Elle adorait qu’il soit ainsi avec elle :
Jamais
soumis, toujours tendre.
Parfait.
Quelque
part, elle le respectait encore plus d’une telle attitude. Elle
aimait la force.
Sous
toutes les formes :
Dans
les coins les plus sombres de la nuit à Caldwell, New York, un
conflit comme aucun autre fait rage. Longtemps divisée comme un
terrifiant champs de bataille pour les vampires et leurs ennemis, la
ville abrite un groupe de frères nés pour défendre leur race: les
vampires guerriers de la Confrérie de la Dague Noire.
John Matthew a parcouru un long chemin depuis qu'il a été trouvé en train de vivre parmi les humains, sa nature de vampire inconnue de lui-même et son entourage. Après avoir été pris en charge par la Confrérie, personne n'aurait pu deviner sa vraie histoire - ou sa véritable identité.
En effet, le défunt Frère Audazs est de retour, mais avec un visage différent, et un tout autre destin.
Alors qu'une vicieuse et personnelle vendetta entraîne John au coeur de la guerre, il va avoir besoin de faire appel à la fois à qui il est aujourd'hui et qui il a été dans le passé afin d'affronter le mal incarné.
Xhex, une tueuse sympath, s'est depuis longtemps forgée une résistance d'acier contre cette attirance entre elle et John Matthew. Ayant déjà perdu un amant, elle ne permettra pas à ce mâle de valeur de devenir la proie des ténèbres de sa vie malsaine. Cependant, lorsque le destin intervient, John et Xhex découvrent que l'amour, comme le destin, est inévitable entre des âmes sœurs.
John Matthew a parcouru un long chemin depuis qu'il a été trouvé en train de vivre parmi les humains, sa nature de vampire inconnue de lui-même et son entourage. Après avoir été pris en charge par la Confrérie, personne n'aurait pu deviner sa vraie histoire - ou sa véritable identité.
En effet, le défunt Frère Audazs est de retour, mais avec un visage différent, et un tout autre destin.
Alors qu'une vicieuse et personnelle vendetta entraîne John au coeur de la guerre, il va avoir besoin de faire appel à la fois à qui il est aujourd'hui et qui il a été dans le passé afin d'affronter le mal incarné.
Xhex, une tueuse sympath, s'est depuis longtemps forgée une résistance d'acier contre cette attirance entre elle et John Matthew. Ayant déjà perdu un amant, elle ne permettra pas à ce mâle de valeur de devenir la proie des ténèbres de sa vie malsaine. Cependant, lorsque le destin intervient, John et Xhex découvrent que l'amour, comme le destin, est inévitable entre des âmes sœurs.
Il
releva les yeux, étudia le corps souple souligné par la lumière
ambiante. Elle avait les mamelons tendus, la respiration sifflante,
et son ventre ondulait sous le faisceau de ses muscles raidis. Entre
ses cuisses ouvertes, le sexe lisse était si tentant qu’il poussa
un long feulement muet…
Sans
avertissement, elle tendit la main et s’agrippa à son sexe.
Il
eut un tel sursaut qu’il faillit tomber et dut se retenir à deux
paumes.
— Bon
sang, tu es superbe, gronda-t-elle comme un félin.
En
entendant sa voix, il passa à l’action : S’écarta d’abord
pour se libérer, puis s’agenouilla entre ses jambes. Baissant la
tête, il embrassa un de ses seins, et le caressa de la langue.
Le
gémissement qu’elle poussa faillit le faire jouir sans attendre,
et il eut du mal à se contrôler. Quand la vague se retira, il se
remit à la lécher… et laissa ses paumes descendre le long de ses
flancs, vers sa taille et ses hanches.
Toujours
autoritaire, Xhex lui prit les mains et les plaça sur son sexe. Et
appuya, indiquant par là ce qu’elle attendait de lui.
Seigneur.
Si douce. Si chaude. Si liquide de plaisir.
