur invétéré et sans moral. Sa vision de la femme et des
relations homme/femme qu'il associe à des marques de dentifrice est
vraiment tordante. Il a la cruauté des enfants qui ne savent pas ce
que cela veut dire de souffrir et sa rencontre avec Kate va remettre
les pendules à l'heure.
Drew
est un personnage qui vaut le détour.
Sans
compter que les scènes de sexe sont tout simplement superbes.
J'ai
mis quelques extraits fameux mais tout le livre en est truffé.
Vivement
le tome 2 qui est cette fois raconté du point de vue de l'héroïne.
Bonne
dégustation !
L'extrait :
– Kate,
ces derniers jours avec toi ont été incroyables. Jamais… je…
Je
ne sais même pas comment décrire ce que je ressens. Je ne sais pas
comment lui dire. Je gagne ma vie en désactivant la fonction de
communication, en pouvant verbaliser une idée, décrire un plan.
Mais à ce moment précis, les mots sont complètement inadéquats.
Je
l’attrape par les bras et je l’attire contre moi. Elle gémit
sous le coup de la surprise ou de l’excitation, je ne suis pas très
sûr. Sa langue glisse contre la mienne et ses mains tirent mes
cheveux. Nous nous retrouvons sur le lit, côte à côte, nos bouches
collées l’une à l’autre, mon caleçon par terre. Ma main glisse
sur ses seins, descend vers son ventre puis entre ses cuisses.
Je
soupire.
– Putain,
Kate, tu es déjà mouillée.
Et
elle l’est. Je l’ai à peine touchée et elle mouille pour
moi.Mon Dieu. Je n’ai jamais eu autant envie de quelqu’un
qu’à ce moment. Elle pince mon cou tandis que mes doigts glissent
en elle. Sa chatte se referme autour d’eux, les enveloppe. Nous
gémissons tous les deux. Puis Kate pose ses mains sur moi, partout.
Elle attrape mes couilles, caresse ma bite, me griffe la poitrine et
le dos.
Je
la fais rouler sous moi. Je la veux, tout de suite. Je la taquine
avec ma bite, je l’enduis avec son liquide. Elle dégage de la
chaleur. Elle est le feu, elle m’appelle, elle m’attire en elle.
Je m’introduis lentement en elle mais jusqu’à la garde et mes
yeux se ferment sous le coup de l’extase parfaite.
Elle
est nue, sans protection, partout autour de moi. Elle est… plus.
Plus humide, plus chaude, plus serrée. Dans tous les sens du terme.
C’est incroyable.
Elle
attrape mon cul, le masse et me pousse plus loin en elle. Mais je
sors complètement pour pouvoir me glisser de nouveau en elle. Dieu
tout-puissant.
J’impose
le rythme. Ce n’est pas lent ou doux ni tendre. C’est brutal et
chaud et foutrement incroyable. Des gémissements aigus s’échappent
de ses lèvres entrouvertes. Puis ma bouche dévore la sienne et
cesser ses petits cris. Et nous nous saisissons l’un l’autre,
violemment. Comme si c’était la première fois. Comme si c’était
la dernière fois.
Elle
est enroulée autour de moi, de toutes les façons possibles. Sa
chatte enveloppe ma bite, ses jambes sont autour de ma taille, ses
bras autour de mon cou, enveloppé serré comme dans un étau exquis.
Et je m’enfouis en elle, je veux être plus près, plus profond. Je
voudrais rester en elle et ne jamais ressortir.
Nos
mains se trouvent. Nos doigts se mêlent et se rejoignent au-dessus
de sa tête. Nos fronts se touchent, nos respirations se mélangent.
Nos hanches bougent à l’unisson, comme le flot de l’océan.
D’avant en arrière. De concert. Ensemble.
Nos
yeux se trouvent.
– Mon
Dieu, Drew… ne t’arrête pas… s’il te plaît, ne t’arrête
pas !
Je
plonge en elle. Je peux à peine reprendre mon souffle. Mais je
parviens à murmurer :
– Non,
je n’arrêterai jamais !
Je
la sens venir. Chaque centimètre humide et brûlant autour de moi.
Et c’est si bon… Si sauvagement intense que j’ai envie d’en
pleurer de plaisir. J’enfouis mon visage dans son cou, je respire
son odeur, je la dévore. Et puis je jouis avec elle, en elle.
Je baigne ses entrailles de chacune de mes poussées. Je me sens
parcouru par de douces secousses tandis qu’un mot s’échappe sans
cesse de mes lèvres :
– Kate…
Kate… Kate… Kate…
C’est
un miracle. Après quelques instants, nos corps s’apaisent. Seuls
nos respirations rapides et les battements de nos cœurs viennent
rompre le silence de la chambre.
