Ils
retournèrent à leur table, et se concentrèrent d’abord sur leur
nourriture. Julia ne pouvait s’empêcher d’épier la bouche de
Mark, la façon dont il croquait dans ses aliments, dont il les
mâchait, et dont sa pomme d’Adam vibrait chaque fois qu’il
avalait une bouchée. Mais, dès qu’il levait les yeux vers elle,
Julia baissait les siens vers son assiette, incapable de soutenir son
regard.
Le
résumé :
Mal
aimée par son père qui lui en a toujours voulu de ne pas être un
garçon, Julia Devon se venge en multipliant les coups d’éclat.
Mais cette fois, elle a un vrai projet, digne de prouver qu’elle
est bien plus qu’une starlette de tabloïd : ouvrir en plein
Manhattan un somptueux palace dédié à l’audace et au plaisir.
Scandalisé, le vieux Devon lui lance un ultimatum : si elle
s’entête, il ne lui léguera pas un seul des millions de dollars
auxquels elle peut prétendre. Julia prend le pari. Mais elle
frissonne quand arrive Mark Winslow. Irrésistible, sexy, implacable,
l’avocat envoyé par son père pour la convaincre de renoncer est
le genre d’homme dont elle ne demanderait qu’à faire les
trente-six volontés…
L'extrait :
Mark
pénétra dans la cafétéria, et Julia dut poser sa tasse de café
tellement il était beau. A couper le souffle. C’était vraiment
trop injuste. Cet homme avait un corps absolument parfait : larges
épaules, hanches sveltes et abdominaux en tablettes de chocolat. Ses
cheveux sombres et épais encadraient un visage plus parfait encore
que son corps. Ses yeux brun profond étaient très expressifs, il
avait un nez fin et droit, quant à ses lèvres charnues… Dès
qu’il souriait, toute femme normalement constituée ne pouvait que
tomber sous le charme.
Dommage qu’il soit aussi crétin.
— Que fait-on ici ? demanda-t-il, un peu raide dans son complet gris égayé d’une cravate bleu pâle.
Malgré l’austérité du costume, son corps dégageait un sex-appeal auquel il était impossible de résister.
— C’est un endroit où l’on mange !
Il baissa les yeux sur sa tasse de café qui n’était accompagnée d’aucune nourriture. Julia poussa un long soupir, se leva et marmonna :
— Suivez-moi !
Il lui emboîta le pas jusqu’au buffet qui proposait tout ce dont on pouvait rêver pour un petit déjeuner : bagels frais, œufs brouillés, gaufres, etc. Julia saisit un plateau et se servit un yaourt, une salade de fruits frais et un pamplemousse pressé. De son côté, Mark choisit une gaufre, des œufs brouillés, et une portion de melon.
Ils retournèrent à leur table, et se concentrèrent d’abord sur leur nourriture. Julia ne pouvait s’empêcher d’épier la bouche de Mark, la façon dont il croquait dans ses aliments, dont il les mâchait, et dont sa pomme d’Adam vibrait chaque fois qu’il avalait une bouchée. Mais, dès qu’il levait les yeux vers elle, Julia baissait les siens vers son assiette, incapable de soutenir son regard. Finalement, elle n’y tint plus :
— Alors, Mark, si vous me disiez pourquoi Nicholas joue les salauds avec sa propre fille ?
Dommage qu’il soit aussi crétin.
— Que fait-on ici ? demanda-t-il, un peu raide dans son complet gris égayé d’une cravate bleu pâle.
Malgré l’austérité du costume, son corps dégageait un sex-appeal auquel il était impossible de résister.
— C’est un endroit où l’on mange !
Il baissa les yeux sur sa tasse de café qui n’était accompagnée d’aucune nourriture. Julia poussa un long soupir, se leva et marmonna :
— Suivez-moi !
Il lui emboîta le pas jusqu’au buffet qui proposait tout ce dont on pouvait rêver pour un petit déjeuner : bagels frais, œufs brouillés, gaufres, etc. Julia saisit un plateau et se servit un yaourt, une salade de fruits frais et un pamplemousse pressé. De son côté, Mark choisit une gaufre, des œufs brouillés, et une portion de melon.
Ils retournèrent à leur table, et se concentrèrent d’abord sur leur nourriture. Julia ne pouvait s’empêcher d’épier la bouche de Mark, la façon dont il croquait dans ses aliments, dont il les mâchait, et dont sa pomme d’Adam vibrait chaque fois qu’il avalait une bouchée. Mais, dès qu’il levait les yeux vers elle, Julia baissait les siens vers son assiette, incapable de soutenir son regard. Finalement, elle n’y tint plus :
— Alors, Mark, si vous me disiez pourquoi Nicholas joue les salauds avec sa propre fille ?