Cette
fois-ci, il ne put éviter l’orgasme qui explosa en lui et inonda
le ventre qu’il rêvait de pénétrer. Elle eut un rire rauque, né
tout au fond de sa gorge, tandis que le sperme se répandait sur
elle. La fragrance de mâle dédié s’éleva autour d’eux.
— Tu
as aimé ce que tu as trouvé, murmura-t-elle.
Il
acquiesça en la regardant bien en face, puis il porta sa main à sa
bouche et lécha ses doigts. Elle eut un long frémissement, se
soulevant du matelas pour mieux s’offrir, les jambes ouvertes, les
seins dressés.
Il
garda les yeux braqués sur elle lorsqu’il se pencha et posa la
bouche sur son sexe. Évidemment, il aurait pu être plus délicat,
commencer par des effleurements de gourmet – et autres conneries.
Que
dalle.
Comme
un affamé, il se jeta sur elle avec une frénésie goulue, léchant,
mordillant, suçant. Aspirant son essence au plus profond de sa
gorge, de ses tripes, de son être. Le goût enivrant de la femelle
se mêlait à la fragrance que John avait déposée sur elle – et
les instincts primitifs du vampire s’exaltaient de cette union.
Tant
mieux pour lui. Parce que quand il en aurait terminé avec elle, les
épices sombres allaient être imprégnées dans la peau de Xhex. Á
l’intérieur et à l’extérieur. Partout.
Tandis
qu’il dévorait son ventre, il sentit vaguement une des jambes de
la femelle se poser sur son épaule tandis qu’elle se frottait à
lui, ajoutant à la magie qui les unissait, les poussant de plus en
plus vers un plaisir cataclysmique.
En
jouissant, elle cria son nom. Deux fois.
Il
n’avait pas de voix, mais ses oreilles fonctionnaient parfaitement.
Il en fut très heureux.
Bon
sang, John savait ce qu’il faisait.
Ce
fut la première pensée de Xhex une fois revenue sur terre après le
formidable orgasme qu’il lui avait donné avec sa bouche. Puis elle
replongea dans un tourbillon de plaisir. Elle avait sa fragrance de
mâle dédié comme un hymne glorieux dans les narines, ses lèvres
sur son sexe étaient une pure jouissance, et son érection rigide
une promesse à venir—
Lorsqu’il
raidit la langue pour la plonger en elle, elle explosa une seconde
fois. Seigneur… cette chaleur humide, ces caresses brûlantes,
cette douceur passionnée… John utilisait tout son visage : Ses
lèvres et sa langue, son menton et son nez qu’il frottait contre
elle… De quoi la rendre folle. Et elle était plus que consentante.
Dans
ce tourbillon sensuel, il n’y avait rien que lui, John… Aucun
mauvais souvenir… Ni futur, ni passé… Rien que leurs deux corps
unis. Le temps n’avait plus aucune signification. Les autres non
plus. Ils étaient seuls.
Elle
aurait souhaité que ça dure toujours.
— Prends-moi,
gémit-elle, en s’agrippant à ses épaules.
Quand
John releva la tête, son corps pesa sur elle, et elle sentit contre
sa cuisse le sexe mâle qui se rapprochait.
Elle
l’embrassa à pleine bouche, tandis qu’il baissait la main entre
leurs deux corps pour diriger son sexe en elle…
Lorsqu’elle
le sentit prêt à pénétrer, elle gémit :
— Oh
seigneur…
Le
gland épais l’écartela, puis glissa en place. Et elle se cambra
en le sentant s’enfoncer. En même temps, elle caressa le dos
souple de la nuque aux reins – et même plus bas, pour pouvoir
plonger ses ongles dans des fesses fermes.
Elle
sentit sous ses mains les muscles se gonfler et se relâcher alors
qu’il commençait à la marteler. Sa tête ballotait d’avant en
arrière contre le matelas, au rythme des coups de reins du mâle. Le
corps massif pesait aussi lourd qu’une voiture, et elle en était
parfaitement heureuse. Elle avait assez de courbes pour adoucir les
angles durs, et sentait monter en elle une jouissance à nouveau
prête à jaillir. Ses poumons la brûlaient si fort qu’elle avait
du mal à respirer.