Puis
Kate murmure :
– Drew ?
Ça va ?
Je
soulève la tête et je vois ses beaux yeux me regarder avec
inquiétude. Sa main se pose doucement sur ma joue.
– Tu
trembles !
Avez-vous
jamais essayé de prendre une photo de quelque chose qui est vraiment
loin ? Vous regardez à travers l’objectif et la scène est
floue ? Vous bricolez la mise au point, vous zoomez et dézoomez.
Et puis l’appareil photo tourbillonne et quelques secondes plus
tard, boom, tout devient clair. Tout s’enclenche. L’image est
aussi limpide que du cristal. C’est ce qui se passe pour moi, à
cet instant précis, lorsque je regarde Kate. Soudain, tout est
évident, si clair.
Je
suis amoureux d’elle. Complètement. Sans pouvoir rien y faire.
Amoureux. Kate me possède, corps et âme. Elle est tout ce que je
pense. Elle est tout ce que je pensais ne jamais vouloir. Elle n’est
pas simplement parfaite, elle est parfaite pour moi. Je ferais tout
pour elle. N’importe quoi. Je la veux près de moi, avec moi. Tout
le temps. Toujours.
Ce
n’est pas simplement le sexe. Ce n’est pas simplement son corps
superbe ou son esprit brillant. Ce n’est pas simplement le
fait qu’elle me fasse penser ou bien qu’elle soit impatiente de
me défier. C’est bien plus que tout cela. C’est tout cela. C’est
elle. J’ai enfreint chaque putain de règle que je m’étais
imposée pour être avec elle. Et ce n’était pas simplement pour
la baiser. C’était pour l’avoir, pour la garder. Comment je n’ai
rien vu de tout cela avant ? Comment cela se fait que je ne l’ai
pas su ?
– Eh !
Elle
m’embrasse doucement sur les lèvres.
– Tu
étais où ? Je t’ai perdu pendant une minute. Ça va ?
– Je…
Je
déglutis péniblement.
– Kate…
je…
Je
prends une profonde inspiration.
– Je…
je vais bien.
Je
souris et je l’embrasse.
– Je
pense que tu m’as simplement épuisé.
Elle
rit.
– Ouah,
je n’ai jamais pensé que cela arriverait.
L'extrait :
Quand
j’avais huit ans, mon grand-père a eu une crise cardiaque. Une
fois que mes parents sont partis à l’hôpital, Alexandra m’avait
promis que tout allait bien se passer. C’était faux.
– Est-ce
que Kate te l’a dit ?
Elle
hoche la tête.
– Pas
avec ces mots-là.
– Alors
comment tu sais ?
Elle
hausse une nouvelle fois les épaules.
– C’est
l’œstrogène. Cela nous donne une perception extrasensorielle, si
tu avais un vagin, tu le saurais aussi.
Mackenzie
lève fièrement la main.
– J’ai
un bagin.
Je
souris en coin.
– Oui,
mon cœur. Et un jour, cela va t’aider à gouverner le monde.
– Johnny
Fitzgerald a un pénis. Il dit que son pénis est mieux que mon
bagin.
– Johnny
Fitzgerald est un idiot. Les vagins gagnent toujours contre les
pénis. Ils sont comme en kryptonite. Les pénis sont sans défense
face à eux.
Ma
sœur met un terme à notre discussion.
– Ok,
cette jolie conversation a assez duré. Mais je suis sûre que
l’enseignante en maternelle de Mackenzie appréciera beaucoup
d’entendre tout ça. Juste avant d’appeler les services de
protection de l’enfance.
L'extrait :
– Dreeewww…
c’est Staaaacey. Tu m’as manqué, bébé. Je veux faire un autre
tour en taxi. Souviens-toi cette nuit-là quand j’ai sucé ta bite
si l…
Ma
main tape sur le bouton off.
Puis
je jette un œil vers Kate. Son visage est figé sur la télévision,
son expression indéchiffrable. Je devrais probablement dire quelque
chose. Qu’est-ce que je pourrais dire, putain ? « Désolé,
une de mes autres poupées a appelé ? » Non, pour x
raison, je pense que ça ne passerait pas très bien.
– Je
devrais probablement y aller.
Merde.
Quel con ce Jack !
Kate
se lève, elle tient contre elle mon oreiller, pour se couvrir.
Ce
n’est pas bon signe. Il y a une heure, elle poussait sa chatte
contre mon visage. Maintenant, elle ne veut même pas que je la
regarde.
Bordel.
Elle
passe devant moi et se dirige vers la chambre. Même avec mon estomac
qui gargouille, je ne peux pas m’empêcher d’admirer l’emprise
de son cul bien serré. Comme il fallait s’y attendre, ma bite se
dresse comme Dracula qui jaillirait de son cercueil.
