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samedi 15 août 2020

Ne crois pas que tu m'aimes, Tome 1 de Alfreda Enwy


 
Il l’a toujours protégée… mais parviendra-t-il à la sauver de lui-même ?
Il s'appelle Mao, elle s'appelle Autumn. Depuis qu'ils se sont rencontrés, enfants, dans ce parc, ils sont inséparables.
Pour Mao, cette amitié est plus importante que tout. Autumn est la fille la plus précieuse qui soit, l’exception dans le monde où il gravite. Étudiant le jour, Mao participe à des combats clandestins la nuit, et est un enfoiré de première… tout le temps. Alcool, sexe, fêtes, il voit la vie comme un jeu dans lequel tout est permis… ou presque. Car, quand il prend conscience qu’Autumn est une jeune femme séduisante avant d’être l’amie drôle et attachante qu’il a toujours connue, il comprend que, pour une fois, il va devoir respecter certaines limites. Pour préserver leur amitié, et surtout pour protéger Autumn de lui-même, Mao est prêt à tout, mais est-il vraiment le danger qui la menace ?




Passionnée de livres et de mots, Alfreda Enwy aime s’inventer des histoires et a souvent la tête dans les nuages. Irrécupérable sentimentale et addict aux romances, elle s’est décidée à écrire les siennes. Qu’il s’agisse de romance contemporaine ou de New Adult, Alfreda se plonge avec délectation dans les univers de ses romans et tombe régulièrement amoureuse de ses hommes de papier… Sa page facebook : https://www.facebook.com/AlfredaEnwyOfficiel


 




Il lâche mon visage et met ses mains derrière sa nuque ; quand je vois son pendentif sortir de sous son T-shirt, je comprends ce qu’il fait. En silence, Mao se penche vers moi et le porte à mon cou. Cette fois-ci, je ne retiens pas mes larmes. Voir et sentir cette chose à mon cou, c’est…
Mais, c’est…, je sanglote.
Comme ça, je serai avec toi, comme ça, tu auras mon cœur près du tien. Mis à part toi, cette babiole, c’est la chose la plus précieuse que j’ai. Ça fait bien longtemps que j’aurais dû te le donner. Il me vient de ma mère, mais je crois que c’est toi que je porte au cou depuis tout ce temps. C’est là sa place. Ouais, souffle-t-il, comme émerveillé en me regardant. Il est beaucoup plus beau à ton cou. Il prend toute sa valeur.