Croisant
ses chevilles derrière les cuisses de John, elle l’ondula en
rythme jusqu’à ce que leurs corps se heurtent. Puis John posa les
mains au sol pour soulever son torse, pour pouvoir la pilonner plus
fort encore.
Son
visage était un masque érotique, et elle étudia les traits qu’elle
connaissait si bien : Les lèvres retroussées qui découvraient les
longues canines blanches, les sourcils baissés bas, les yeux
étincelants, la mâchoire si serrée que les joues en étaient
creusées. À chaque coup de reins, les muscles des pectoraux et des
abdominaux gonflaient, la sueur dégoulinait de sa peau et la faisait
briller sous la lumière rasante. Le voir ainsi créa une sensation
nouvelle au cœur même des émotions de Xhex, comme un coup de poing
qui la laissait sans défense.
— Prends
ma veine, gronda-t-elle. Prends-la… maintenant.
Tandis
qu’elle explosait dans un nouvel orgasme, il posa sa bouche sur sa
gorge, et la mordit, et jouit à son tour.
Une
fois lancé dans le tourbillon du plaisir, il ne pouvait plus
arrêter. Mais elle ne le voulait pas. Il ne cessa de la marteler et
de boire, le corps frissonnant de passion, passant d’un orgasme à
l’autre, saturé de sexe et de sang, dans une frénésie qui était
à la limite de la brutalité.
Mais
c’est ce qu’elle voulait
Quand
il s’immobilisa enfin, il s’écroula littéralement sur elle.
Elle lui caressa les épaules et le dos, et le sentit lécher son cou
pour cicatriser les entailles.
Elle
savait qu’il fallait parfois du papier de verre pour nettoyer
correctement une tâche incrustée. De délicats petits coups de
chiffon ne suffisaient pas à enlever la crasse. Quelque part, c’est
ce que John venait de faire. Et vu qu’il bandait toujours, elle
savait qu’il n’allait pas tarder à recommencer.
John
releva la tête pour la regarder avec des yeux inquiets, tout en lui
caressant doucement les cheveux.
Elle
sourit.
— Non,
je vais très bien. Et mieux encore.
Il
eut un sourire timide qui s’épanouit brusquement sur son beau
visage tandis qu’il mimait :
— Je
suis d’accord.
— Du
calme, bonhomme. Si tu crois pouvoir me faire rougir, tu rêves. Je
ne suis pas le genre de femelle qu’on séduit avec du baratin. (Il
acquiesça vigoureusement, et elle roula des yeux.) Tu me crois
vraiment capable de casser mes talons dès qu’un beau mec
m’embrasse trop fort ?
John
releva un sourcil d’un air viril. À son grand étonnement, Xhex se
sentit rougir.
— Écoute
un peu, John Matthew, dit-elle en lui prenant le menton dans la main.
Je refuse que tu me transformes en midinette gaga de son amant.
Sûrement pas. Je suis bien plus dure que ça.
Sa
voix était sévère, et elle pensait chaque mot. Sauf que, il remua
contre elle. Dès qu’elle sentit son sexe énorme s’enfoncer en
elle, elle ronronna.
Ronronna
?
Elle
n’avait jamais entendu dans sa gorge un tel son – qu’elle
aurait bien préféré étouffer… si elle avait pu. Tout au
contraire, elle recommença. Pas terrible pour illustrer son beau
discours.
John
baissa la tête vers son sein et commença à embrasser son mamelon
tout en continuant ses va-et-vient paresseux.
Xhex
se cambra, et planta à nouveau ces deux mains dans ses cheveux,
savourant leur épaisseur soyeuse.
— Oh,
John…
Mais
il s’arrêta net, lâchant la pointe de son sein. Il arborait un si
grand sourire qu’elle se demanda comment sa bouche ne se déchirait
pas.
Manifestement
son expression signifiait : Je t’ai eue.
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