Lorsque
j’avais dix ans, nous avions un chien. Il bandait avec tout et
n’importe quoi, depuis la jambe de la femme de chambre jusqu’au
lit à baldaquin de mes parents. Il était insatiable. Mes parents
étaient morts de honte lorsque quelqu’un passait à la maison.
Mais aujourd’hui, je réalise qu’il n’était pas du tout un
méchant chien. Ce n’était pas sa faute. Je comprends ta douleur,
Fido.
Je
soupire. Et je me lève pour suivre Kate. Au moment où je parviens
dans la chambre, elle a déjà mis sa jupe et son chemisier est
boutonné. Elle ne me regarde pas lorsque j’entre.
– Kate…
– Tu
sais où est mon autre chaussure ?
Ses
yeux parcourent le plancher, le lit, partout, mais elle n’a pas un
regard pour moi.
– Kate…
– Elle
est peut-être sous le lit.
– Tu
n’as pas besoin de partir.
Elle
ne lève pas la tête.
– Je
ne veux pas contrarier tes plans.
Quels
plans ? Le seul plan que j’avais, c’était de me gaver du
juteux buffet entre ses cuisses. Encore.
– Je
ne…
– Ça
va, Drew. Tu sais, c’était sympa…
Sympa ?
Elle dit que ce que nous avons fait la nuit dernière et toute la
journée – dans la chambre, la cuisine, la douche, debout contre le
mur du couloir – était « sympa » ? C’est une
putain de plaisanterie ?
Elle
doit voir le regard sur mon visage car elle s’arrête au milieu de
sa phrase et lève les sourcils.
– Je
suis désolée, l’adjectif était mal choisi ? J’ai insulté
ton fragile ego masculin ?
Je
bégaie sous le coup de l’indignation.
– Bien…
ouais !
– Quel
mot tu préfères ?
Pour
information, je suis toujours nu et si la position de ma bite peut
donner une indication, il ne faut pas être Einstein pour savoir ce
que je préférerais à cet instant précis.
– Extraordinaire ?
Transcendant ? Sans précédent ?
Je
ponctue chaque mot par un pas de prédateur dans sa direction.
Elle
recule nerveusement à mesure que j’avance vers elle jusqu’à ce
que son cul heurte ma commode. Je souris en coin.
– Tu
es diplômée de la plus prestigieuse école de commerce du pays,
Kate. Mon honneur exige que tu trouves quelque chose,n’importe
quoi,
qui soit mieux que « sympa » !
Elle
fixe ma poitrine pendant un instant. Puis elle lève les yeux. Elle a
l’air grave.
– Je
devrais y aller.
Elle
essaie de passer devant moi mais je la saisis par le bras et je la
tire vers moi.
– Je
ne veux pas que tu partes.
Non,
ne me demandez pas pourquoi. Je ne répondrai pas. Pas maintenant. Je
suis concentré sur le moment présent et sur elle. Le reste n’a
pas d’importance. Elle regarde ma main sur son bras puis elle lève
les yeux vers moi.
– Drew…
– Ne
me laisse pas, Kate.
Je
la prends, je l’assieds sur la commode et je m’avance entre ses
jambes.
– Reste !
Je
l’embrasse dans le cou et je mordille son oreille. Elle frissonne.
Je murmure :
– Reste
avec moi, Kate !
Je
la regarde dans les yeux.
– S’il
te plaît !
Elle
se mord la lèvre. Puis elle sourit lentement : « D’accord. »
L'extrait :
– Je
suis amoureux de toi, Kate.
Elle
reste silencieuse. Elle ne répond rien.
Et
ma poitrine se serre parce que je sais pourquoi.
– Tu
ne me crois pas, c’est ça ?
– Je
pense que tu es un excellent menteur lorsque tu veux l’être, Drew.
Ouille.
C’est ce que l’on ressent lorsqu’on récolte ce qu’on a
semé ? Ça craint.
Mais
ma voix est ferme. Déterminée et sans la moindre hésitation.
– Je
ne te mens pas, Kate. Mais c’est bon, fais ce que tu dois faire.
Maudis-moi, gifle-moi, mets le paquet. Je peux le supporter. Parce
que plus te me repousses, plus je lutterai pour te prouver que tout
cela est bien réel. Que je ne vais nulle part et que ce que je
ressens pour toi ne va pas changer. Et puis un jour, peut-être
pas tout de suite mais un jour prochain, je vais te dire que toi,
Kate Brooks, tu es l’amour de ma vie et tu ne douteras pas que ce
soit vrai.
Le
book trailer :