Pour
la deuxième fois de la soirée, il la toucha. Il lui effleura la
joue et enroula autour de son doigt une des mèches qui s’étaient
échappées de son chignon.
Le résumé :
Jace Crestwell et Ash McIntyre sont les meilleurs amis du monde et partagent tout,leur entreprise, leur succès… et leurs nombreuses conquêtes. Jusqu’au jour où Jace croise la route de Bethany. Sans bien comprendre ce qui lui arrive, une évidence s’impose à lui : voilà une femme qu’il désire pour lui seul. Pour la première fois, il connaît le sentiment de jalousie.
Comment écarter Ash sans mettre leur amitié en péril ? Et, surtout, comment sortir Bethany des démons de son passé ?
L'extrait :
soudain,
Jace sortit de son mutisme et proféra un juron entre ses dents tout
en fusillant Ash du regard. Il semblait animé d’une colère
volcanique.
—Tu fais vraiment chier, Ash, lança-t-il. Je t’avais pourtant dit de ne jamais recommencer ce petit jeu.
La situation empirait à vue d’œil. Clairement, Ash souhaitait poursuivre l’aventure alors que Jace n’en avait pas envie. humiliée, Bethany commença à se rapprocher de la porte donnant sur la salle de bal.
— Il faut que je retourne travailler, bredouilla-t-elle.
Mais, quand elle se retourna vers la sortie, elle se trouva nez à nez avec Jace, qui lui barrait la route. Il se tenait si près qu’elle sentit son parfum et la chaleur de son corps. C’était tellement bon qu’elle faillit faire un truc stupide, du genre appuyer le front contre son torse, comme pour chercher du réconfort.
Alors, d’un geste très doux, il lui souleva le menton. Elle n’eut pas la force de résister et croisa son regard.
—Terminez votre service; nous vous attendrons. Ensuite, nous irons dîner. Y a-t-il un endroit enparticulier qui vous ferait plaisir? D’ailleurs, préférez- vous dîner au restaurant ou dans notre chambre d’hôtel ? Il avait formulé ces questions avec une douceur teintée d’intimité, sans accorder un seul coup d’œil à Ash. Elle-même était captivée par ses yeux sombres, au point d’en oublier qu’elle avait changé d’avis quant au
ménage à trois.
Cependant, elle parvint à se ressaisir suffisamment
pour examiner sa tenue. Il n’était pas question de repasser chez elle pour se changer, puisqu’elle n’avait pas de chez-elle, et pas de vêtements dignes du genre de lieux que ces hommes fréquentaient.
Elle se racla la gorge avant de reprendre la parole.
— Votre chambre, ça me va. Quant au menu, je ne suis pas difficile : tant que c’est bon et que ça se mange... En fait, je meurs d’envie d’un burger. Avec des frites.
Cette simple idée la fit saliver.
— Et un jus d’orange, ajouta-t-elle à la hâte.
Elle vit une lueur d’amusement dans le regard d’Ash,
mais Jace resta de marbre.
—un burger avec des frites et un jus d’orange...
ça devrait être faisable, dit-il en consultant sa montre. Les invités seront priés de partir d’ici quinze minutes. Combien de temps vous faut-il pour tout remballer, après ça?Bethany cilla avant de répondre.
— Euh... tout le monde ne sera pas parti dans quinze minutes. Il y a toujours des gens qui s’attardent, surtout s’il reste à manger et à boire.
—Croyez-moi, Bethany, tout le monde sera parti dans quinze minutes, intervint Jace avant qu’elle ait pu en dire plus.
Elle devina au ton de sa voix qu’il ne s’agissait pas d’une supposition mais d’une promesse.
—Combien de temps vous faut-il? répéta-t-il non sans une certaine impatience.
— Je ne sais pas... une demi-heure, répondit-elle.
Pour la deuxième fois de la soirée, il la toucha. Il lui effleura la joue et enroula autour de son doigt une des mèches qui s’étaient échappées de son chignon.
— Très bien. On se voit dans une demi-heure.
—Tu fais vraiment chier, Ash, lança-t-il. Je t’avais pourtant dit de ne jamais recommencer ce petit jeu.
La situation empirait à vue d’œil. Clairement, Ash souhaitait poursuivre l’aventure alors que Jace n’en avait pas envie. humiliée, Bethany commença à se rapprocher de la porte donnant sur la salle de bal.
— Il faut que je retourne travailler, bredouilla-t-elle.
Mais, quand elle se retourna vers la sortie, elle se trouva nez à nez avec Jace, qui lui barrait la route. Il se tenait si près qu’elle sentit son parfum et la chaleur de son corps. C’était tellement bon qu’elle faillit faire un truc stupide, du genre appuyer le front contre son torse, comme pour chercher du réconfort.
Alors, d’un geste très doux, il lui souleva le menton. Elle n’eut pas la force de résister et croisa son regard.
—Terminez votre service; nous vous attendrons. Ensuite, nous irons dîner. Y a-t-il un endroit enparticulier qui vous ferait plaisir? D’ailleurs, préférez- vous dîner au restaurant ou dans notre chambre d’hôtel ? Il avait formulé ces questions avec une douceur teintée d’intimité, sans accorder un seul coup d’œil à Ash. Elle-même était captivée par ses yeux sombres, au point d’en oublier qu’elle avait changé d’avis quant au
ménage à trois.
Cependant, elle parvint à se ressaisir suffisamment
pour examiner sa tenue. Il n’était pas question de repasser chez elle pour se changer, puisqu’elle n’avait pas de chez-elle, et pas de vêtements dignes du genre de lieux que ces hommes fréquentaient.
Elle se racla la gorge avant de reprendre la parole.
— Votre chambre, ça me va. Quant au menu, je ne suis pas difficile : tant que c’est bon et que ça se mange... En fait, je meurs d’envie d’un burger. Avec des frites.
Cette simple idée la fit saliver.
— Et un jus d’orange, ajouta-t-elle à la hâte.
Elle vit une lueur d’amusement dans le regard d’Ash,
mais Jace resta de marbre.
—un burger avec des frites et un jus d’orange...
ça devrait être faisable, dit-il en consultant sa montre. Les invités seront priés de partir d’ici quinze minutes. Combien de temps vous faut-il pour tout remballer, après ça?Bethany cilla avant de répondre.
— Euh... tout le monde ne sera pas parti dans quinze minutes. Il y a toujours des gens qui s’attardent, surtout s’il reste à manger et à boire.
—Croyez-moi, Bethany, tout le monde sera parti dans quinze minutes, intervint Jace avant qu’elle ait pu en dire plus.
Elle devina au ton de sa voix qu’il ne s’agissait pas d’une supposition mais d’une promesse.
—Combien de temps vous faut-il? répéta-t-il non sans une certaine impatience.
— Je ne sais pas... une demi-heure, répondit-elle.
Pour la deuxième fois de la soirée, il la toucha. Il lui effleura la joue et enroula autour de son doigt une des mèches qui s’étaient échappées de son chignon.
— Très bien. On se voit dans une demi-heure.