Le
désir correspond à notre inclination première, alors que la
volonté désigne le résultat d'une élaboration par la raison. Vous
vous situez dans la première catégorie, celle du désir. Conclut-il
sûr de lui
Un
élève aussi farouche que séduisant, une société secrète, un
lent apprentissage mené de main de maître qui éveille son corps et
comble ses désirs les plus inavouables : Mickaëlla Valmur est loin
d imaginer ce que lui réserve cette étrange rentrée
scolaire...
Chaque femme vit plusieurs existences à la fois : fille, amie, soeur, mère, compagne, enseignante, infirmière, amante... Qu'importe qui elle est vraiment, Angela Behelle est une femme comme toutes les autres, tranquille et sage... en apparence.
Chaque femme vit plusieurs existences à la fois : fille, amie, soeur, mère, compagne, enseignante, infirmière, amante... Qu'importe qui elle est vraiment, Angela Behelle est une femme comme toutes les autres, tranquille et sage... en apparence.
L'avis :
J'ai
adoré !!!!
Premier
livre d'une série. Celle-ci commence magistralement avec une auteure
qui n'a pas froid aux yeux et qui donne du renouveau à érotisme à
la française.
L'extrait :
– Prends-moi
Micky ! Souffle-t-il. Fais-moi découvrir ce que je t’ai infligé
hier soir.
Mon
sang ne fait qu’un tour. Je le repousse contre les oreillers et je
récupère à la salle de bain le matériel qu’il a pris soin de
nettoyer le matin. Dans mon sac, je retrouve mon cadeau précédent.
Je savoure d’avance le plaisir que je vais lui donner. Je le
jalouse presque. Il me regarde verser lentement l’huile sur son
ventre et en masser longuement le chapelet de boules. Je me coule sur
lui et lui donne mes seins à téter avec autorité. Il obéit et me
suce avidement. Mon corps entier s’embrase et sert ma cause. Mes
seins vont ensuite entourer son sexe tendu et je le masturbe ainsi
avec douceur. Ma main droite se faufile jusqu’à son anus. Je
presse délicatement son orifice et mon doigt s’enfonce facilement.
Je joue quelques secondes de cette façon avant de me retirer. Alexis
me lance un regard fou quand j’enfonce la première bille.
– La
deuxième ! Je le préviens perverse.
– Encore
!
Je
souris et, impitoyablement, je fais entrer les dix autres boules. Il
retient son souffle.
– C’était
bon ? J’interroge.
– Je
suis prêt ! Vas-y, je t’en prie !
Je
tire sur la ficelle. Chacune des boules lui arrache un cri. Son sexe
se tend à l’extrême. Lorsque la dernière est sur le point de
sortir, j’empoigne le gode. Alex serre les dents en me regardant
lui sourire. Je tire une dernière fois et j’enfonce le gode froid
et glissant dans son anus ouvert. Je fais très doucement quelques
va-et-vient, il halète sous mes gestes lents. Je me penche sur lui
et ma bouche se colle à son oreille.
– Tu
sais quoi ? C’est moi qui ai la télécommande. Je le préviens
gentiment.
Il
se redresse le regard trouble. J’appuie sur le premier bouton et il
retombe aussitôt sur les oreillers en criant. Je lui fourre ma
langue dans la bouche pour le faire taire. Quand il est plus sage, je
l’informe de la suite.
– Je
vais te sucer Alex. Tu préfères que je choisisse le programme du
gode ou tu veux le faire ?
–
Prends-moi
comme tu veux ! Suffoque-t-il en repliant ses bras sous sa nuque pour
s’empêcher d’intervenir.
J’engloutis
son sexe avec gourmandise. La fellation que je lui inflige et la
sodomie qu’il subit en même temps le rendent fou. Il secoue la
tête, son corps échappe à son contrôle. Alexis se mord violemment
le bras pour ne pas crier. Aux premières gouttes annonciatrices de
sa jouissance, j’appuie sur le bouton de la télécommande qui
accélère les vibrations du gode. Alexis hurle de plaisir tandis
qu’un jet puissant de sperme manque de m’étouffer au point que
je dois me retirer de sa verge brûlante. Il continue à jouir sur
mon visage et sur mes seins. Puis il s’effondre sur le lit. Je
retire délicatement le jouet. Alexis respire difficilement. Son
corps est secoué de frissons nerveux.
– Alex…
parle-moi ! Je m’affole de son état de choc.
Pour
toute réponse, il m’attire dans ses bras. Son cœur bat trop vite
dans sa poitrine. Il me regarde d’un drôle d’air, du bout du
doigt, il essuie mon menton et pose sa bouche sur la mienne. Un
sourire étire enfin ses lèvres. Je suis rassurée et j’ai envie
de le taquiner.
– Je
veux que tu me fasses la même chose ! Ça avait l’air trop bien.
– C’était
trop bien. Confirme-t-il.